La justice version Québécoise...

jeudi 2 avril 2009

Le Public doit réagir : exiger la démission du juge en chef J.J. Michel Robert et le remboursement de son «traitement salarial» des 4 dernières années

Mais avant et pour vous mettre en contexte: Le juge Michel Robert...
Radio-Canada: L'affaire du juge Michel Robert - Maisonneuve en direct
et pour faire oublier ou s'oublier soi-même dans sa malversation, notre J.J national CDACI - Centre de droit des affaires et du commerce international s'adonne maintenant à des ateliers dans sa bâtisse «Ernest Cormier» de la rue Notre-Dame. Édifice somptueux qu'il faut bien rentabiliser depuis que notre «précieux» juge en chef a décidé de n'entendre plus rien des appels de justiciables ou dans d'autres cas s'offrir des audiences avec lui-même pour recréer un semblant de justice. Vive la démocratie judiciaire et le droit aux affaires louches peut-être ! ?

«Vendredi 16 et samedi 17 octobre 2009. Atelier en droit commercial et droit de la consommation / Annual Workshop on Commercial and Consumer Law : Grâce à la collaboration du Juge en chef Michel Robert, la 39e édition de cet atelier se tiendra dans le magnifique édifice de la Cour d’appel du Québec. Le programme préliminaire vous sera communiqué au printemps 2009. Plus d’information.... »

Renvoyer la pression en poltron vers les tribunaux inférieurs pour créer un cirque sans fin avec l’aide de la psychiatrie lorsque besoin est :

Voilà ce qu’il en résulte lorsqu’une cour d’appel ne fait pas les devoirs pour lesquels les contribuables injectent des sommes d’argent exorbitantes afin que, justement, ils les accomplissent.

Peu de professions, j’irai même jusqu’à dire aucune autre profession que celles de juges et avocats, peuvent se permettre de faire le contraire de ce que le Public attend d’eux et continuer d’être pleinement rémunéré par ce dernier sans même qu’IL ait son mot à dire.
Autrement dit : Peut-on malheureusement avoir professions plus déviantes narcissiques que celles-là ?

Un exemple concret Judges Accused of Jailing Kids for Cash et profondément révoltant de ce narcissisme déviant de la part de juges nous provient entre les branches, tout dernièrement, de la Pennsylvanie, nos voisins du sud.

Voir aussi l’excellent article en français d'Hermil Lebel à ce sujet en cliquant sur: http://bisbille101.blogspot.com/2009/04/scandale-du-siecle-dans-le-monde.html .

Un journaliste-citoyen en réclusion qui n’a pas vu ses enfants depuis 3 ans et est obligé de se cacher pour pouvoir s’exprimer ici même au Québec. Hermil fait ce que plusieurs devraient maintenant songer à faire : soit désobéir socialement aux règles établies par un système judiciaire de toute manière en dysfonctionnement et qui n’assure de toute manière plus ainsi la paix sociale et la tranquillité d’esprit de ceux qui ne sont pas en réalité les criminels.

Une telle réalité contraint bien, plutôt, les honnêtes citoyens qui dénoncent ces arrogants et sournois personnages perfides lorsque ceux-ci sont assis sur leur banc, vêtu ou non de leur toge et dépendamment de leur humeur du moment en irrespect de leurs propres règles d’éthique. Où sont donc nos juges en chef ? Tous partis pour la gloire ou trop préoccupés à gérer leur propre richesse ?

