La justice version Québécoise...

mardi 13 novembre 2007

Le Conseil de Presse du Québec : Un organisme parapublic inutile subventionné moitié par l’État moitié par le privé !

Non seulement cet organisme dépense inutilement indirectement l’argent des contribuables mais il contribue aussi à faire en sorte que les droits garantis par la Charte des droits et libertés de la personne ne soient plus finalement garantis à la personne leur ayant soumis un cas; en plus de faire perdre temps et efforts à la personne l’ayant fait de bonne foi.

Aussi dois-je perdre mon honneur simplement parce que le Conseil de presse du Québec se qualifie de tribunal d’honneur et rien d’autre ?

Pendant ce temps, Monsieur Charest s’émoustille glorieusement à l’Assemblée nationale dans le but de convaincre de modifier tout de go cette même Charte afin que les femmes, en conformité avec la Charte canadienne, soient reconnues au même titre que les hommes dans leur culte. Évidemment le but de notre tenancier de son Grand Royaume à joailleries fédéralistes est d’aller se chercher ainsi la majorité de l’électorat féminin (quoi d’autres !) lors du prochain scrutin en pensant dans le fond de lui-même qu’elles soient toutes des connes ou des innocentes qui voteront pour lui juste pour cette raison.

Paradoxalement, une femme avocate du nom de Nathalie Verge et secrétaire générale du Conseil de presse s’amuse à contrevenir aux articles 4 et 49 de cette même Charte. Et ce, à l’endroit d’un homme digne et intègre du nom de Daniel Bédard. Pour ainsi, semble-t-il, remercier son collègue Charest de voir à son culte.

Important le culte pour Charest. N’est ce pas ? Quant aux autres droits, on repassera !

Et Charest subventionne, avec l’argent des contribuables, un Conseil dans le but que ne soient pas reconnus par ce même Conseil, les droits pouvant leur être bafoués par d’autres. Des droits pourtant garantis aux hommes par cette même Charte. Puisque semble-t-il que des exemples comme celui-là nous font comprendre que l’on paye des taxes en retour de services qui ne servent qu’à bafouer nos droits les plus fondamentaux. Vraiment nul dans ce qui se fait de pire, ce premier ministre Charest. Après m’être fait passer de beaux sapins judiciaires par son acolyte de toujours et lui-même, voilà qu’il récidive en hypocrite, par la porte d’en arrière. Avouez avec moi, chers lecteurs, que le jeune orphelin Gabriel Hamel, à leur place, ferait mieux. J’en suis persuadé. Considérant qu’il a déjà à son jeune âge, une certaine morale. Ce que Messieurs Charest et Dupuis n’ont malheureusement pas. De toute évidence. Amoraux ces deux-là. Rien de moins.

Un cas qu’on pourrait même en ce moment qualifier de misandrie honteuse et qui se perpétue afin que vérité ne soit connue. Et vous allez réaliser, chers internautes avertis, pourquoi.

Puisque n’ai-je pas démontré « hors de tout doute raisonnable » à ce jour (voir sur colonne de droite plus bas sur mon blog) que les 21 faussetés de Rodolphe dans son article du 8 décembre 2005 soit le lendemain de mon acquittement par jury du 7 décembre ne pouvaient autrement qu’être dans le but de me causer grave préjudice en me portant atteinte illicite volontaire; entachant pour se faire ma réputation, mon honneur et ma dignité. Article 4 de la Charte ainsi monstrueusement bafoué par Rodolphe. Sans contredit.

Je dis bien sans contredit parce que Rodolphe ne peut qu’ainsi qu’être forcé d’en répondre parce que j’ai amené tout cela devant le Conseil de Presse. Et ce, étant donné son laxisme et inhibition à ne vouloir même retourner mes appels suite aux messages demeurés polis que j’ai laissés sur sa boite vocale depuis le lendemain de la parution de son article; soit depuis le 9 décembre 2005.
Je dis forcé d’en répondre puisque le Conseil de presse existe précisément pour cela. Sa mission première : Traiter les plaintes du public envers ses journalistes afin d’assurer le droit du Public à l’information: on n’entend évidemment une information de qualité et non une information biaisée. Quant à sa seconde mission soit celle de défendre la liberté de presse, j’espère seulement que Madame Verge ne comprenne pas par ''liberté de presse'' le droit du journaliste à écrire ce qu’il veut sur n’importe qui. Sûrement pas. Cela va de soi. Je l’espère du moins.

