La justice version Québécoise...

mercredi 4 février 2009

Un bref résumé du préjudice et de l'acharnement

.Le 1er avril 2005, je suis arrêté à mon bureau professionnel de la rue Cherrier à Repentigny.
Aucun mandat. Aucun motif. Je suis incarcéré «préventivement» du 2 avril 2005 au 30 juin 2005; séjournant quelques jours au Centre de détention de R.D.P et transféré ensuite à la prison de Bordeaux. Le juge Jean-Pierre Bonin me libère après l'enquête préliminaire car, dira-t-il, il n'y a aucune évidence que j'ai menacé qui que ce soit avec une arme ? ? Malgré cela, il ne prononce pas l'arrêt des procédures et permet la reconduite d'un procès fixé en décembre 2005 dans lequel je fus par la suite acquitté par jury ! Tout aurait donc du s'arrêter là avec paiement de dommage-intérêts punitifs...

Mais Dame La Magistrature en a convenu autrement. Constatez maintenant ce que la mauvaise foi et le mensonge renouvelé voire encouragé peuvent entraîner comme conséquence désastreuse pour un individu de bonne foi, n'en déplaise à la juge Bourque, qui croit que le mensonge n'est pas beau que lorsque c'est la Couronne qui le commet strictement à l'égard de personnes membres de gang de rue.

.Ainsi, après ma libération du 30 juin 2005, j'entreprends, seul, sans avocat, de faire reconnaître cette atteinte illicite volontaire à mon endroit et me rends jusqu'en Cour d'appel afin d'obtenir simplement les preuves justifiant ma première détention dite «préventive» de 3 mois car ces preuves me sont nécessaires pour ma défense pleine et entière.

.Le 4 août 2005, la juge Pierrette Rayle de la Cour d'appel signe un premier document contrefait
dans un jugement controversé qui m'empêche littéralement d'être saisi d'un élément de preuve important dans un litige m'opposant à l'Ordre des technologues professionnels du Québec. Cette première fraude a donné lieu à l'«Affaire Rayle» expliquée plus bas dans ce blogue. Voir l'onglet dans le menu de droite«Fraude à la Cour d'appel» qui vous aidera à comprendre pourquoi à partir de cette fraude, le juge en chef J.J. Michel Robert m'a littéralement bloqué toutes mes demandes subséquentes d'appel incluant ma demande pourtant pré-autorisée d'être entendue sur ma requête en rétractation de jugement de la juge Rayle prévue pour le 7 novembre 2005. Comprenez qu'au lieu de faire reconnaître la fraude dont l'ordre d'exécution provenait sans doute de lui-même, le juge en chef ne m'accorde plus mon droit d'être entendu me bafouant ainsi en plein visage un principe de justice fondamentale. Au lieu, il m'a fait arrêté le 3 novembre 2005 sous de faux motifs en se servant du greffier Matte pour se faire.Le but de l'exercice: Protéger l'immunité de la juge Rayle qui a pris sa retraite depuis l'offense et protéger par le fait même sa propre immunité en obviant ainsi mon droit d'être entendu sur ma requête déposée de plein droit.

.Le 3 novembre 2005, je suis donc arrêté à la Cour d'appel après qu'un constable spécial m'ait interpellé pour me dire que j'avais porté des «voies de faits» la veille, soit le 2 novembre, sur la personne d'un greffier de la Cour d'appel et portant le nom de Donald Matte ? Alors que j'y venais afin de déposer une requête amendée me permettant d'être entendu le lundi suivant soit le 7 novembre 2005 sur ma requête en rétractation de jugement de la juge Pierrette Rayle. D'ailleurs, le juge Jean-Pierre Bonin n'a même été en mesure de reconnaître que l'accusation, à sa face même, apparaissait déjà saugrenue du fait que si quelque chose d'à ce point anormal s'était passé au greffe de la Cour d'appel, comment était-il possible que les 2 constables affectés à l'entrée et au détecteur de métal, située à peine à 50 pieds du greffe ne sont même intervenus le 2 novembre 2005 pour m'arrêter sur le champs si cela était vrai que j'avais porté des «voies de faits» sur le greffier Donald Matte.

