La justice version Québécoise...

vendredi 16 novembre 2007

D’une demande de respect de la Charte, l’O.I.Q me répond finalement 4 ans plus tard par la voix de la répression policière.

Qu’on s’entende sur une chose : Si la magistrature avait respecté mes droits garantis par la Charte durant mon séjour forcé de 18 mois en dite détention « préventive », je ne serais aujourd’hui dans l’obligation d’exiger moi-même autre respect en vertu de l’article 49 cette fois de cette même Charte. Et ce, afin que cesse l’atteinte illicite intentionnelle à mon endroit et que je sois dédommagé comme il se doit.

Puisque lorsqu’on choisit à l’intérieur d’une poursuite criminelle de ne pas déposer les preuves de son ou ses accusations, c’est qu’il y a du malin ou de la mauvaise foi comme dirait le curé Maurice Comeau de la paroisse catholique St-Sylvain de Laval.

Considérant également que l’article 4 de cette même Charte me garantit sauvegarde de mon honneur, de ma réputation et de ma dignité. Et que ces critères sont importants pour moi autant qu’ils peuvent l’être pour un ingénieur, un médecin, un psychiatre, un député, un ministre ou un premier ministre.

Considérant que tous sommes égaux en droit rappelle d’emblée cette même Charte.

Mes efforts, chers internautes avertis, se sont donc concentrés à travers ce blog à vous démontrer « hors de tout doute raisonnable » mon innocence sur toute la ligne. Et ce, pour compenser finalement ce que Dame la Magistrature n’a pas été en mesure de m’assurer.

C’est cela qui arrive lorsqu’une Cour de justice s’amuse à déroger à qui mieux mieux à la Charte des droits et libertés de la personne. Celle-ci n’a alors autre alternative de demander au Public que justice soit rendue. Voilà où en sont rendus nos principes moraux de société.

A cette Bible de référence des juges comme a dit Madame Rayle, épouse de l’illustre magistrat John H. Gomery. Celle qui est au-dessus des lois a-t-elle en plus renchéri.

Ce qui n’a pas tombé dans l’oreille d’un sourd, ce matin du 3 août 2005 en attente d’être moi-même entendu en après-midi. Ne me doutant encore nullement de sa duplicité morbide. En regardant cette femme dans les yeux, j’avais perçu pourtant cette honnêteté intellectuelle, cette franchise, cette intégrité qui caractérisait peut-être, me serai-je dit, les juges de la Cour d’appel. A défaut de l’avoir reconnu sur tous ceux de la Cour supérieure devant lesquels je m’étais présenté à ce jour.

Jamais me serais-je douté que son jugement avant même de m’entendre était déjà rendu. Bafouant ainsi l’article 23 de la Charte. Lequel est sensé m’assurer de ne pas être préjugé en vertu du principe de justice fondamentale de l’ audi alteram partem. Le droit, donc de toute personne d’être entendue avant d’être jugée.

Ma mise en demeure à l’O.I.Q (que vous trouverez plus bas dans ce blog) était pourtant faite en bonne et due forme. Aussi bien fait que si celle-ci avait été rédigée par un avocat. Pourtant le président de l’O.I.Q, Monsieur Zaki Ghavitian, l’a ignoré. Ce dernier m’avait pourtant démontré une certaine ouverture d’esprit lors de notre seule et unique conversation téléphonique demeurée pourtant respectueuse. Inconséquemment, ce dernier me démontre à quel point peut-être son niveau de mesquinerie et d’hypocrisie en sommant Me Luce Bastien, une avocate permanente à l’O.I.Q de me faire savoir que ma mise en demeure assortie de deux messages toujours très polis laissés sur sa messagerie vocale et lui demandant de me rappeler, l’importunaient. Et que Monsieur le président, au même titre que Monsieur l’ingénieur Sicotte dans le temps, se sent dorénavant harcelé voire menacé par moi-même.

Sûrement du fait, faut-il croire, que je demandais à Monsieur Ghavitian si une date d’audience publique était pour être tenue afin de répondre, entres autres, à mes 20 questions sur le rapport Johnson.

Un simple exercice démocratique pourtant. Considérant aussi que si le rapport est publique, les questions et les réponses de ce même Public devraient également être rendues publiques. Non ?