Quoi qu’il en soit, le journaliste Rodolphe Morissette n’a même fait l’effort de répondre à la plainte, contrevenant directement ainsi aux procédures contenues au Règlement du Conseil de Presse. Puisqu’il apparaît évident, je l’espère pour toute personne sensée et bien constituée que nonobstant même ce règlement, qu’il soit inconcevable qu’un journaliste après avoir terni volontairement la réputation d’un honnête professionnel, puisse, comme cela, s’en laver les mains, simplement en n’y répondant pas ou en mettant en cause un délai de prescription auquel il a lui-même contribuer de faire en sorte que le plaignant ne puisse autrement y déroger.

Inconcevable n’est-ce pas, vous êtes bien d’accord avec moi. Et dans tel cas, seriez tous autant d’accord pour dire que la plainte ne peut autrement qu’être validée et reconnue immédiatement par défaut du journaliste même de vouloir collaborer aux procédures et en répondre. Alors pourquoi dans ces conditions avoir choisi de laisser traîner tout cela.

Mais le président « honorifique » du Conseil, un certain Raymond Corriveau trouve tout cela normal, semble-t-il. Et qui plus est, ce sont mes commentaires apportées sur Madame Verge et le Conseil en toute transparence dans mon blog qui le fatiguent.

Commentaires justifiés du laxisme voire de l’indifférence totale et troublante de celle-ci vis-à-vis le traitement d’une plainte d’une aussi grande évidence. Une plainte basée sur des infractions graves commises allant à l’encontre de l’étiquette la plus élémentaire de la pratique du journalisme. Comme pondre un article sur ce qui s’est passé à une audience judiciaire sans même y avoir assisté.

On ferme les livres. Et on enlève la licence de pratique du journalisme conventionnel à ce ''cabochon sans nom''. Lequel écrit des livres en plus. Tellement occupé à les écrire ses livres, qu’il écrit probablement ses articles sur des informations que lui donnent une Couronne déchue. Un étrange petit rouquin persécuteur à lunette manquant de travail du nom de Steeve Larivière. Lequel a été absolument lamentable durant la durée du procès. Et lamentable n’est pas un mot assez fort. Atroce serait mieux choisi. Vous auriez du assister. Pour voir ainsi la parodie qui s’y est joué du coté de la Couronne. Et les gaffes, puériles presque je dirais, que ce sournois reclus farfadet de la Reine de basse cour, a commis. Si bien, qu’il fut assez facile merci pour les 12 jurés de m’acquitter au bout de 3 semaines de procès, des 4 charges de menace et harcèlement inscrites à la dénonciation.

Un procès donc, qui n’aurait même pas dû être tenu tellement était absurdes et insensées, les infractions que certains officiers administratifs de l’O.T.P.Q me reprochaient. Le directeur et secrétaire général Denis Beauchamp et le président Alain Bernier derrière tout cela. Ces personnes pouvant même être qualifiées de monstres pour m’avoir fait cela. Et cela après que le Tribunal des professions les aient vertement sermonnés indirectement via leur procureur et directrice aux affaires juridiques et professionnelles du temps. Lesquels ne le sont plus. Pour cause, faut-il croire. Ni Beauchamp, ni Bernier n’était présent à cette audience du 7 octobre 2004; la juge et présidente du Tribunal des professions appuyée par deux autres juges me donnaient raison et accueillait l’appel de ma radiation permanente. Laquelle m’avait été signifiée sans quelque motivation en appui et sans même avoir été convié devant le comité de discipline de l’O.T.P.Q. Un cas rare. Une première au fait.

Et qui plus est, le Tribunal statuait au contraire de 3 dérogations majeures au code des professions par le Bureau de l’O.T.P.Q. Un directeur qui passait alors pour ce qu’il est vraiment soit un « ti-coune » de très grande incompétence et savourant son profond mépris à l’égard des membres en leur faisant croire qu’il les dessert bien ainsi. Un directeur qui colle mais qui aurait dû décoller bien avant cela. Soit avant que les technologues professionnels n’aient plus aucun droit incluant celui de pratiquer. Le pire, c’est que ce vautour de grande notoriété est encore en poste et continue de recevoir double salaire; soit celui par les membres et l’autre par l’Ordre des ingénieurs. En catimini, cette rémunération secrète. Discrétion et grande hypocrisie collusoire obligent de concert avec un autre Conseil: interprofessionnel celui-là. Autre conseil, autre magouille. Des opportunistes partout. Lesquels profitent des failles du système pour s'enrichir.