.Le 7 décembre 2005, un jury m'acquitte de 4 charges alléguées de menace et harcèlement envers 4 officiers administratifs de l'Ordre des technologues professionnels du Québec.
(voir article du 8 déc. 2005 du Journal de Mtl. plus bas et du coté droit de ce blog) Et ce, malgré le fait que la juge Pierrette Rayle m'a empêché par son jugement datée du 4 août 2005 qu'une preuve de fraude impliquant les syndics Chenel Lauzier et Serge Dumas faite de concert avec leur procureur, Me Jean-Claude Dubé, ne puisse être démontrée afin de se protéger ainsi d'un énorme préjudice qui m'a été porté dans l'instance disciplinaire et afin de permettre que le processus de plainte initiée contre l'ingénieur Pierre Sicotte soit disgracieusement détourné en ma défaveur dans l'instance criminelle alors qu'absolument rien ne justifiait telle mesure.

.Le 8 février 2006, la juge Suzanne Coupal de la Cour du Québec me déclare coupable d'harcèlement sur 2 des 3 officiers administratifs dans la même cause qui avait pourtant fait l'objet d'un acquittement par jury le 7 décembre 2005. Oubliant ainsi d'appliquer le principe de la «chose jugée». Un principe de justice fondamentale qui ne pouvait d'ailleurs trouver meilleure application. D'ailleurs le plaignant principal dans ce dossier soit le président de l'Ordre des technologues du Québec, M. Alain Bernier est venu, imaginez, affirmé en cour que la même correspondance faisant par ailleurs partie de la complète divulgation de la preuve déposée pour le procès devant jury de décembre 2005, transmise aux 3 témoins et contenant une «réflexion» tirée de l'évangile, ne lui avait pas «fait peur» et ne me craignait nullement. Mais les 2 autres, soit le directeur et secrétaire Denis Beauchamp et la secrétaire au comité de discipline Me Nicole Bouchard ont dit que «oui» et qu'ils craignait en plus pour les membres de leur famille; alors que je n'ai eu quelque contact avec quelque famille que ce soit. La preuve avait donc été rejetée 2 mois plus tôt par le jury puisqu'il m'avait acquitté. Ainsi la juge Coupal dotée d'un jugement d'un enfant de moins de 10 ans, se perd en conjectures en appuyant sa décision en fonction de l'état d'esprit et d'âme de chacun des témoins. Lesquels ne méritent même pas que leur salaire soit payé par les membres de l'Ordre des technologues professionnels du Québec tellement leurs mensonges m'ont fait du tort. Qui est-ce qui fait de la paranoia délirante au juste ? Ce jugement a donné lieu à l'«Affaire Coupal» expliquée plus bas dans ce blogue.

.Le 21 juin 2006, la juge Sophie Bourque de la Cour supérieure me déclare coupable d'harcèlement envers l'ingénieur Pierre Sicotte de Longueuil même si le jury du procès présidé par elle-même me déclare «non-coupable» de la charge unique d'harcèlement inscrite à la dénonciation. Ce geste très grave de prévarication a donné lieu à l'«Affaire Bourque» et est expliquée plus bas dans ce blogue.

.Le 30 juin 2006, le juge Jean-Pierre Bonin de la Cour du Québec me déclare coupable de «voies de faits» sur le greffier Donald Matte de la Cour d'appel même s'il avait appris de l'enquêteur et constable spécial Cristian Dragan du palais de justice de Montréal que la preuve du geste reprochée et capté par la caméra du greffe de la Cour d'appel avait été «détruite» ?

.Le 19 janvier 2007 , je suis finalement libéré de l'Institut Philippe Pinel au terme d'une ordonnance de la juge Bourque. Cette dernière m'y avait envoyé de force suite à mon acquittement de manière à camoufler ainsi son geste de prévarication grave commis le 21 juin 2006. Pour se faire, elle a prétexté de concert avec une Couronne manifestement complice, une inaptitude de ma part à subir mon procès; et ce, après qu'un jury ait curieusement rendu son verdict. Bafouant même ainsi les dispositions prévues à l'article 672.26b du code criminel qui l'obligeait à ré-assermenter le jury pour décider de la question en un tel cas rare. Voir: «Affaire Bourque»

.Profitant de ma liberté que pendant 10 mois, je suis de nouveau arrêté sans mandat aucun le 19 novembre 2007. Cette fois on m'accuse d'avoir proféré des menaces de mort à l'endroit de M. Zaki Ghavitian, président de l'Ordre des ingénieurs du Québec et avoir fait de même à l'endroit de M. Raymond Corriveau, président du Conseil de Presse.