Qu’a-t-il donc à craindre M. Ghavitian si Monsieur Johnson lui-même m’envoie paître ailleurs en gladiateur conquérant en m’apostrophant bêtement lors de la seule conversation téléphonique qu’on a eue tout dernièrement (en voir la teneur plus dans le blog). M’affirmant que toutes les réponses à mes questions sont dans le rapport. Puisque ce dernier a été fait avec intégrité, me rajoute-il.

Mais les poutres-caissons en béton ? Pourquoi sont-elles pleines au lieu d’être évidées ? Alors que le schéma du rapport les montre évidées. Bonne question ? Non ?

Faut-il croire alors à celles de messieurs les ingénieurs séniors et commissaires Armand Couture et Roger Nicolet. Puisque ne sont-ils pas spécialistes de structures complexes en béton comme leur curriculum vitae respectif affiche fièrement.

On ne peut certes dire que les communications soient le point fort de cet organisme à but grassement lucratif qu’est l’Ordre des ingénieurs du Québec. Pourtant et afin de protéger le Public comme il se devrait, n’est-il pas utile de communiquer efficacement.

Car la communication efficace peut sauver bien des tracas : comme des détentions inutiles de personnes consciencieuses. Encore peut-elle même sauver des vies si ces personnes consciencieuses composant notre société sont libres d’interventions professionnelles et efficaces afin d’éviter autres écrabouillements déplorables de personnes malchanceuses.

Un malheur n’arrive jamais comme cela sans cause. Encore faut-il que l’on prenne le temps qu’il faut pour se dire comment il aurait pu être évité. Mais se poser les bonnes questions par contre. Et non contourner la vraie problématique et se regarder dans les yeux pendant un an simplement pour en voir jaillir l’étincelle de la sécurité financière dans le regard de l’autre. Sans jamais par contre percevoir le souci de la sécurité du Public dans ce même regard.

Car même Monsieur Ghavitian pourrait un jour passer sous un pont … disons mal conçu. Et se poser les bonnes questions aujourd’hui pourrait peut-être lui sauver la vie demain.

En ce 15 novembre 2007, sur ma boite vocale un message laissé à 11 :00 P.M. Un certain sergent-détective Serge Messier de la SPVM. Impératif que je le rappelle demain matin me laisse-il comme ordre.

Mais une question existentielle me vient à l’esprit : Pourquoi serait-il impératif pour moi de retourner l’appel au S/D Messier mais jamais impératif pour Monsieur l’ingénieur Sicotte depuis 4 ans de me transmettre la preuve des allégations d’infractions criminelles commises à son endroit.

Imaginez. J’ai fait 18 mois de détention préventive directement à cause de ce « trou du cul » aux cheveux tout blancs et Dame La Magistrature n’a même eu la décence pendant tout ce temps de lui exiger les preuves pour fin d’assurer ma défense pleine et entière en respect de l’article 35 de la Charte.

Si bien que Dame La Magistrature et plus particulièrement la juge Sophie Bourque, j.c.s me force à compenser ce manquement en l’exigeant moi-même par mise en demeure après avoir été détenu tout ce temps pour rien.

Et qu’il ne soit non plus impératif de la même manière pour Monsieur Ghavitian de répondre à mon souci de rectitude en ce qui concerne le rapport Johnson.

Suis-je donc à ce point un criminel et un bandit qu’il faut continuer de traquer simplement parce que je demande à mes semblables d’être droits et non d’être tout croches ? Si c’est le cas, n’est-on pris avec un problème aigu de société ? Va-t-on mettre maintenant les justes et les honnêtes personnes en prison et relaxer les criminels notoires ?

Aussi est-on maintenant mieux apprécier socialement quand on est malhonnête intellectuellement ? Singulièrement, se reconnaît-on maintenant en fonction de son niveau de malhonnêteté ? Rang social oblige ?

Je veux juste signaler au Public qui me protégera dorénavant que je serais supposé être blindé en ce moment par l’article 52 de la Charte. En effet cet article stipule qu’aucun des articles 1 à 38 de la Charte ne peut être dérogé même sur quelque considération ou loi même postérieure à la Charte.