Ainsi on met le feu mais on laisse les autres que nous-même, l’éteindre. Des lâches de faible envergure. Servilité oblige envers l’Ordre des ingénieurs du Québec. Duquel ils répondent tous deux considérant ne pas pouvoir en inférer autrement par la manière dont le dossier fut véhiculé; soit en prenant très tôt position en faveur du menteur Pierre Sicotte, ingénieur. Au lieu de répondre à leurs membres comme il se devrait plutôt et faire respecter leurs droits afin que le Public dans tout cela soit d’autant plus protégé. Ils ont donc fait exactement le contraire de ce que leur confère leur mission explicitée à l’article 23 du code des professions. Ainsi, ils ont laissé ce dangereux individu menacer les intérêts du Public et leur protection et condamner en contrepartie celui qui a eu le courage de dénoncer ses actions malveillantes pour fin de protéger les intérêts de son client, du Public, et des miens.

Haute trahison. Les mots me manquent. Aller demander aux 12 jurés ce qu’ils pensent de ce balafré de visage à deux faces qu’est Beauchamp. Ils ont carrément vu un menteur s’exprimant sans quelque assurance et branler devant eux une dite nouvelle preuve que le juge Richard Mongeau lui a permis de déposer en suspendant pour se faire le contre-interrogatoire en cours; sans que cela en plus, ne soit légal. Visiblement mal à l’aise, Beauchamp revient 2 heures plus tard avec sa dite nouvelle preuve composée de différents courriels et autres correspondances incluant toutes celles du mois de mars 2005 mais aussi de d’autres dans lesquels je n’étais même concerné. Juste pour tenter de faire le nombre sans même réussir à faire la moitié du nombre inscrit sur l’acte d’accusation. Gênant, convenez avec moi. Gênant pour lui mais tout aussi embarrassant pour le juge Mongeau lui-même. Lequel a permis que ce concrétise le cirque judiciaire. Car si dès la conférence préparatoire ce dernier avait accueilli ma demande de tout inclure ce qu’on me reprochait comme infractions dans le premier procès, le procès devant la juge Coupal n’aurait jamais eu lieu. Considérant également que l’ensemble de la preuve incluant les dites infractions reprochées dans le deuxième procès avait été déposé par le témoin principal Beauchamp. Et que le deuxième procès le fut donc en vertu de la même production de ladite preuve qui n’avait pas convaincu le jury de ma culpabilité sur quelque chef d’harcèlement que ce soit. Puisqu’il m’a acquitté !

Le jury a donc vu que ce Beauchamp était un menteur que j’ai passé moi-même à tabac pendant 6 heures en contre-interrogatoire. Il ne peut ne pas en avoir sorti humilié. Et je suis revenu sur plusieurs de ses contradictions. Et le jury a tout vu et a constaté à quel point cet homme était morbide et indigne d’occuper un poste de directeur et secrétaire général d’un ordre. Aussi, je ne m’en repent point puisque nul autre que lui-même l’a voulu ainsi.

Or l’article tout croche de Rodolphe a contribué fortement à justifier comme correct et nécessaire autre procès afin que ces fumiers que sont Beauchamp et Bernier aient une autre chance de se reprendre sur moi. Nonobstant même pour se faire le principe de la chose jugée. Principe pourtant clairement explicité à l’article 37.1 de la Charte. Par ailleurs, et dans telle situation m’étant imposée, le principe voulait qu’il ne puisse trouver meilleure application que dans ce cas.

2 mois plus tard, soit le 8 février 2006, alors que j’étais toujours illégalement détenu, la juge Suzanne Coupal (entendre son jugement absolument loufoque en cliquant sur «affaire Coupal» sur le menu de droite ou directement: http://www.youtube.com/watch?v=USTPfCActPA ) bafoue à son tour le principe de justice fondamental de la chose jugée en me déclarant coupable d’harcèlement et en demandant même, imaginez la grandeur de son geste d’incurie, que je subisse une évaluation psychiatrique à l’institut Pinel. Alors que tout ce nouveau cirque imposé n’avait servi qu’à me faire sortir de mes gonds en y allant de commentaires désobligeants envers la juge Coupal. Commentaires que celle-ci s’était mérité amplement en décidant que se poursuive le cirque amorcé en décembre avec le juge Mongeau et en me bafouant la Charte en pleine face deux fois plutôt qu’une.

