vendredi 24 avril 2009
17 mois suivant mon arrestation arbitraire, le procureur Rouillier me transmets sa «bombe»: Avis d'intention de produire en preuve une pièce ? ?
Ainsi maître-menteur a au moins des intentions... Rouillier - Actualité
Est-ce qu'elles sont pures par contre; permettez-moi simplement d'en douter.
Après avoir signifié au juge Sansfaçon, le 4 décembre 2008 que ladite preuve avait été «détruite» par Monsieur Ghavitian, président de l'O.I.Q, son témoin principal.
Après avoir signifié que celle-ci soit soudainement «ressuscitée» devant la juge Matte le 10 février 2009 qui m'envoya 7 jours de plus à Pinel Affaire Matte pour lui avoir simplement poliment signifié que tout cela n'avait aucun sens de «jouer» ainsi avec la recevabilité d'une preuve sous les regards approbateurs de juges supposés rendre la justice, ROUILLIER récidive, le 3 avril dernier, en signifiant au complaisant juge Richard Mongeau présidant la conférence préparatoire et qui ne semblait pas soudainement reconnaître son procureur préféré en lui demandant d'épeler son nom sous mon regard critique, que son témoin principal restera sagement chez lui pendant que moi, tenterait ainsi de convaincre le jury de mon innocence sans par contre être en mesure de faire reconnaître les parjures du menteur ainsi protégé par le maître-menteur !
Paradoxalement, et c'est cela qui est le plus cruel, la juge Sophie Bourque de la cour supérieure a, le 12 janvier dernier, libéré sur le champs 5 membres de gang de rue et présumés auteurs du meurtre du jeune Raymond Ellis parce que la Couronne (Me Louis Bouthillier) avait trompé, semble-t-il, la «magistrate» en jouant sur la recevabilité d'une preuve ?
Est-ce que notre société est rendu au point de tolérer que les infractions criminelles qui se perpètrent dans nos salles de cour peuvent être interceptées seulement par le ou la juge qui préside mais selon, en plus, son humeur du moment ?
Y-a-t-il un code criminel de gauche et un autre code criminel de droite ?
Le président Ghavitian est un témoin important pourtant. Très étonnamment, ROUILLIER, que je poursuis au criminel personnellement moi-même dorénavant avec deux autres de ses comparses, pour entrave au cours normal de la justice et méfait public, a signifié l'intention lors de la conférence préparatoire du 3 avril dernier présidé par le juge Richard Mongeau, j.c.s, qu'il ne l'assignerait pas à comparaître alors que c'est bien ce M. Ghavitian qui est derrière l'accusation dans cette cause. Bouchard, Bouvette et Rouillier : 3 substituts du procureur général accusés de méfait public et d’entrave à la justice.
Considérant qu'en plus c'est bien ce dernier qui s'est permis d'entraver le cours normal de la justice en «éliminant» certains éléments de preuves gênantes pour lui et l'Ordre des ingénieurs du Québec me disculpant depuis le tout début: soit depuis la date de ma toute première arrestation illégale datant du 1er avril 2005.
Le jury voudra savoir, il me semble, pourquoi ce dernier a détruit ces éléments de preuve ? Non ? Et sera-t-il là pour les en saisir ? On a plus les Ordres professionels qu'on avait avant ? Ni la Justice qu'on avait avant ? Le Public est-il ainsi toujours protégé par ces genre de «cabochons» qui en président leur destinée respective ?
Comprenant le DROIT tel qu'il devrait être appliqué j'ai donc moi-même fait le nécessaire EN PASSANT PAR L'«AIDE JURIDIQUE» DE REPENTIGNY dont le responsable est Me Benoit Charbonneau. J'ai donc fait cette démarche obligatoire pour moi, vue ma situation financière précaire, pour faire transmettre par huissier, un subpoena duces tecum à M. Ghavitian pour le sommer de comparaître comme mon témoin principal, à moi, avec en main la preuve qu'il soutient avoir «détruite»; considérant que n'importe quel imbécile n'aurait jamais fait cela avec une preuve «hors de tout doute raisonnable» qu'il prétendait, en plus, détenir ?