Ainsi l’article 35 de la Charte, soit mon droit d’assurer ma défense pleine et entière ne pouvait être dérogé sous quelque considération que se soit. Or pourquoi la juge Bourque l’a-t-elle fait dès la conférence préparatoire soit dès le 6 juin 2006 ?

Elle se prend pour qui au juste cette juge Bourque pour me manquer de respect à ce point ? Et pour faire se dégrader davantage aux yeux du Public, l’image du système judiciaire.

Ainsi toute ordonnance qu’elle aurait prononcé après un tel manquement sévère ne peut autrement qu’être invalidée. Aussi avais-je le droit de communiquer avec l’Ordre. Au cas où M. Ghavitian aurait eu cette idée saugrenue de me faire arrêter arbitrairement pour une troisième fois en se servant de ce prétexte pour ainsi se débarrasser de moi et de son obligation lui incombant par le fait même. Puisque les ayant mis en demeure de respect de l’article 35 de la Charte à mon endroit.

Lequel a donc préséance en vertu de l’article 52 sur toute loi ou ordonnance. Que cette dernière ait émané de la juge Bourque ou émane de tout autre juge.

Je suis donc blindé. Et si on vient m’arrêtez juste parce que je défends mon honneur, ma réputation et ma dignité, on a un sérieux problème entre les deux oreilles du coté de notre ministre de la justice et de la sécurité publique Dupuis. Lequel ne pourrait être autrement appuyé dans cette autre démarche scabreuse par le premier ministre Charest
lui-même.

Un Charest, donc, qui serait en pleine autre démonstration inquiétante d’attitude protectionnisme à outrance à l’égard d’un ordre professionnel doublement fautif par surcroît. Un premier ministre qui pourrait ordonner une autre arrestation arbitraire simplement afin de m’empêcher de voir à m’assurer que les ordres voient à cette protection du Public. De la dictature appliquée à la Charest. A l'image finalement de son État totalitaire qu'il gère en gladiateur héroique protectionniste des droits du culte. Duquel culte finalement ? Satanique peut-être ?

Un premier ministre du Québec devenu donc un personnage mystérieux et sournois capable du pire comme dans mon dossier toujours pas réglé par son intervention inopportune commise en 2003 pour ainsi aider son ami et syndic Chenel Lauzier de Sherbrooke. Considérant qu’on m’oblige par surcroît à faire, en sauvegarde de mes propres droits mais également ceux du Public, ce que l’Office des professions du Québec est sensé faire en respect de l’article 12 du code des professions.

Ainsi notre P.M. lui-même dicterait à une entité gouvernementale sous-jacente soit l’Office des professions dans lequel on injecte en cadeaux de Noël, $12,000,000 provenant des professionnels membres d’ordres professionnels, de ne plus s’assurer que les ordres voient à cette Protection du Public. Pour ainsi signifier en surplus à ces 325,000 professionnels qu’ils défraient inutilement en cotisations annuelles soient en taxes indirectes, plus d’un milliard de dollars par année absolument pour rien. Somme astronomique ne servant finalement année après année qu’à enrichir ses amis se complaisant avec lui dans le corporatisme. Lequel soutient l’État totalitaire qu’ils « gèrent » discrètement ensemble ainsi en catimini.

Et qui plus est, comme dans mon cas, leur dit investissement en cotisation annuelle pourrait leur servir au contraire à les faire incarcérer si un de ces professionnels membres aurait l’idée saugrenue de voir à protéger le Public sans par contre être parmi les amis du parti ou des ordres professionnels attributaires.

C’est donc exactement ce qui m’est arrivé le 1er avril 2005. Lorsque je fus arbitrairement arrêté à mon bureau professionnel de la rue Cherrier à Repentigny avant d’être écroué pendant un premier trois mois. Arrêté donc pour avoir vu à protéger le Public contre celui qui était ami du parti ou de l’Ordre complaisant à sa cause.

Bravo monsieur Charest. Je suis fier de vous. Vous faites un excellent premier ministre. Sûrement démontrez-vous ainsi représenter très bien les intérêts des citoyens et contribuables du Québec ! ?

Et que ce culte étrange s’il en est vous sied bien au féministan !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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