.Le 4 décembre 2008, soit près de 13 mois plus tard et toujours détenu à l'Institut Philippe Pinel grâce cette fois à un jugement absolument délirant du juge Richard Poudrier de Trois-Rivières qui m'y envoyait jusqu'en février 2010, je suis finalement libéré par le juge Robert Sansfaçon après avoir appris que le plaignant (l'O.I.Q) avait à son tour, détruit sa «preuve» : soient, entre autres, les messages dit haineux et menaçants laissés sur leurs boites vocales et les transcriptions que Me Luce Bastien en a fait de concert avec M. Zaki Ghavitian, président de l'O.I.Q ? ? Au lieu de mettre fin à la parodie judiciaire, le juge Sansfaçon de la Cour du Québec,
en plus de m'obliger à signer des conditions de remise en liberté que sa Couronne menteuse et complice avait préparées et avec lesquelles je n'étais pas d'accord, décide de remettre cela pro-forma le 10 février 2009 prétextant ne pas être le tribunal compétent pour ordonner immédiatement un arrêt des procédures ? ? Entendez le procureur Rouillier dire qu'il a reçu la requête de l'accusé mais faire une faute volontaire et parler curieusement de «l'Arrêt Stinchcombe pour l'arrêt des procédures» alors que cet arrêt a été entériné en 1991 par la Cour suprême du Canada afin de rappeler à la partie poursuivante qu'elle avait obligation de divulgation complète de la preuve à l'accusé de façon à lui permettre une défense pleine et entière. Pathétique. Cliquez sur: http://ca.youtube.com/watch?v=uFU39h1sGzU pour entendre le juge Sansfaçon dire qu'il expliquera mais n'explique absolument rien et s'exprime en levant même le ton de façon à laisser croire que tout cela est très normal et que c'est moi encore qui dérange par mes questions stupides. Alors qu'un juge ne peut encore moins ne pas comprendre ces dispositions d'une énorme importance envers les droits d'une personne accusée! Constatez également le silence de Me Bourassa, directeur de l'aide juridique de Montréal, pseudo-avocat, ami de la Cour et de la Couronne, qui n'intervient même pas afin de maintenir ainsi contre toute attente de son client le préjudice à son endroit; et ce, pour le simple plaisir de ces hommes de mauvaise foi que sont le juge Robert Sansfaçon et le procureur Jacques Rouillier. Ahurissant !

.Le 10 décembre 2008, la Commission d'examen des troubles mentaux est forcée d'admettre que je suis apte à comparaître et que je ne souffre d'aucune espèce de maladie mentale. Et ce, après avoir entendu les témoignages du psychiatre Frédéric Millaud de l'Institut Pinel et du psychiatre Pierre Mailloux qui avait produit la contre-expertise demandée par moi-même et non par mon avocat, Me Bourassa de l'aide juridique de Montréal.

.Le 11 décembre 2008, je suis finalement libéré de l'Institut Pinel sur l'initiative du Dr. Frédéric Millaud et non d'après ce qui avait été décidé devant la Commission d'examen laquelle voulait, sur la recommandation de mon propre avocat, que je sois au préalable conduit devant la Cour à Trois-Rivières et que j'y sois libéré qu'après avoir signé leurs conditions. Lesquelles étaient celles entre autres, que je reconnaisse ma culpabilité alors que je n'ai encore eu droit à quelque procès que ce soit dans les dossiers toujours pendants. Je n'ai évidemment pas signé ces conditions sévères et inappropriées que j'ai curieusement reçues par la poste ! ! !

On s'acharne de plus belle. Je comparais le 10 février 2009 à Montréal et le 17 mars 2009 à Trois-Rivières mais je n'ai toujours pas en main les preuves demandées. Lesquelles ont : soit été détruites ou sont carrément inexistantes.

