La justice version Québécoise...

vendredi 2 novembre 2007

Invitation à M. Ghavitian à se rendre au pilori au nom de l'O.I.Q dans une troisième lettre ouverte

Repentigny, le 2 novembre 2007

Président de l’Ordre des ingénieurs du Québec
A/s : Monsieur Zaki Ghavitian
Gare Windsor, bureau 350
1100, rue de La Gauchetière Ouest
H3B 2S2


Objet : 2 cas successifs d’erreurs de jugement graves et inavouées d’ingénieurs sur leurs plans d’ingénierie scellés et signés et par la suite camouflées par l’O.I.Q lui-même

Monsieur,

Qu’avez-vous maintenant à dire sur le fait que le rapport Johnson ment officiellement de façon irresponsable à la population ? Et à leur frais, par dessus le marché, au coût de $6,000,000 ?

Prenez-vous le reste de la population active autre que vos 54,000 ingénieurs pour des incompétents ou des imbéciles heureux ?

Considérant également que les poutres qualifiées erronément de poutres-caissons dans le cas du viaduc De La Concorde se devaient tout de même de « travailler » en compression. Or, et en étant plus larges (4’) que hautes (3’) ces poutres dont l’épaisseur des parois est de 5’’ seulement (toujours selon le schéma inclus au rapport Johnson) auraient dangereusement, en contrepartie, « travaillé » en tension ou flexion si elles avaient été creuses ou évidées comme le rapport a honteusement tenté de le laisser croire à la population. Et ce, afin de dérisoirement obvier ainsi au malheureux constat que le massif d’appui de 20’’ de haut seulement était sollicité d’efforts indus en cisaillement émanant d’une charge morte beaucoup trop importante imposée de façon inquiétante à la structure depuis l’origine.

Dans le cas du dossier impliquant l’ingénieur Sicotte, j’ai fait inutilement 18 mois de prison afin d’absorber préventivement ainsi sa contre-attaque sournoise voire vicieuse. Et l’O.I.Q, étrangement, a contresigné son comportement mesquin à l’endroit de son client en bousillant ma vie pour avoir été responsable à sa place. Et pour que puisse être camouflé de la même manière son erreur de jugement qui fut celle, entre autres, d’avoir oublié 6 poutres assurant, cette fois, la stabilité statique d’un bâtiment plus haut (20’) que large (12’) sur ses plans d’ingénierie scellés et signés. Une erreur qui, à défaut d’être interceptée à temps par moi-même, aurait pu faire en sorte de compromettre sérieusement l’intégrité structurale de l’ensemble de l’ oeuvre et peut-être même entraîner l’effondrement du bâtiment lors de l’érection ou pendant la vie utile de cet abri chauffé et attenant à un bâtiment principal. Construction, par surcroît, soumise à des forts vents et charge de neige importants et non-négligeables puisque installé à Fermont, Québec. Et ce, pour le bénéfice et l’usage de la compagnie minière Québec Cartier laquelle, comme vous le savez, s’est montrée de la même manière irresponsable dans le dossier, en protégeant leur ingénieur tout aussi fautif en complicité et portant le nom de Denis Désaulniers. Lequel avait fourni au départ des croquis de conception erronés non signés par lui-même. Contrevenant ainsi à l’article 3.04.02 de son code de déontologie. Faute qui sera également excusée d’emblée par le tout aussi intègre Louis Tremblay, syndic de l’O.I.Q.

Le 10 janvier 2006, 29 mois après ma demande initiale d’enquête de juillet 2003 et alors que j’agissais pourtant comme plaignant privé par défaut dans le dossier disciplinaire m’opposant à l’ingénieur Pierre Sicotte, soit un mois après mon acquittement par 12 jurés du 7 décembre 2005, le Bureau de O.I.Q maintenait pendant ce temps ses efforts indus en mesquinerie pour me faire comparaître au palais de justice de Montréal chaînes aux pieds et menottes aux poignets alors que je n’avais démontré quelque dangerosité potentielle. Ne possédant même d’antécédents criminels puisque acquitté du premier. Le 20 mars suivant, après seulement 2 1/2 audiences du comité de discipline de l’O.I.Q d’un total prévu de 7, Me Jean-Guy Légaré, président-suppléant du comité, mettait brusquement fin au processus disciplinaire tenu à l’endroit de l’intimé Sicotte sans même me signifier les raisons. Peut-être devrait-il faire autre chose celui-là et cesser de faire du copinage compulsif et tenter ainsi de convaincre qu’il assume, en sa qualité d’avocat, ses fonctions de façon responsable, en tétant tout ce qu’il y a à téter des ordres professionnels en déliquescence.

La Sécurité Publique, ainsi bien administrée par Monsieur Jacques P. Dupuis, ( le P est sans doute pour Persécuteur) en grande démonstration d’irréflexion mêlée à un besoin intarissable de renfort de sauvetage d’immunités l’impliquant à son instar, malheureusement pour moi, me convoqua pour rien le lendemain. Comme vous le savez sans doute. Soit pour la journée complète du 21 mars. Une gestation indélébile dans une cellule carcérale de 6’x10’ agréablement mise ainsi à ma disposition au sous-sol du Palais de « ladite » Justice de Montréal. Confirmant sa perversion déviante narcissique en sa qualité d’hôte de la journée en me présentant, sans doute pour m’enrager, ses rendues très célèbres sandwichs-jambon-fromage moletées sur margarine généreuse imprégnée sur pain blanc. Alors qu’un repas chaud m’avait été consenti à l’heure du lunch. Comme le prévoyait pourtant le règlement. Celui-ci s’appliquant lorsqu’un détenu est convoqué pour une troisième journée d’audience de suite. Histoire sans doute de me faire regretter encore une fois ainsi, mon geste responsable d’avoir vu à protéger le Public. J’ai préféré jeûner encore une fois n’étant même plus capable de les sentir et afin de ne pas en plus leur permettre en tentant ainsi d’affecter mon état mental, d’affecter par surcroît, ma santé physique.

Imaginez la portée des gestes d’incurie graves de l’O.I.Q dans ces deux dossiers. Considérant, par surcroît, ces 3 camouflages éhontés successifs et ce haut niveau d’hypocrisie mêlée à de la vile mesquinerie, est-ce vous maintenant, M. Ghavitian, qui en porterez le blâme à leur place pour avoir ainsi couvert leur incompétence notoire et absence d’intégrité ?

La population m’incluant voudra qu’on lui rendre des comptes maintenant, afin qu’en autres, l’image de la profession d’ingénieur puisse être sauvegardée malgré ces deux écueils pour le moins excessivement gênants. Lesquels demandent maintenant, vous en conviendrez, réparation urgence afin de vous montrer simplement responsable comme il se doit.

Dans l’intervalle de votre réponse imminente, recevez, Monsieur, mes salutations.



Daniel Bédard

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Great blοg here! Аԁdіtiοnаlly
уour site quite a bit up fast! What web host are you the use of?
Can I get your assocіate link tο your host?
I ωish my websitе loaded uρ as quickly as yours
lol
my webpage > silk'n Sensepil coupon