La justice version Québécoise...

mardi 31 mars 2009

La justice des hommes: Faire valoir son portefeuille au lieu de faire valoir le droit

Si la Justice des hommes a lamentablement échoué dans mon dossier, je garde toujours espoir envers celle du Dieu miséricorde....

En ce sens cliquez sur: Dieu Riche en Miséricorde

Dans le mystère pascal, Jésus Christ se réalise la triple victoire de l’amour du Christ :
• Victoire de l’amour sur la haine• Victoire de la grâce sur le péché• Victoire de la vie sur la mort.


Correspondance avec M. Daniel Bédard

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis allée sur votre blogue, M. Bédard, il est tellement volumineux! Il y en a du stock là-dedans! J'ai aussi écouté quelques extraits de cours... Vous savez, je devrais plutôt me concentrer sur la matière de mes examens en ce moment, je manque de temps pour tout tout lire... Est-ce que vous pourriez, en quelque mots, juste me relater quelques évènements qui ont conduit à votre arrestation injustifiée? Bon, j'ai cru comprendre que vous aussi, vous vous étiez déjà servi de nombreux courriels pour vous faire valoir, mais dans certaines situations, quand quelqu'un à qui on veut communiquer quelque chose d'important est complètement bouché, ça peut mener à péter les plombs...

Mais quand on a des raisons valables et que celles-ci n'ont aucune possibilité d'être entendues, notre insistance peut-être traduite comme du harcèlement. J'aimerais mieux savoir ce qui s'est passé avec l'histoire du viaduc, avant de savoir ce qui s'est passé en cours... Si vous pouviez me faire un bref topo... ce qui est paradoxal en plus c'est que moi j'ai de la sociologie à étudier avant de me plonger dans le système de justice pourri qu'on a.

Anonyme a dit…

Je vous remercie de vous intéresser à mon histoire abracadabrante avec les systèmes disciplinaire et judiciaire combinés.

ll y a du stock effectivement ma chère anonyme mais ce stock a été rendu possible par la multitude d'intervenants à un dossier très simple au départ. Mais, le problème majeur réside dans le fait que ces mêmes nombreux intervenants en ont exponentiellement et, j'irai jusqu'à dire en toute connaissance de cause, volontairement augmenté la complexité pour protéger, par effet d’entraînement le tout premier mensonge: soit celui de l'ingénieur Pierre Sicotte de Longueuil. Ce dernier, que j'ai mandaté de bonne foi en 2003, suite à une référence de mon propre beau-frère du temps, a prétendu que je l'avais harcelé, menacé et que j’avais même surveillé sa maison et que sa famille et lui-même me craignait depuis.

Ce qui est tout à fait faux. D’ailleurs, et en ce qui concerne plus spécifiquement le dernier item énuméré ci-haut et inscrit sur l’acte d’accusation, le jury a compris et la Couronne s’est effondrée avec son mensonge précisément lorsque j’ai mentionné dans mon témoignage volontaire que ce détail assez important merci s’il avait été vrai, n’avait même été abordé dans l’interrogatoire de 6 heures par la Couronne afin d’instruire le jury. Et ce, en tentant plutôt de le gourer de n’importe quoi en partant mais en oubliant l’élément principal d’une plainte criminelle qui aurait justifié le dépôt même de celle-ci.

Sicotte aurait agi ainsi afin de détourner l'attention sur moi au lieu de sur lui alors que sa pratique professionnelle était soumise à une enquête-syndic dont la demande initiale provenait de moi-même en juillet 2003. Par inférence, la preuve de ces fausses allégations est même démontrée du fait que ce dernier n'a jamais consenti à déposer ses rapports téléphoniques de mai et juin 2003. A l'appui donc des allégations de la Couronne que le témoin principal aurait essuyé des menaces du harcèlement et de l'intimidation pendant 2 heures un certain 25 juin 2003 et pendant un autre 2 heures le lendemain, le défaut de déposer une preuve «hors de toute raisonnable» équivaut en justice à la réputer contre.

La Couronne (Louise Leduc) s'est complètement enlisé en prétendant en plus que c'était l'ingénieur Sicotte qui avait fait l'effort de m'appeler les 2 fois pour tenter de régler notre litige professionnel et que par les deux fois, ce dernier avait essuyé les infractions criminelles qu'il me reprochait.

Ce fait n'a donc pas pu échapper à l'intelligence de 11 personnes du jury pourtant bien instruites des notions de base du droit applicable par la juge Bourque elle-même.

Je vous invite, si vous avez peu de temps, à lire et écouter les 2 premiers articles seulement de mon blogue acharnementjudiciaire, vous n'aurez pas besoin d'aller plus loin, pour être vous même convaincu à 100% de mon innocence complète et entière.

Quant au rapport de la Commission Johnson; je le réfute assez facilement sur mon blogue à l'onglet «Commission Johnson: duperie ou vérité?»

Pour faire plus simple, j'ai découvert que le rapport se contredisait sur 2 pages seulement donnant l'évidence à quelqu'un qui se donnait la peine de simplement le constater que les 20 poutres contigües formant le tablier du pont et qui auraient dû être des poutres-caissons afin d'alléger ce même tablier, était en réalité des poutres-pleines en béton standard qui en alourdissaient 4 fois plus la charge théorique et les réactions prévues sur les chaises ou assises des poutres. C'est bien cette charge supplémentaire indue qui aurait causé avec le temps la rupture à cause d'effets de cisaillement exercés dans le prolongement du joint de dilatation à la butée soit à l'endroit même où des fissures inquiétantes sont apparues dans les années 90 et même avant sans que cela ne suscite quelque réaction de la part de quelque ingénieur que ce soit.

Vous comprendrez ainsi que le harcèlement redondant qu'on m'impute faussement de nouveau soit à l'effet que j'ai dénoncé cette incompétence, pouvait faire en sorte de remettre en doute l'intégrité même des 3 commissaires qui ont «travaillé» à $250/hre pendant un an. Tout cela étant même appuyé par le gouvernement Charest de même que par l'Ordre des ingénieurs du Québec que pour fin de faire passer un mensonge éhonté à la population du Québec sans que ce même Public s'en aperçoive.

On ne joue pas avec la sécurité des gens et les Familles des victimes, ainsi que le Public en général. Raison pour laquelle j’ai jugé que ce même public méritait de connaître les vraies circonstances de la tragédie. Ce pourquoi j'ai dénoncé.

Cette dénonciation, pourtant honnête et responsable de ma part, a entraîné vous savez quoi maintenant…

Recevez, cher anonyme, mes salutations cordiales.

Daniel Bédard