Je demande un procès avec juge et jury réunissant les dossiers concomitants pendants. Mais je crois qu'on va tout faire pour ne pas m'accorder ce «privilège» le 10 février prochain à Montréal ? ? Sûrement, faut-il croire, parce que cela doit être dans les intérêts de la Justice ?

31 mois de détention illégale à ce jour dont 20 mois passés absolument pour rien à l'Institut psychiatrique Philippe Pinel alors qu'il y a un besoin criant de lits pour les personnes qui ont vraiment besoin d'y être soignées. Aussi j'ignore toujours la raison de cet internement stupide et disgracieux. (voir autre commentaire au bas de l'article )

Est-ce à cause de mes convictions sur la Commission Johnson expliquées objectivement dans ce blogue ? Ou parce que j'ai osé dévoiler la vérité sur les mensonges, la fourberie et la fraude de certaines personnes importantes qui se pensent au-dessus des lois parce qu'ils sont, entre autres, juges ?

A suivre...

11 commentaires:

Anonyme a dit…

J'aimerais rajouter un commentaire pour le moins troublant quant à mon internement pour le moins inutile à l'Institut Philippe Pinel.

Le 28 novembre 2007, Monsieur Justin-Scott St-Aubin est mort d'une arythmie cardiaque à la prison de Rivière-des-Prairies parce qu'il manquait de place à Pinel pour le soigner convenablement.

En ce sens tapez:
http://www.ledevoir.com/2008/07/09/196966.html

Le jeune homme est donc mort 8 jours après qu'un médecin généraliste de Pinel, le Dr. Mansour est venu témoigner devant la juge Sylvie Durand, j.c.q. à la Cour le 20 novembre 2007 soit le lendemain de mon arrestation sans mandat que je présentais des symptômes inquiétant d'une personne inapte à comparaître; que j'avais déjà été traité de cela par le Dr. Talbot en 2006-2007 durant 7 longs mois et que manifestement même si j'avais été reconnu de nouveau apte au bout du terme, j'étais définitivement selon lui en rechute.

Or, le Dr. Mansour m'a rencontré le matin de l'audience que pendant 30 secondes dans un parloir du Palais de justice Montréal. Car j'ai mis fin rapidement à la conversation, sachant qu'il n'étais pas psychiatre puisque je l'avais déjà rencontré à Pinel pour un examen d'ordre général et lui a fait part de cela avant de quitter le parloir de mon propre chef; sentant l'incurie encore une fois dela part de cette Institut devenue selon moi tout à fait déshumanisée grâce à des malades mentaux de psychiatres que sont, entre autres les Dr. Talbot, Morissette, John Wolwertz (un sénile en plus celui-là) et le Dr. Michel Filion (Un monstre sur deux pattes qui ne fait que nier ce que son patient lui apprend pour mieux ainsi encaisser son enveloppe brune sous la table dénuée d'impôt et provenant sans doute du président de l'O.I.Q) lui-même.

J'ai donc occupé un lit qui aurait pu servir au lieu à M. Aubin.

Voilà ce qui doit nécessairement arriver lorsque des médecins qui se prétendent experts dans leur domaine s'amusent au lieu à accepter des sommes d'argent en retour de leurs diagnostics-bidon plutôt que de soigner les vrais malades mentaux ! !

Rappelons aussi que l'Institut Pinel aurait pu ainsi éviter une poursuite de l'Ordre d'un demi-million par la famille Aubin.

D.B

Anonyme a dit…

Voici une chronologie simplifiée révisée de mon dossier judiciaire au point de vue des jugements principaux qui ont été rendus de 2005 à 2010. Soient 18 jugements fantoches voire inappropriés et une décision inappropriée de la part de l’ex-premier ministre Jean Charest. (Voir l’onglet: Le premier ministre impliqué dans l’incurie ? du menu de droite). Se rajoutent à ceux-ci, 8 jugements discriminatoires de la cour supérieure, par 8 juges différents, sur un traitement contre mon gré de 2009 à 2019. Ces premiers 18 jugements constituent des inférences servant de preuves tangibles au fait que Monsieur Charest aurait exercé, durant ses 9 années de pouvoir, du trafic d’influence auprès de juges, en les incitant à se faire corrompre par l’Ordre des ingénieurs du Québec en particulier. Et ce, en échange, bien évidemment, de somptueuses entrées d’argent dans la caisse du parti libéral par ce même O.I.Q. en pleine disgrâce.

