Le Collège des médecins du Québec et l'appréciation de la santé mentale ?

Suite à ma lecture de ce matin de l'article de l'excellent Guillaume Bourgault Coté sur la une du Devoir d'aujourd'hui: "Après les maux de dos, les troubles de santé mentale font des ravages au travail", j'ai le goût de dire à Monsieur Yvan Lamontagne, président du Collège des médecins, qu'il dise à ses collègues du comité de discipline de commencer par faire le leur.

Car voyez-vous parmi les médecins qui sont sensés la soigner cette maladie mentale, s'en trouvent peut-être, qui au lieu, contribuent à l'affecter grandement ou plutôt même la diagnostiquer "narcissiquement" chez plusieurs. Histoire sans doute de s'assurer ainsi du travail ou les bonnes grâces de d'autres. Et par surcroît, prétendre à des compétences hors du commun.
Compétences qui ne sont même en contrepartie en mesure de démontrer via leur diagnostics bidons vraisemblablement payés d'avance, en catimini.

En ce sens, voir mon article plus bas dans ce blog sur le Collège des médecins du Québec.

Aussi avez-vous saisi le message Dr. Morissette ? Non pas Rodolphe cette fois. Mais bien Louis G. Morissette. G, sans doute, pour Grave erreur de jugement.

Mon "ami" Louis, sans doute mal à l'aise avec tout cela en ce moment, est sûrement entrain de parler de déni de ma dite maladie mentale. Alors qu'il faudrait plutôt qu'il se démette tout de go, il me semble, du déni judiciaire auquel il adhère, semble-t-il volontiers, et lui rend ainsi majestueux hommage pour sa généreuse contribution. A chacun son déni finalement. N'est-ce pas ?

Aussi ''les problèmes de dos'' de M. Louis G. Morissette que l'article de M. Coté pourrait sous-entendre, ne sont-ils pas reliés au fait que le Collège des médecins de l'Ontario l'a banni pour 3 ans en 1992 pour s'être envoyé en l'air avec une de ses patientes alors en dits soins psycho-thérapeutiques qu'il lui prodiguait ainsi !

Quant au Dr Lamontagne peut-être devrait-il sérieusement nous expliquer les raisons pour lesquelles le Collège des médecins du Québec acceuille les bras ouverts les médecins non-intègres rejetés par leur homonyme ontarien ? ?

Aussi est-ce que cela se soigne par pur hasard ?


Daniel Bédard