Du moins, j'ai tenté de faire produire ledit subpoena duces tecum dont il est question: vous allez comprendre pourquoi dans le prochain article.
Je jure d'être cependant très gentil avec mon témoin puisqu'il devient le mien et non celui de la Couronne ET DU POURSUIVANT ? ? On aura tout vu et entendu dans cette cause qui commence à faire vraiment pitié d'imbécillité autorisée grâce à un certain triple imbécile heureux du nom de Jacques P. Dupuis. Lequel s'il avait simplement répondu à la lettre de M. Eric Laporte, député adéquiste de ma circonscription en 2007, et régler une fois pour toute ce dossier rendu politique par l'absurdité de ceux et celles qui l'ont laissé s'expandre inutilement par leur laxisme et non-intervention, m'aurait évité toute cette détention arbitraire supplémentaire. Cliquez sur: Autre constat d'irresponsabilité ministérielle de la part du ministre Dupuis pour comprendre ce qu'il en revient.
Ce Dupuis est maintenant à mon avis le pire individu sans âme ni quelque espèce de conscience humaine que je n'ai jamais eu l'occasion de rencontrer. Et ce Dupuis est le leader parlementaire de M. Charest. Imaginez comment cela est bon pour l'image de notre PM déjà atrocement déréglée à l'image du parti libéral du Québec qu'il dirige ainsi ?
Mais Dupuis ne perd rien pour apprendre car je le cite comme témoin; son laxisme, sa très grande irresponsabilité et surtout son incompétence crasse dangereuse démontrés dans ma cause et bien d'autres dossiers qu'il n'est même capable de chapeauter.
Je le fais également par respect pour mon droit à une défense pleine et entière en vertu de l'article 23 de la Charte. Cela m'oblige par respect envers moi-même; si évidemment le juge Mongeau s'engage à ne pas s'y opposer: ce qui serait très surprenant vu son absence totale d'intégrité manifestée dès la conférence préparatoire du 3 avril dernier.
Irrésistiblement, le juge Mongeau siège, sur les directives de son juge en chef qui lui-même en reçoit forcément par inférence directe du PM, la carpe, Charest, afin de protéger les intérêts de l'O.I.Q, c'est clair. Comme en 2005, ce dernier a siégé dans un autre de mes procès impliquant l'O.T.P.Q. Et c'est tout aussi clair qu'il a tout tenté pour influencer négativement le jury et protéger les intérêts de l'ordre en question et ceux de son secrétaire et directeur général, M. Denis Beauchamp; un traître que celui là envers les 4,000 membres de l'ordre qu'il «dirige» ainsi sous l'assujetissement sournois de l'Ordre des ingénieurs du Québec.
Mais ce même jury n'a pas tombé dans son panneau et a rendu le bon verdict en m'acquittant des 4 charges de menace et harcèlement inscrites à la dénonciation.
Parce qu'il est aussi bien question de menaces proférés à l'endroit de M. Ghavitian qui a justifié, semble-t-il, le 13 1/4 mois de détention à Pinel à ce jour pour cette seule allégation de «menaces» ? ?
Après avoir dit à la juge Matte le 10 février 2009 que la preuve est finalement produite devant elle. Donc, par inférence, que celle-ci a été ressuscitée, le procureur Rouillier qui, je l'espère ne portera jamais, un jour, la toge de juge, m'a fait signifié un avis d'intention de produire en preuve une pièce ? ? ?
Bravô, Rouillier, je suis on ne peut plus fier de vous ! ( le Me devant son nom est maintenant proscrit vu l'incompétence et l'absence d'intégrité amplement démontrés)
Cette «preuve» m'a donc été signifiée par huissier le 23 avril 2009 à 18:55P.M soit à 4 jours du début de mon procès avec juge et jury, alors que rappelons, encore une fois, que j'ai été arrêté le 19 novembre 2007 dans ce dossier et ait subi une détention sous garde illégale de plus de 32 mois si on inclut les détentions illégales antérieures.