4 août 2005: La juge Pierrette Rayle, de la cour d’appel, m’empêche d’avoir accès à un document de preuves de fausses allégations criminelles dans l’instance disciplinaire étant membre de l’O.T.P.Q. Le document en question fut déposé par Me Jean-Claude Dubé qui représentait le plaignant menteur, l’ingénieur Pierre Sicotte, à qui j’avais confié un mandat de 20 heures en mai 2003. La juge Rayle a produit, à son tour, un document contrefait rendu avant même de m’entendre (Affaire Rayle). Elle fait en sorte, en plus de couvrir la fraude de Dubé, qu’un processus criminel s’enclenche à mon endroit dans un premier procès en décembre 2005. Et ce, après avoir séjourné 3 mois « préventivement » à la prison de Bordeaux d’avril à juin 2005 sans la divulgation de ce document de soi-disant preuves.

Anonyme a dit…

7 décembre 2005: Suite à mon acquittement par jury des 4 charges de menace et harcèlement qui pesaient contre moi, le juge Richard Mongeau de la cour supérieure, tel un tyran, autorise tout de go la tenue d’un autre procès en février 2006 simplement parce que le procureur de la Couronne au dossier, Me Steeve Larivière, lui a dit qu’il y avait d’autres charges de même nature contre moi à l’égard des mêmes témoins. Témoins qui sont venus mentir devant lui et le jury. Le juge Mongeau oublie d’appliquer le principe de la chose jugée. Au lieu de me libérer, il me garde incarcéré jusqu’à la tenue du procès.

6 février 2006: La juge Suzanne Coupal, de la cour du Québec, oublie volontairement, à l’instar du juge Mongeau 2 mois plus tôt, d’entériner le principe de la chose jugée et me déclare coupable d’harcèlement envers 2 officiers administratifs de l’O.T.P.Q. Les mêmes officiers qu’un jury n’avait pas cru en m’acquittant (Affaire Coupal). En appel devant la cour supérieure à six reprises, le juge James L. Brunton m’apprend finalement qu’il a besoin des transcriptions pour rendre son jugement et qu’il m’appartient, dira-t-il, de les fournir à la cour. N’ayant pas d’avocat ni les moyens de payer les coûts de ces transcriptions, j’ai dû abandonner, à mon plus grand désarroi, mon recours. Alors que le juge Brunton n’avait qu’à appliquer le principe de la chose jugée à son tour et n’avait pas besoin des transcriptions pour faire cela.

Anonyme a dit…

21 février 2006: À l’enquête préliminaire, le juge Guy Fortier de la cour du Québec, ne respecte pas le jugement de la juge Carol Cohen de la cour supérieure qui enjoignait la Couronne de me faire la complète divulgation de la preuve dans les 10 jours, soit jusqu’au 13 février 2006. Il me condamne plutôt à 2 mois de prison pour m’y être objecté avec un peu trop de véhémence et alors que c’était bien la Couronne (Me Louise Leduc) qui était en outrage.

21 juin 2006: La juge Sophie Bourque, de la cour supérieure, renverse le verdict du jury de façon malicieuse et me déclare coupable d’harcèlement envers un ingénieur que j’avais mandaté de bonne foi en mai 2003 (Affaire Bourque). Elle m’envoie par ordonnance à Pinel 7 mois, afin de soigner ma soi-disant inaptitude à subir mon procès alors que j’avais livré une plaidoirie d’une heure sans faille et interruption de la juge la veille et convaincu le jury de mon innocence sur toute la ligne.

30 juin 2006: Le juge Jean-Pierre Bonin, de la cour du Québec, me déclare coupable de voies de fait envers un greffier de la cour d’appel alors que la preuve « hors de tout doute raisonnable » avait été détruite. Soit le film capté par la caméra du greffe. Et ce, selon M. Cristian Dragan, enquêteur au dossier. La cour d’appel avait des choses à se reprocher dans l’Affaire Rayle. Raison pour laquelle elle aurait inventé cela pour me discréditer quant à ma complète innocence.

