La justice version Québécoise...

samedi 18 avril 2009

Monsieur Guy Lafleur: Restez tel que vous êtes: c'est-à-dire digne, et je vous en prie ne vous abaissez pas au rang de Dame La Magistrature !

Pour comprendre cliquez:
Rue Frontenac - Guy Lafleur assure n'avoir jamais voulu tromper la ... en réactions à l'article !

Internautes soucieux, avertis et sportifs...

Suscitons de l'intérêt et de la solidarité sociale pour mieux ainsi informer la masse de ce qui se passe dans nos cours de justice. Je crois que Dame La Magistrature y pensera par deux fois la prochaine fois après le procès qu'il intente à M. Lafleur afin de gruger son patrimoine familial pour ainsi le distribuer aux amis avocats et juges en s'attaquant lâchement à notre emblême nationale et notre idole de jeunesse !

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Le citoyen Richard: Guy Lafleur: Un père prêt à tout pour son fils

Pour lire le commentaire de ce citoyen pourtant bien ordinaire qui démontre un meilleur jugement à mon sens que tous les juges de la Cour du Québec réunis. Pour sauver des coûts aux contribuables peut-être serait-il le temps de songer sérieusement à faire comme aux îles Fidji's et congédier tous les juges de la Cour du Québec( Fiji's president assumes power, fires judges )en passant une petite annonce dans le Journal de Mtl qui titrerait:

«Personnes recherchées ayant un sens moral et les valeurs à la bonne place pour s'asseoir derrière une Tribune et décider de ce qui est juste et de ce qui ne l'est pas. Connaissances du droit absolument facultatives »

Par ailleurs, Richard vous apprendra, par inférence, que le syndrôme de Gilles de la Tourette dont est atteint le fils de Guy, n'a pas été tenu en compte par la Cour comme d'ailleurs vous l'apprendrez plus loin, le TDAH de ma copine Nancy ne l'a pas non plus été par cette même Cour.

Faut croire que les magistrats encadrés complaisamment de leurs procureurs incompétents qui se prennent pour d'autres: sauf, pour ce qu'ils devraient être aux yeux des contribuables qui les rémunèrent pourtant grassement, qualifient de malade mental de façon outrageusement condescendante tous les citoyens du Québec sans exception et arrivant par la porte du coté du «box» des accusés de leur somptueuse Cour. Faut donner du travail à Pinel et redorer le blason de cette institution dangereusement sur le déclin comme la nôtre, semble être leur consigne ? !
Prevarication 101: La psychiatrie pratiquée à l’Institut Philippe ...

Belle façon de remonter l'estime et l'amour-propre de nos québécois ? N'est-ce pas M. Charest ?

Elle est où, au juste, la présomption d'innocence ?

Bravo Richard pour être ce que tu es: soit un citoyen ordinaire qui voit clair !

Bonne lecture !

4 commentaires:

bisbilloe100 a dit…

Pour n'importe quel observateur de la scène judiciaire le moindrement avisé, le triste spectacle de ce père de famille traduit devant les tribunaux pour avoir soi-disant trompé la cour à de quoi surprendre. En effet, la couronne reproche à la comète blonde d’avoir édulcoré la vérité au sujet des allés et venues de son fils Mark alors qu’il était soumis à une ordonnance lui imposant un couvre-feu. Il faut savoir qu’une telle restriction à la liberté de mouvement contrevient aux dispositions de la fameuse charte en ce sens qu’il s’agit d’une véritable sentence avant jugement. Qu’en est-il de la présomption d’innocence?

D’autre part, les médias nous racontent qu’une première version livrée devant le juge Robert Sansfaçon différait de celle livrée subséquemment quelques semaines plus tard devant la juge Carol Cohen. Or, s’il est un individu sur cette terre qui doit être familier avec le parjure à la cour, c’est bien le juge Sansfaçon, lui qui a été sévèrement blâmé par la cour suprême pour avoir laissé un délateur se parjurer de manière à obtenir un verdict de culpabilité à l’encontre d’un individu qui fut blanchi par la suite. À ce chapitre, Sansfaçon est plutôt mal placé pour donner des leçons.

Enfin, l’acharnement des tribunaux fantoches qui se complaisent à traduire en justice des pères de familles sous de faux prétexte n’est pas exactement une nouvelle de dernière heure. Il s’agit précisément des raisons qui ont motivé les militants de Fathers-4-Justice lors de leur campagne de sensibilisation en 2005. Rappelons que ces pères de familles, broyés dans la machine qui n’a de justice que le nom, ont résolu d’escalader à 2 reprises la structure du pont Jacques-Cartier pour y diffuser le message que les pères de famille en ont marre d’être traité comme des citoyens de second rang par les juges fripons qui officient au sein de nos tribunaux. Pendant ce temps, les présumés meurtriers du jeune Ellis, membres notoires de gangs de rue, se la coulent douce depuis que la juge Sophie Bourque les a libéré dans la nature parce que la police et la couronne avaient menti au tribunal. C’est à ce demander de quel côté du banc se retrouvent les vrais bandits !

Anonyme a dit…

Parabéns pelo excelente blog. Sou o Clausewitz e gostaria de lhe convidar para visitar meu blog e conhecer alguma coisa sobre o Brasil. Abração

Anonyme a dit…

Félicitations pour l'excellent blog. Clausewitz et la je voudrais vous inviter à visiter mon blog et de savoir quelque chose sur le Brésil. Abrasive

traduction du courriel précédent par google fait du portugais au francais.

Merci à Abracao ou Clausewitz. J'irai sur votre blog traduit toujours par google du portugais au français afin de savoir ce qu'il en revient des problèmes dénoncés et que des milliers de brésiliens vivent malheureusement tous les jours.

La traduction de cette note sera faite en portugais et relancée en quatrième commentaire.

Daniel Bédard

Anonyme a dit…

Parabéns pelo seu excelente blog. Clausewitz e convido-vos a visitar o meu blog e sei alguma coisa sobre o Brasil. Abrasivo

tradução do anterior e-mail do Google é de Português para Francês.

Obrigado a abracao ou Clausewitz. Eu vou para o seu blog pelo google sempre traduzidas do Português para Francês para ver o que trata dos problemas relatados e que milhares de brasileiros vivem cada dia, infelizmente.

A tradução da presente nota serão feitas em Português e relançada na quarta observação.

Daniel Bédard