D'autres détails de cette «belle» intention et sur la nature de cette «preuve» suivront très bientôt sur cette plateforme...
Est-ce qu'elles sont pures par contre; permettez-moi simplement d'en douter.
Après avoir signifié au juge Sansfaçon, le 4 décembre 2008 que ladite preuve avait été «détruite» par Monsieur Ghavitian, président de l'O.I.Q, son témoin principal.
Après avoir signifié que celle-ci soit soudainement «ressuscitée» devant la juge Matte le 10 février 2009 qui m'envoya 7 jours de plus à Pinel Affaire Matte pour lui avoir simplement poliment signifié que tout cela n'avait aucun sens de «jouer» ainsi avec la recevabilité d'une preuve sous les regards approbateurs de juges supposés rendre la justice, ROUILLIER récidive, le 3 avril dernier, en signifiant au complaisant juge Richard Mongeau présidant la conférence préparatoire et qui ne semblait pas soudainement reconnaître son procureur préféré en lui demandant d'épeler son nom sous mon regard critique, que son témoin principal restera sagement chez lui pendant que moi, tenterait ainsi de convaincre le jury de mon innocence sans par contre être en mesure de faire reconnaître les parjures du menteur ainsi protégé par le maître-menteur !
Paradoxalement, et c'est cela qui est le plus cruel, la juge Sophie Bourque de la cour supérieure a, le 12 janvier dernier, libéré sur le champs 5 membres de gang de rue et présumés auteurs du meurtre du jeune Raymond Ellis parce que la Couronne (Me Louis Bouthillier) avait trompé, semble-t-il, la «magistrate» en jouant sur la recevabilité d'une preuve ?
Est-ce que notre société est rendu au point de tolérer que les infractions criminelles qui se perpètrent dans nos salles de cour peuvent être interceptées seulement par le ou la juge qui préside mais selon, en plus, son humeur du moment ?
Y-a-t-il un code criminel de gauche et un autre code criminel de droite ?
Le président Ghavitian est un témoin important pourtant. Très étonnamment, ROUILLIER, que je poursuis au criminel personnellement moi-même dorénavant avec deux autres de ses comparses, pour entrave au cours normal de la justice et méfait public, a signifié l'intention lors de la conférence préparatoire du 3 avril dernier présidé par le juge Richard Mongeau, j.c.s, qu'il ne l'assignerait pas à comparaître alors que c'est bien ce M. Ghavitian qui est derrière l'accusation dans cette cause. Bouchard, Bouvette et Rouillier : 3 substituts du procureur général accusés de méfait public et d’entrave à la justice.
Considérant qu'en plus c'est bien ce dernier qui s'est permis d'entraver le cours normal de la justice en «éliminant» certains éléments de preuves gênantes pour lui et l'Ordre des ingénieurs du Québec me disculpant depuis le tout début: soit depuis la date de ma toute première arrestation illégale datant du 1er avril 2005.
Le jury voudra savoir, il me semble, pourquoi ce dernier a détruit ces éléments de preuve ? Non ? Et sera-t-il là pour les en saisir ? On a plus les Ordres professionels qu'on avait avant ? Ni la Justice qu'on avait avant ? Le Public est-il ainsi toujours protégé par ces genre de «cabochons» qui en président leur destinée respective ?
Comprenant le DROIT tel qu'il devrait être appliqué j'ai donc moi-même fait le nécessaire EN PASSANT PAR L'«AIDE JURIDIQUE» DE REPENTIGNY dont le responsable est Me Benoit Charbonneau. J'ai donc fait cette démarche obligatoire pour moi, vue ma situation financière précaire, pour faire transmettre par huissier, un subpoena duces tecum à M. Ghavitian pour le sommer de comparaître comme mon témoin principal, à moi, avec en main la preuve qu'il soutient avoir «détruite»; considérant que n'importe quel imbécile n'aurait jamais fait cela avec une preuve «hors de tout doute raisonnable» qu'il prétendait, en plus, détenir ?