Anonyme a dit…

Octobre 2006: La cour suprême du Canada, par l’intermédiaire de sa registraire, Anne Roland, rejette ma requête en mandamus laquelle aurait forcé le juge en chef de la cour d’appel, M. Michel Robert, d’invoquer ses motifs pour ne pas reconnaître une audience qui, selon les plumitifs du dossier de première instance, s’est tenue le 28 août 2006, sans ma présence. L’audition avait somme toute comme but la réécoute du prononcé du verdict du jury du 21 juin 2006 (Affaire Bourque). Curieux qu’aucun juge de cette cour de dernier recours n’a voulu se mouiller et laisser à une registraire la charge de rejeter ma requête.

1er mars 2007: Sur la recommandation de mon propre avocat, Me Gaétan Bourassa, qui s’est avéré être d’une aide très peu précieuse, je signe, contre mon gré, un acte de désistement de mon appel. Acte préparé par la cour d’appel même et alors que mon appel visait simplement la réécoute du verdict du jury du 21 juin 2006. Le juge Jacques Chamberland prend frauduleusement acte le 23 mars suivant et ce, sans même qu’il y ait audition dans les deux cas.

Juillet 2007: Une lettre adressée au ministre de la justice et de la sécurité publique, M. Jacques P. Dupuis, par M. Éric Laporte, député adéquiste de ma circonscription, à l’égard duquel j’avais confié mon dossier de réparation en vertu des affaires Bourque, Coupal et Rayle, n’obtient aucune réponse. J’en infère déjà dès lors que M. Dupuis, bras droit de M. Charest ou M. Charest lui-même, avait des choses à se reprocher dans mon dossier de poursuite abusive.

Anonyme a dit…

20 novembre 2007: La juge Sylvie Durand de la cour du Québec émet une ordonnance et m’envoie en redondance à Pinel soigner ma soi-disant inaptitude à subir mon procès alors que je n’étais nullement dévasté et ait resté calme et poli et prêt à faire face aux nouvelles accusations d’harcèlement et menace qui pesaient contre moi suite à mon arrestation sans mandat de la veille.

19 février 2008: 3 mois suivant mon arrestation illégale du 19 novembre 2007, la juge France Charbonneau de la cour supérieure, raye du rôle ma requête en habeas corpus au terme d’une audience de cinq minutes sans me laisser la chance de m’exprimer. Ce qui a prolongé ma détention arbitraire et illégale.

Mars 2008: En contradiction gênante avec le jugement de la juge Louise Villemure de la cour du Québec laquelle m’avait reconnu apte à comparaître à Montréal en décembre 2007, soit un mois après le jugement Durand, le juge Richard Poudrier de la cour du Québec à Trois-Rivières, émet une ordonnance tyrannique en m’envoyant à Pinel jusqu’en février 2010, soigner, encore une fois, ma soi-disant inaptitude à subir mon procès alors que je n’étais encore là nullement dévasté et ait resté calme et poli. D’autre part, l’acte d’accusation (menace envers le président du Conseil de Presse, M. Raymond Corriveau) qui ne fera jamais finalement l’objet d’un procès, à été pris par voie sommaire par la Couronne (Me David Bouchard). Voie sommaire qui prévoit en cas de culpabilité, une sentence de six mois maximum. Ce qui ne faisait aucun sens.



Anonyme a dit…

14 mai 2008: Dans un jugement pour le moins dictatorial qu’il s’est livré avec lui-même, en mentionnant par surcroît que j’étais présent à l’audience avec mon avocat, le juge en chef Michel Robert, de la cour d’appel, ferme mon dossier d’appel frauduleusement suite à quelque audition que ce soit et pendant que j’étais toujours interné à Pinel.

31 octobre 2008: Les juges Chamberland, Vézina et Giroux de la cour d’appel, accueille mon appel de la commission d’examen des troubles mentaux (CETM) de maintenir le jugement du juge Richard Poudrier de mars 2008 mais énoncent contradictoirement dans leur jugement « qu’aucun tort ou erreur judiciaire ne s’est produit » ? ?

