La justice version Québécoise...

samedi 18 avril 2009

Introduction du blogue: Le Public doit montrer sa désapprobation face à de tels scandales !

Dossier : 505-01-056133-057 - Palais de justice de Longueuil - conférence «préparatoire» du 6 juin 2006

En prémisse au procès, la juge Sophie Bourque a laissé l'accusé, Daniel Bédard, s'exprimer. Elle l'a écouté mais ne l'a manifestement pas entendu. cliquez sur: http://www.youtube.com/watch?v=WCDqju5biHM

15 jours plus tard, au terme de l'un des procès les plus scandaleux et mesquins de l'histoire judiciaire du Québec, la magistrate, d'à peine un an d'expérience et manifestement en mission commandée, déclare l'accusé «coupable» même si c'est bien un «non coupable» que la jurée no. 1, une dame portant le nom de Nicole Lebrun et travaillant dans le domaine bancaire, avait prononcé ! cliquez sur: http://www.youtube.com/watch?v=3vaRepk3q14

Cliquez ensuite sur:
Par dépit, je lance une invitation au jury qui comme le premier le 7 décembre 2005 m'a de nouveau acquitté sans quelque doute dans mon esprit, le 21 juin 2006

L'accusé avait effectivement été acquitté par le jury quelques minutes plus tôt. Acquitté de façon non équivoque, par surcroît. Pour rajouter l'injure à l'insulte, la marâtre de juge le déclare le lendemain, «inapte à subir son procès» et l'envoie «manu militari» se faire «traiter» 7 mois à l'Institut psychiatrique Philippe Pinel de Montréal alors que tout était fini.

Les pourris n'ont, par la suite, pas évidemment voulu laisser de trace de leur incurie collusoire en éditant la trame sonore de l'enregistrement original de l'audience de façon à ce que le prononcé du verdict soit inaudible ! ! cliquez sur: Affaire Bourque: un verdict du jury inaudible est une chose normale pour le Conseil de discipline du Barreau ?

Le présent blogue explique à l'aide d'extraits sonores et d'articles sur les différents «acteurs judiciaires» qui ont rendu possible que ce geste d'incurie très grave d'une juge de la cour supérieure du Québec soit camouflé. Car, voyez-vous tout cela est profondément honteux à avouer lorsque le rôle du magistrat est précisément celui de rendre la Justice à la personne accusée lorsque c'est le cas et non de la lui subtiliser ! ?

P.s: L'expression «acteurs judiciaires» est celle utilisée par la juge Bourque dans un autre de ses jugements «mafieux»: soit celui du 12 janvier dernier. Lequel jugement avait d'ailleurs créé tout un émoi lorsqu'elle a libéré 5 membres de gang de rue et présumés meurtriers du jeune Raymond Ellis. De ce jugement a découlé, par la suite, l'AFFAIRE BOURQUE/ELLIS... un lapsus peut-être inconscient de sa part ? ? voir aussi: Rue Frontenac - Ouverture du procès de James Gould

Ce blogue, chers internautes avertis, vous fera découvrir la VÉRITÉ et rien que la VÉRITÉ ! !

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