Du moins, j'ai tenté de faire produire ledit subpoena duces tecum dont il est question: vous allez comprendre pourquoi dans le prochain article.
Je jure d'être cependant très gentil avec mon témoin puisqu'il devient le mien et non celui de la Couronne ET DU POURSUIVANT ? ? On aura tout vu et entendu dans cette cause qui commence à faire vraiment pitié d'imbécillité autorisée grâce à un certain triple imbécile heureux du nom de Jacques P. Dupuis. Lequel s'il avait simplement répondu à la lettre de M. Eric Laporte, député adéquiste de ma circonscription en 2007, et régler une fois pour toute ce dossier rendu politique par l'absurdité de ceux et celles qui l'ont laissé s'expandre inutilement par leur laxisme et non-intervention, m'aurait évité toute cette détention arbitraire supplémentaire. Cliquez sur: Autre constat d'irresponsabilité ministérielle de la part du ministre Dupuis pour comprendre ce qu'il en revient.
Ce Dupuis est maintenant à mon avis le pire individu sans âme ni quelque espèce de conscience humaine que je n'ai jamais eu l'occasion de rencontrer. Et ce Dupuis est le leader parlementaire de M. Charest. Imaginez comment cela est bon pour l'image de notre PM déjà atrocement déréglée à l'image du parti libéral du Québec qu'il dirige ainsi ?
Mais Dupuis ne perd rien pour apprendre car je le cite comme témoin; son laxisme, sa très grande irresponsabilité et surtout son incompétence crasse dangereuse démontrés dans ma cause et bien d'autres dossiers qu'il n'est même capable de chapeauter.
Je le fais également par respect pour mon droit à une défense pleine et entière en vertu de l'article 23 de la Charte. Cela m'oblige par respect envers moi-même; si évidemment le juge Mongeau s'engage à ne pas s'y opposer: ce qui serait très surprenant vu son absence totale d'intégrité manifestée dès la conférence préparatoire du 3 avril dernier.
Irrésistiblement, le juge Mongeau siège, sur les directives de son juge en chef qui lui-même en reçoit forcément par inférence directe du PM, la carpe, Charest, afin de protéger les intérêts de l'O.I.Q, c'est clair. Comme en 2005, ce dernier a siégé dans un autre de mes procès impliquant l'O.T.P.Q. Et c'est tout aussi clair qu'il a tout tenté pour influencer négativement le jury et protéger les intérêts de l'ordre en question et ceux de son secrétaire et directeur général, M. Denis Beauchamp; un traître que celui là envers les 4,000 membres de l'ordre qu'il «dirige» ainsi sous l'assujetissement sournois de l'Ordre des ingénieurs du Québec.
Mais ce même jury n'a pas tombé dans son panneau et a rendu le bon verdict en m'acquittant des 4 charges de menace et harcèlement inscrites à la dénonciation.
Parce qu'il est aussi bien question de menaces proférés à l'endroit de M. Ghavitian qui a justifié, semble-t-il, le 13 1/4 mois de détention à Pinel à ce jour pour cette seule allégation de «menaces» ? ?
Après avoir dit à la juge Matte le 10 février 2009 que la preuve est finalement produite devant elle. Donc, par inférence, que celle-ci a été ressuscitée, le procureur Rouillier qui, je l'espère ne portera jamais, un jour, la toge de juge, m'a fait signifié un avis d'intention de produire en preuve une pièce ? ? ?
Bravô, Rouillier, je suis on ne peut plus fier de vous ! ( le Me devant son nom est maintenant proscrit vu l'incompétence et l'absence d'intégrité amplement démontrés)
Cette «preuve» m'a donc été signifiée par huissier le 23 avril 2009 à 18:55P.M soit à 4 jours du début de mon procès avec juge et jury, alors que rappelons, encore une fois, que j'ai été arrêté le 19 novembre 2007 dans ce dossier et ait subi une détention sous garde illégale de plus de 32 mois si on inclut les détentions illégales antérieures.
D'autres détails de cette «belle» intention et sur la nature de cette «preuve» suivront très bientôt sur cette plateforme...
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