La justice version Québécoise...

mercredi 15 avril 2009

Bouchard, Bouvette et Rouillier : 3 substituts du procureur général accusés de méfait public et d’entrave à la justice.

Rouillier - Actualité

Cette accusation grave d'entrave à la justice est portée conjointement contre Me Jacques Rouillier de Montréal et impliquent indirectement Me David Bouchard et Me Jean-François Bouvette de Trois-Rivières dans une cause concomitante reliant le président du Conseil de Presse du Québec, Monsieur Raymond Corriveau. Conseil de presse du Québec - Repenser la nouvelle, un impératif ... pour mieux ainsi sournoisement accuser gratuitement en revanche le brave journaliste-citoyen Daniel Bédard CentPapiers qui l'apporte à son attention ! ?

Soulignons que les 3 poursuivants déviants sont tous les trois substituts du procureur général du temps, M. Jacques P. Dupuis quand les accusations malhonnêtes et sordides ont été déposées.

Me Rouillier n'est, par ailleurs, pas au bout de ses peines car il aurait contrevenu à la loi sur les ingénieurs en étant, par simple inférence, tendencieusement autorisé pour se faire par le président de l'Ordre des ingénieurs du Québec lui-même: soit par M. Zaki Ghavitian, qui ne serait-ce que pour cette raison serait sérieusement dans l'embarras. Ce qui pourrait expliquer par ailleurs pourquoi Me Rouillier protège ainsi son fourbe bâilleur de fonds publics redirigés.

En effet, Me Rouillier a affirmé à la Cour le 3 avril dernier en conférence «préparatoire» que son témoin principal ne se ferait pas invité à la réception après la fête en lui évitant ainsi d'être contre-interroger par moi-même. Et ce, tout simplement parce qu'il n'avait quelque intention depuis fort longtemps faut-il croire d'ailleurs, de le citer comme témoin de la Couronne.

Curieusement, cette annonce n'a même fait sourcillé le juge Richard Mongeau, j.c.s. qui assistait, pantois, à l'audience somme toute dirigée par le mécréant poursuivant qui voulait en plus faire déplacer 12 jurés pour rien le 27 avril prochain en ne leur offrant rien de concret sous leur précieuse et judicieuse analyse pour compenser l'absence totale de celles de juges qui m'ont fait «préventivement» incarcéré pendant 13 mois sous prétexte que j'avais «proféré des menaces de mort» à l'endroit du précieux président de l'O.I.Q ? ?

Le «deal» aurait été autorisé en arrière scène afin de favoriser un membre de Fathers for justice (F4J-Québec) du nom de Benoît Leroux. Se faisant, Me Rouiller aurait «négocié» en catimini avec ce dernier en plus de lui proposer de rehausser sa cote de crédibilité et de visibilité au niveau des médias en suggérant à ce dernier de se faire passer pour un ingénieur alors qu'il ne l'était point depuis 1999, après vérification faite par Gilles Dumas hier le 14 avril auprès du contentieux de l'O.I.Q. suite à ma recommandation.

Ce que n'a par contre même vérifié le chroniqueur judiciaire Claude Poirier avant de lancer cela en onde à T.V.A.; ce qui est même surprenant de la part de ce vieux routier qui en a pourtant déjà vu d'autres de complexité relative beaucoup plus grande que celle-là alors qu'il agissait jadis comme négociateur sur le terrain lors de prises d'otages ou pour assurer la couverture d'autres évènements judiciaires d'envergure. Claude Poirier (Québec) - Wikipédia Mais Monsieur Poirier est un «personnage» mitigé sur lequel certains autres personnes voire certains autres confrères journalistes sans doute encore mieux informées fondent une toute autre opinion:
http://www.canoe.com/divertissement/tele-medias/nouvelles/2003/04/18/1744610-jdm.html Claude Poirier étant celui-là même qui, après avoir été dûment saisi de cet acharnement judiciaire à mon endroit en 2007 m'avait proposé de rencontrer avec lui deux journalistes du soir du réseau T.V.A . Après coup, ce dernier m'avait bêtement abandonné à mon sort en ne donnant aucune suite à ce qu'il m'avait promis et en ne retournant même mes messages tout de même restés polis et laissés sur sa messagerie vocale simplement pour savoir ce qu'il en revenait.

Pour revenir à Monsieur Benoît Leroux, l'O.I.Q pourrait, selon toute vraisemblance, lui avoir proposé un emploi bien rémunéré à titre d'ingénieur aux États-Unis et afin que ce dernier puisse ainsi du même coup se rapprocher de sa fille qui y vit avec sa mère considérant que c'est Benoit, lui-même, qui a laissé sous-entendre cette éventualité au juge Gilles Cadieux durant l'audience du 9 avril dernier.

Tout cela en échange que ce dernier retire l'appui parallèle qui m'avait été consenti par F4J et M. Leroux qui était également le gestionnaire du site. Ce dernier a donc dernièrement supprimé la parution de mon site mettant plus particulièrement en évidence l'AFFAIRE BOURQUE directement sur le site de F4J-Québec; une entente pourtant intelligente qui avait été négociée avec Benoît dans le temps afin de dénoncer ainsi que les cas d'injustice qui y sont véhiculés et expliqués ne sont pas seulement les fruits de causes reliées à de fausses dénonciations de violences conjugales ou d'irresponsabilité parentale. Cliquez sur: Il doit bien y avoir des choses que Benoît Leroux ne dit pas si http://www.garscontent.com/ il est vraiment.

Rappelons que l'AFFAIRE BOURQUE met fortement en doute l'intégrité du Bureau de l'O.I.Q dans un cas de corruption probante de la juge Sophie Bourque afin de me porter un préjudice incommensurable dans un dossier disciplinaire et criminel en croisé.

Rappelons, par ailleurs, que Monsieur Benoît Leroux, qui a fait la manchette dernièrement (voir http://www.carbanzo.com/), a, dans le même ordre d'idée, obtenu une faveur du poursuivant Me Rouillier qui, en complicité avec le juge Cadieux, lui a retiré une charge d'entrave au travail des policiers sans par contre que cette charge soit, de la même manière, soustraite des accusations portées à l'endroit de M. Gilles Dumas: un autre militant de F4J-Québec qui avait assisté M. Leroux dans son escalade du pont Jacques-Cartier en mai 2005 afin qu'il puisse revendiquer ses droits parentaux. Benoît l'a fait tout en obtenant une attention médiatique somme toute, fortement désirée par lui-même pour ainsi propulser en même temps la couverture de sa cause personnelle.

Ainsi le sournois poursuivant a profité de la position de faiblesse somme toute légitime de Benoît par rapport à sa fille qu'il n'a pas vu depuis un bon bout de temps parce qu'il ne pourrait passer aux douanes américaines sans s'y faire immédiatement arrêté.

En effet, Benoît est fortement contraint à cause d'arrérages de pension alimentaire non payés dus à une situation financière précaire entraînée par une perte d'emploi bien rémunéré aux États-Unis dans des temps plus cléments et ne peut actuellement visiter sa fille pour cette raison majeure parce qu'il est empêché ainsi de même y retourner afin de faire changer les conditions émises par la cour américaine.

Quant à Rouillier sur lequel devrait en réalité reposer l'ignoble responsabilité de ces deux causes parallèles abracadabrantes, pourrait fort bien devenir le bienheureux poursuivi au lieu du poursuivant; mais cette fois en juste retour d'ascenseur.

Pour autres explications lire: http://www.prevarication101.blogspot.com/

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