4 décembre 2008: Étant demeuré incarcéré depuis le 19 novembre 2007 soit à la date de mon arrestation illégale sans mandat, le juge Robert Sansfaçon de la cour du Québec, me libère finalement 13 mois plus tard sous conditions de signer des conditions de remise en liberté sévères préparées par sa couronne complice, Me Jacques Rouillier. Il déclare ne pas être le tribunal compétent pour entériner un arrêt des procédures. Arrêt suggéré curieusement et nerveusement par Me Rouillier pour cause d’un manque de preuves. Preuves qui furent détruites par l’O.I.Q. selon ce qu’il a allégué à mon avocat, Me Gaétan Bourassa de l’aide juridique de Montréal, mais non devant la cour. Malgré tout cela, il y aura procès en mai 2009. Ce qui a semé la confusion la plus totale.

Anonyme a dit…

10 février 2009: La juge Rolande Matte de la cour du Québec me fait arrêter en pleine cour lors de ma seule comparution devant elle en déclarant que « l’inaptitude me pendait toujours au bout du nez » et m’a expédié manu militari 7 jours à Pinel pour évaluer de nouveau ma soi-disant inaptitude à comparaître à la fin de la deuxième séance devant elle (Affaire Matte). Alors que calme et serein, j’ai demandé simplement à nouveau le dépôt de la communication complète de la preuve que je savais disculpatoire à mon endroit. Cette preuve qui me fut remise difficilement entre deux séances devant la juge Matte, s’est confirmée être absente de motif raisonnable de m’avoir maintenu sous verrous du 19 novembre 2007 jusqu’au 4 décembre 2008. Ce jugement de la juge Matte est d’autant plus surprenant qu’il survient à peine 3 mois après un même jugement rendu en cour du Québec au terme de deux jours d’audience sous la présidence du juge Jean-Pierre Boyer. Ce dernier m’avait déclaré apte à comparaître en novembre 2008 et après que la juge Louise Villemure de cette même cour du Québec ait fait de même en décembre 2007. Sur la base, la deuxième fois, du témoignage livré par le psychiatre Pierre Mailloux et en dépit des avis contraires des psychiatres de l’institut Pinel. Le moins que l’on puisse dire est que la redondance, aux frais des contribuables, n’effraie pas la juge Matte.

21 mai 2009: Le juge Richard Mongeau de la cour supérieure, soit le même juge qui avait vu un jury m’acquitter en décembre 2005 de 4 charges de menace et harcèlement contre des officiers administratifs de l’O.T.P.Q. me condamne tyranniquement à 54 mois de prison après qu’un jury, qu’il aurait influencé en étant partial sur toute la ligne, m’ait reconnu coupable d’harcèlement envers l’O.I.Q. même si les cinq petits éléments de preuves finalement déposés par la couronne, étaient disculpatoires à mon endroit.

Anonyme a dit…

Janvier 2010: Le juge Claude Champagne, de la cour supérieure, me condamne à cinq ans de prison pour rajouter à l’ampleur du préjudice qui m’a été porté durant toutes ces années, après qu’un jury m’ait reconnu coupable de menace de voies de fait envers Me Jacques Rouillier, un procureur de la couronne qui a siégé dans le dossier de mai 2009. Ce dernier, avec l’aide d’une greffière complice, a conté des mensonges à la cour car il avait beaucoup de choses à se reprocher dans sa poursuite abusive et non fondée. Ce Monsieur Rouillier est par la suite devenu juge à la cour du Québec en 2016 sous un autre gouvernement libéral (soit celui de M. Couillard) et sans doute pour services rendus à M. Charest.

