Êtes-vous également de ceux et celles qui ont été contraints de passer par l'Aide juridique de Montréal ?

N'ayant toujours pas eu de nouvelles de Me Gaëtan Bourassa, le directeur de l'Aide juridique de Montréal et procureur au dossier, relativement à une demande en divulgation complète de preuve de ce dont le ministère public m'accuse, une demande pourtant fort simple et on ne peut plus légitime transmise une première fois par écrit le 8 janvier 2009 et réitérée de la même manière le 28 janvier 2009, suivant deux rencontres de 2 heures en date du 5 et 26 janvier 2009 à son bureau situé au 800, boul. De Maisonneuve à Montréal, je me retrouve dans l'obligation de procéder par lettre ouverte: en ce sens voir: Lettre ouverte à Me Gaëtan Bourassa, directeur de ... sur http://prevarication101.blogspot.com/

Je considère donc, à juste titre, que son mutisme est un indicatif sérieux de son absence d'intégrité. Ce qui pourrait affecter grandement la qualité des services relatifs offerts par l'Aide juridique de Montréal à ceux et celles qui n'ont plus ou pas les moyens de se payer un avocat du privé afin d'assurer, de la même manière, leur défense pleine et entière. Rappelons que le droit d'être représenté par un avocat est un droit constitutionnel garanti à la fois par la Charte Québécoise des Droits et Libertés de la personne et la Charte Canadienne.

Me Bourassa étant rémunéré via le Ministère de la justice du gouvernement libéral au pouvoir: un ministère nouvellement attribué à Madame Kathleen Weil, elle-même avocate de profession.

Or, il est à se demander si cette dernière, au même titre que le premier ministre Charest, n'a pas un intérêt quelconque à protéger Monsieur Zaki Ghavitian, président de l'O.I.Q ? Et ce, au détriment du respect de mes droits constitutionnels.

Rappelons que cette Charte des droits et libertés de la personne a été amendée en grande pompe en novembre 2007 à l'Assemblée Nationale par le premier ministre Charest avant même d'avoir en main le rapport des travaux de la Commission Taylor-Bouchard sur les accommodements raisonnables, manquant ainsi littéralement de respect envers ces messieurs et les contribuables qui ont défrayé les coûts importants de cette autre Commission après celle de Monsieur Johnson. Tout cela pour que le culte des femmes soit aussi bien reconnu au Québec que le culte des hommes et afin d'être compatible avec la Charte canadienne.

Ainsi, et s'il faut croire notre premier ministre dans ses nobles intentions d'équité dans la Charte, le culte des femmes en toute égalité avec celui des hommes se révèle être beaucoup plus important à ses yeux que la justice pour les hommes en toute inégalité avec celle octroyée aux femmes...

Sauf exception, faut-il en déduire de sa performance, n'en déçoive Madame Weil, pour ses ''amis'' masculins qui le côtoient de très près.

Voilà en ce qui concerne l'interprétation de la Charte Québécoise que tous devront maintenant y donner grâce au premier ministre du Québec lorsque la violence conjugale sera aussi un jour alléguée être à la source d'une rupture dans un couple parmi ses ''amis''. En ce sens voir l'Affaire Camille également présent à l'onglet de droite sur ce blogue ''Atteintes illicites intentionnelles''.