Ainsi cette « loufoque nounoune de Dame la Magistrature » ( je m’en excuse mais je n’ai pas autres mots pour la décrire en restant tout de même poli ) faisant preuve d’une misandrie pour le moins évidente et gênante, m’envoie une première fois en évaluation à Pinel au lieu d’appliquer le principe de la chose jugée comme il se devait.

Un procès dictatorial voire « stalinien » de 2 jours auquel je n’ai pas assisté aux témoignages par respect pour ma propre personne et considérant que je ne pouvais supporter la vue de ces mêmes menteurs venir compter les mêmes menteries entendues 2 mois plus tôt. Menteries qu’un jury bien constitué n’avaient par ailleurs, pas cru. Et avec raison. Car tout cela n’avait absolument aucun sens.

Ainsi et en déposant sa dite preuve incluant les courriels et correspondances de mars 2005 que le « stroupff » Larivière avait, lui, gardé en réserve et prévu de dépôt lors de procès en poursuite sommaire au cas où celui devant jury ne réussirait pas à passer. Ainsi relance-t-il sa grande poursuite chevaleresque dans le but de débarrasser de grands soucis la Reine et la protéger ainsi de criminels « dangereux ».

Poursuites carrément abusives payées par l’État à laquelle sont conviés en assistance en première rangée en arrière de lui, papa et maman. Ils ont droit d’être en première loge. Un « cadeau » que leur accorde fiston pour avoir cette chance d’être témoins privilégiés de ses performances inédites et dignes de « Grands Maîtres » Et de le voir ainsi tenter de faire condamner à nouveau un honnête professionnel qui avait gagné haut la main le premier procès en disant simplement la pure vérité tout en leur faisant avouer leurs menteries. Cette fois ce sera Pinel s’il ose répéter ses mêmes vérités et nous empêcher de mentir collusoirement de nouveau, se seraient-ils persuadés tous ensemble aux écoutilles. Belle justice que vogue le navire ! A bord le pirate Larivière. Que tous se le tienne pour dit !

Fiers qu’ils doivent être de leur petit rouquin à lunettes lequel aurait pu aussi bien faire carrière cinématographique américaine en rôle secondaire pour jouer les ennemis de « Peter Pan ». Fier de constater ainsi à quel point leur fortune investi en lui pour lui apprendre ses connaissances de droit à l’Ecole du Barreau avait servi à bon escient !

Après maintes tentatives infructueuses et messages téléphoniques polis laissés sur le répondeur de Monsieur Raymond Corriveau, président du Conseil de presse du Québec, j’ai finalement joint ce dernier hier après-midi à l’Université du Québec à Trois-Rivières où il enseigne, semble-t-il, en lettres et communications.

Imaginez. Première fois donc, que je parle à ce Monsieur au téléphone. Et ce dernier se plaint immédiatement que je l’ai menacé immédiatement après m’avoir informé que ma plainte était rejetée. Sans doute sur ses gardes après telle aberration et bien conscient donc qu’il me portait préjudice incommensurable et bafouait de nouveau l’article 4 de la Charte en appui donc au journaliste fautif. Lequel, rappelons-le a dérogé 21 fois à son code d’éthique à l’intérieur d’un article comportant 10 petits paragraphes. Un journaliste, qui par surcroît, n’en est pas à une première infraction à l’égard du Public.

En effet, 8 autres plaintes « traitées » avant la mienne par le Conseil de presse. Le conseil de Presse lui a donc fait l’ « honneur » de toutes les traiter, sauf la mienne. Alors que celle-ci était la plus sévère des 9 plaintes à son crédit. Ainsi si la plainte est petite ou la traite mais si elle est trop grosse et lourde de conséquence pour le journaliste visé, on la rejette.

Une vraie « joke ». Ce Conseil démontre donc ainsi se moquer littéralement du Public et rit avec leurs journalistes des situations conflictuelles graves que leurs manquements ont entraîné pour la personne préjudiciée. Une honte finalement que de maintenir opérant un tel conseil qui démontre ne servir à rien d’autres que de subjuguer les plaignants au même titre que le font les ordres professionnels lorsque cela les arrange.

Pourquoi cette Charte n’existerait pas pour Daniel Bédard. Je n’ai pas le droit, pour ma part, à cette sauvegarde de ma dignité, de mon honneur et de ma réputation. Considérant également que tout a été démontré « hors de tout doute raisonnable » par surcroît.