Mais, cette fois encore, nos «valeureux journalistes conventionnels québécois» daignent couvrir une nouvelle qui pourrait peut-être allumer nos québécois, encore endormis par notre dernier hiver. J’irais jusqu’à dire, endormis des vingt dernières années de pratique de la Cour du Québec. Un 20 ans de pratique désorganisée mais soulignée au contraire et sûrement en dérision comme le pilier de notre justice par l’ex-ministre de la justice, Me Gil Rémillard, invité d’honneur du Barreau lors de la cérémonie de soulignement de l’évènement le 2 octobre dernier.Le Barreau célèbre les 20 ans de la Cour du Québec

Ainsi se tapèrent-ils dans les mains tous ensemble en Famille afin d’honorer ceux qui les ont aidés à les «somnifériser» jadis à l’aide du Barreau pour se faire et les endorment encore aujourd’hui sous les odeurs d’alcool coulant vraisemblablement à flots sans doute afin d’oublier ce qu’ils font et ce qu’ils sont. Les empêcher, donc, de se poser des questions sur l’intégrité de nos propres juges et la portée réelle de l’immunité leur étant trop facilement accordée au détriment de la Protection du public, du civisme, de l’éthique ou encore plus simplement, du gros bon sens.

Davantage préoccupés ces journalistes, faut-il croire, à désinformer le Public et remplir ainsi leur carnet de commandes qui proviennent d’un peu partout mais surtout d’entités corporatives à gros budgets et investissant dans la caisse du parti politique au pouvoir ou autres. Et peu importe le parti ou l’individu finalement. Leur offrant même des limousines s’il le faut. Au fait, rien ne les arrête vraiment puisqu’encourager par le laxisme et l’indifférence de ceux qui ont pourtant le pouvoir d’intervenir.

Indifférence toutefois facilement explicable du fait que ces personnes du pouvoir en profitent eux-mêmes et en font ensuite profiter leurs amis qui leur ont permis d’accéder à cette richesse dans un premier temps et d’en restreindre voire d’en annihiler, coûte que coûte, l’étalement sur la place publique dans un deuxième temps.

Pendant ce temps et ici au Québec, un exemple flagrant de corruption judiciaire est entrain de poindre voire plutôt «gangréner la viande putréfiée sur l’os qui reste» sans que personne n’ose encore lever le petit doigt. Mais lorsqu’un juge du nom de J.J Michel Robert, payé $330,000 par année par les contribuables, tient les rênes de notre Plus Haute Cour du Québec de la manière dont il le fait depuis déjà plusieurs années, il n’est pas surprenant qu’il en soit ainsi; que d’année en année, l’administration de notre système judiciaire contribue largement au déficit budgétaire. Une administration somme toute encouragée ainsi par Charest, faut-il croire, puisqu’il ne fait absolument rien pour changer quoi que ce soit. Mieux encore, et à chaque occasion, il honore son J.J préféré en l’invitant à plusieurs reprises à faire acte de présence à l’Assemblée Nationale lors d’évènements spéciaux.

Paradoxalement et sans coup férir, lorsque plusieurs fraudes ont été démontrées par inférence et «hors de tout doute raisonnable» avoir été commises, en tout premier lieu, par notre juge en chef du Québec; je m’excuse pour lui et les autres et mes valeurs à moi, mais «honorable», il ne l’est plus.

Et honorable est plutôt celui qui le dénonce afin que d’autres ne passent ainsi à son tordeur en collimation. Un Public alerte et averti de même que certains journalistes courageux restés probes malgré la tendance marquée du siècle, doivent maintenant signifier très clairement à Monsieur Charest que son «ami fédéraliste de longue date et crachant même sur les juges à tendance souverainiste » doit remettre sa démission de lui-même avant que la population québécoise tout de même pas aussi idiote que notre PM, la carpe, voudrait qu’elle le soit, le la lui exige.

Et que fait madame Marois à l’opposition officielle ? Est-elle toujours vraiment souverainiste pour laisser ainsi passer telles horreurs néo-fédéralistes pour ne pas dire néo-fascistes ?
Comprenez davantage en saisissant pourquoi notre juge en chef de la Cour d’appel renvoie, en poltron, sa propre responsabilité au Tribunal des professions dans mon dossier judiciaire qui perdure toujours par sa très grande faute et horreur camouflée ! ?

Pour se faire, lire la lettre ouverte au Conseil de discipline du Barreau du Québec en cliquant sur: http://prevarication101.blogspot.com/

Bonne lecture !

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