Par ailleurs, dans 8 jugements pour le moins loufoques voire discriminatoires, 8 juges de la cour supérieure se sont succédés depuis 2009 pour ordonner, à mon encontre et afin que je perde ma dignité, un traitement contre mon gré d’antipsychotique Injectable une fois par mois. Ces traitements ont été renouvelés à tous les ans ou les trois ans en se basant sur des rapports psychiatriques complaisants. Rapports qui ont été faits afin de me discréditer dans mes démarches pour obtenir justice face à la juge Sophie Bourque de cette même cour supérieure. Le dernier ayant été rendu en 2019 jusqu’à décembre 2022. Rappelons seulement que la juge Sylviane Borenstein le 5 décembre 2016, dans un élan de solidarité envers sa consœur, la juge Bourque, aurait affirmé haut et fort durant l’audience, que celle-ci « était parfaitement dans son droit de faire cela » quand je lui aurais affirmé que cette juge aurait commis une infraction criminelle en renversant, contre toute attente de ma part, le verdict du jury du 21 juin 2006 (Voir Affaire Bourque du menu de droite)

Anonyme a dit…

Voici 2 autres jugements fantoches qui se rajoutent aux 26 jugements précédents pour un total de 28 jugements:

17 mars 2009: ma comparution devant la juge Dominique Slater

Dans ce dossier, et après une mésentente avec elle parce que je revendiquais la tenue d’un procès unique réunissant les dossiers concomitants à Montréal, la juge Slater a décidé unilatéralement d’une date de début de procès à Trois-Rivières, soit le 3 juin 2009. Mais il n’y a jamais eu de procès à cette date ou à une autre date. Ce qui constitue une anomalie majeure. D’autant plus que j’ai été incarcéré pendant 3 mois à Trois-Rivières en attente de mon procès.

Constatation: On emprisonne les honnêtes citoyens à Trois-Rivières sans même leur faire de procès et ce, afin de s’assurer qu’ils reçoivent une punition même s’ils ne sont pas coupables de quoi que ce soit.

Ce que je considère être une déconsidération honteuse de l’administration de la justice à Trois-Rivières et une dérogation à l’article 23 de la Charte.

Anonyme a dit…

26 novembre 2009: ma comparution devant le juge Robert Marchi

Le juge Marchi m’a littéralement manqué de respect en m’envoyant dans une autre salle d’audience afin que je suive mon procès par visioconférence. Étant émotif quand je suis venu pour m’exprimer haut et fort, le juge m’a immédiatement zappé pour me mettre au mode silencieux. J’ai alors décidé de quitter la salle d’audience constatant que ma défense pleine et entière ne serait pas assurée et que ce procès était donc une autre grosse farce. Mécontent, étais-je aussi du fait de me faire zapper comme l’avait fait au printemps de la même année 2009 dans un procès affreux et indigne d’être reconduit de cette manière.

Le juge Marchi adoptait donc ce même comportement anormal sans doute par complaisance avec son confrère de la cour supérieure.

En mon absence, le juge Marchi m’a décerné 3 mois de prison supplémentaires pour voies de fait envers un agent des services correctionnels, un certain François Demers. Lequel a menti au juge Marchi car c’est lui qui m’a frappé à plusieurs reprises au visage en prenant bien soin de retrousser mon veston par dessus ma tête pour éviter que cela laisse des marques.
Et ce, sans plus d’avertissements de sa part puisqu’étant obligé de se contenir dans n’importe laquelle circonstances. Alors que je suis resté poli envers lui et ne l’ait jamais traité de « screw sale » comme il l’a prétendu en témoignage. Au fait, n’étant pas un criminel d’habitude, le mot « screw » n’a jamais fait partie de mon langage courant puisque j’ai un bon français et l’utilise à bon escient même en étant sous pression.

Le but étant évidemment de me faire passer pour un dangereux criminel alors que c’est moi la victime de tout ce cirque. Autre but: Donner du crédit au procès impliquant le procureur Rouillier venant dans 2 mois soit en janvier 2010 dans lequel ce dernier m’accuse de l’avoir menacé de mort alors que cette accusation est fausse également.

Par ailleurs, l’altercation a été captée par une caméra d’un corridor adjacent aux salles des fouilles mais le juge Marchi ne m’a pas laissé l’occasion d’expliquer ce fait pour éventuellement renverser la vapeur et produire une preuve probante de l’accusation envers Demers.

Un autre juge dont l’aptitude à juger s’est révélée être carrément déficiente.

Autre constat: Les agents correctionnels sont souvent complices de ce qui se trame dans nos cours de justice et influent sur les dénouements. Ce qui est très grave voire inacceptable.

Daniel Bédard