Aussi fort à parier que M. Johnson a été conseillé pour s’essayer également avec la stratégie « des menaces à son endroit ». Lorsqu’on sait qu’on a consciemment préjudicié la personne et qu’on manque d’argument comme l’ingénieur Sicotte dans le temps, il semble que ce soit rendu commun d’usage par ceux qu’on pourrait qualifier de « trous du cul ». Veuillez excuser l’expression mais après 4 ans de misère, de détentions illégales et de contrariétés diverses c’est plus fort que moi. Considérant que M. Johnson a également utilisé la même méthode que ce rustre personnage lorsque je l’ai simplement rejoint au téléphone pour lui demander de répondre à mes 20 questions sur sa commission. Du déjà entendu et vu pour moi. Aussi pourrait-on changer la méthode d’approche tout au moins ? S.v.p je souhaite un mélange d’un peu de compassion et d’empathie, je vous en prie.

Quant à M.Corriveau, je lui demandais par écrit depuis des lunes de faire en sorte que ma plainte formulée début juillet à l’endroit du journaliste Rodolphe Morissette du journal de Montréal reçoive finalement un traitement convenable et toute l’attention qu’elle mérite étant donné le très grand laxisme manifesté dès le départ par Madame Verge.

Traitement convenable que l’ancienne attachée politique de Bernard Landry devenu secrétaire générale du Conseil de presse n’avait manifestement pas su lui donner et ce, dès le tout début, soit à mi juillet. Tentant à plusieurs reprises de faire rejeter ma plainte sur le délai de prescription de 6 mois. Et en y revenant plusieurs fois en faisant semblant de ne pas comprendre mes alibis pour fin de rejet définitif de cette contrainte. Laquelle par surcroît est au règlement mais n’est pas de rigueur. Il faut donc se servir du gros bon sens lorsqu’on l’applique. C’est cela qu’un délai qui n’est pas de rigueur veut dire. Le traitement de ma plainte commençait donc bien mal. Comme si Madame Verge avait une « patate chaude » entre les mains et ne savait trop comment s’en débarrasser. Or si le rôle du Conseil n’est pas de traiter la plainte mais de niaiser le plaignant, pourquoi dans ce cas, nous fait-il l’ « honneur » d’exister ?

Imaginez 4 mois de dit « traitement » par Linda David, gestion de plainte et analyste et Marie-Eve Carignan, responsable des communications et analyste. Or, durant tout ce temps, je n’ai même été mis en contact avec ces dernières via la secrétaire générale, Nathalie Verge.

Tout cela pour me faire dire verbalement, hier le 12 novembre, par son président Monsieur Raymond Corriveau que ma plainte est rejetée parce que je m’aurais plaint par écrit finalement de son traitement inefficient.

Belle bureaucratie se complaisant ensemble dans l’inefficacité ! Monsieur Corriveau enseigne par surcroît l’art des communications efficaces à ses élèves universitaires.

De quel façon pensez-vous, s’ils apprennent de lui, ces futurs hommes et femmes du Public répondront dans un prochain avenir à leurs interlocuteurs ?

Et à qui dois-je m'adresser maintenant ?

De me faire répondre par Madame Caroline Dessureaux que si je ne suis pas content de leurs services, les tribunaux existent. Pour ainsi me faire retourner respirer dans l’incubateur judiciaire insufflé d’air vicié.

Ainsi tout ce beau monde du conseil vit pendant 4 mois de la bonne foi d’un plaignant histoire d’avoir l’air occupé et au bout du terme on l’envoie paître ailleurs pour aucune raison valable sauf celle peut-être en réserve d’ enrichir autres amis avocats. Copinage et relations d’affaires obligeant.

Lesquels abuseront à leur tour de cette même bonne foi.

Juste pour cette raison, il ne devait pas être permis que la secrétaire du conseil de Presse soit une avocate membre du Barreau. Car celle-ci ne peut autrement que se positionner en conflit d’intérêt de par ses liens tissés obligatoirement serrés avec le Barreau. Et pour tenter d’envoyer toutes les causes devant les tribunaux au lieu de les traiter. Par conséquent, je lui demanderais de démissionner de son poste si elle-même juge que c’est le cas. Puisqu’il doit bien y avoir un motif à ce rejet et me demander constamment de l’informer de ma décision de saisir tout organisme judiciaire.

Harassant à la fin que cette méthode « Verge » !

En conclusion, ai-je le droit devant toute cette merde de me demander dans quelle société de profiteurs vit-on ?

Et où sont donc rendues nos valeurs morales de base ?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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