Ne pouvaient-ils tout trois non plus faire mieux en sachant que leur juge en chef, l'«Honorable J.J. Michel Robert» à qui, selon leur code de déontologie, ils doivent rendre compte, avait lui-même fait pire que la juge Bourque: Soit frauder le processus d'appel en s'inventant des séances avec lui-même afin de simuler ainsi un semblant de justice sur plusieurs requêtes déposées de plein droit pendant qu'on me détenait arbitrairement pendant tout ce temps ? ?
Instruisez-vous, chers internautes et futurs justiciables avertis en cliquant sur les 3 liens suivants:
Esclandre à la Cour d'appel...
Autre version du mensonge ?
Le juge en chef Michel Robert est un MENTEUR !
Article 85 du Code de procédure civile: Version en vigueur au 23 mars 2009, depuis le 1 janvier 1976:
Les parties peuvent, à l'appui de leur argumentation, déposer toutes observations écrites qu'elles estiment utiles. Ces observations, visées par le juge, sont versées au dossier.
C'est bien beau de mentionner ou de déposer ses observations aux juges, mais que peut faire de plus, un appelant, lorsque ses observations reprises même par le procureur de la Couronne dans sa propre plaidoirie ne font même pas ensuite l'objet d'argumentation dans le jugement du Plus Haut Tribunal du Québec ? ?
Je fus gentiment et agréablement transporté à Québec par 2 agents de sécurité de l'Institut Philippe Pinel de Montréal sans menottes aux chevilles mais seulement aux mains pour la première fois et invité donc officiellement le 27 février 2008 pour la première fois également en Cour d'appel, plus de 2 ans après avoir demandé l'appel de la décision du 21 juin 2006 de la juge Bourque de questionner inutilement mon aptitude à comparaître. Curieusement, par surcroît, ce questionnement fut posé après qu'un jury de 11 personnes m'ait acquitté après un délibéré de 2 heures. Après tout ce temps d'attente, j'estimais donc très, mais alors là, très utile de mentionner au panel soit aux juges Chamberland, Vézina et Giroux, tous 3 rémunérés au-delà de $300,000 annuellement par l'État et les contribuables, que la juge Sophie Bourque de la cour supérieure avait dérogé à l'article 672.26b du code criminel afin de me porter un préjudice incommensurable. CanLII - Code criminel, L.R.C. 1985, c. C-46 Le Code criminel
Le juge présidant l'audience soit le juge Jacques Chamberland m'a simplement dit qu'il recueillait mes observations mais ne rendrait pas une décision sur le banc ou comme cela à brûle-pourpoint parce qu'il devait aussi donner l'occasion au procureur de la Couronne de s'exprimer à ce sujet ? ?
Après que Me Jean-François Bouvette de Trois-Rivières, procureur représentant le poursuivant au dossier se soit exprimé sur le sujet, le juge Vézina lui a posé une question qui n'avait quelque rapport avec l'article 672.26b pour vraisemblablement le sortir du sujet et du merdier dans lequel il s'était enfoncé à l'origine de concert avec autres confrères et consoeurs substituts du Procureur général en proposant au juge Richard Poudrier de Trois-Rivières de m'envoyer à Pinel jusqu'en février 2010 me faire «traiter» pour ma dite inaptitude à subir mon procès; et ce, avant même que les preuves de l'accusation d'harcèlement ne soient déposées officiellement en ma présence au dossier de la Cour et qu'on m'accorde une enquête-caution !?
Quelle ne fut ma surprise de constater dans mon lit de ma minuscule chambre sécurisée de l'Institut Pinel quelque 2 semaines plus tard que le jugement daté du 31 octobre 2008 de cette même Cour d'appel ne prêtait traître mot à cette dérogation probante à l'article 672.26b par la juge Sophie Bourque de la cour supérieure.
Je réalisais, complètement atterré, que tous ces efforts de ma part dont la rédaction de plusieurs lettres et requêtes sans même l'aide d'un avocat, n'avaient rien donné de constructif. Car tous les avocats du privé approchés se sont déclinés pour je ne sais quelle raison. Sans doute parce que je n'avais quelque sous à leur offrir, et/ou que je n'étais pas un criminel notoire connu, et/ou que j'avais une cause beaucoup trop juste à leurs yeux, à défendre. Ou parce qu'ils étaient nécessairement contraints de passer par l'Aide juridique pour se faire payer et que celle-ci compte-tenu de la duplicité connue de mon propre avocat ou celui, plutôt, qui se prétendait l'être pour défendre ainsi mes intérêts, les bloquait. Plusieurs requêtes donc préparées avec les moyens du bord et de l'aide précieuse d'un code criminel emprunté de la bibliothèque de l'Institut Pinel que j'avais conservé même si plusieurs fois j'avais été contraint de le rendre à cause que ma date d'emprunt était échue. Tous ces efforts donc, afin de faire reconnaître l'atteinte illicite intentionnelle à mon endroit, avaient été vains. Et ce, à cause de la malhonnêteté intellectuelle de nos soi-disant plus brillants juges: soient ceux de notre Plus Haut Tribunal du Québec. Que cela est grossièrement désolant ! ?
Dans ce contexte à quoi cela sert-il maintenant de demander l'appel de décision de jugement de la cour supérieure si 3 juges totalisant près d'un million de dépense par année résulte simplement pour fin de leur permettre de maintenir un gros train de vie, aux frais des contribuables, dans une classe sociale privilégiée et bien à part: Soit la même que celle du premier ministre Charest et son entourage immédiat. Considérant que ces magistrats de la plus haute Cour du Québec, à 3 têtes, en plus, ne sont même capables de signaler à un appelant que, oui, l'article existe bien dans le code criminel et que oui, effectivement, la juge l'a bel et bien dérogé ? ?
Pour en savoir plus long cliquez sur:
http://prevarication101.blogspot.com/2009/03/respect-de-lart-67226b-du-code-criminel.html
6 commentaires:
En effet l'article 672.26b du code criminel a été dérogé par la juge Sophie Bourque qui se devait selon l'article d'assermenter de nouveau le jury pour décider de ma soi-disant inaptitude à comparaître.
Or, étant donné que j'étais cité pour la première fois devant la cour d'appel, les juges Chamberland, Giroux et Vézina auraient du tenir en compte en vertu de l'article 672.78 cette première erreur de droit dans le temps par la juge Bourque en regard de mon aptitude à comparaître. Ce qu'ils n'ont manifestement pas fait.
Pendant ce temps, on confie au juge Chamberland une commission d'enquête alors qu'il n'est même pas capable de rendre la justice sur une simple question de droit
Daniel Bédard
Le juge en chef J.J. Michel Robert ne l'a pas plus fait en se rendant des jugements avec lui-même sans inviter l'appelant sauvegardant ainsi l'image de la juge Sophie Bourque pendant tout ce temps !
Daniel Bédard
Même si le panel composé des juges Chamberland, Vézina et Giroux ont accueilli mon appel,une partie du jugement du 31 octobre 2008 de la cour d'appel s'énonce ainsi:
«b) l’alinéa (1)b) peut s’appliquer, mais elle est d’avis qu’aucun tort important ou aucune erreur judiciaire ne s’est produit.»
Or,en complément à mon premier commentaire, il est évident que le panel devait remonter dans le temps, soit la première fois où ma soi-disant inaptitude à comparaître avait été questionnée, soit devant la juge Sophie Bourque le 21 juin 2006. Le tort important m'a donc été fait à ce moment là et on a multiplié le tort en s'appuyant sur ce jugement là . Les juges Chamberland, Vézina et Giroux ont donc manqué une belle occasion de rendre la justice de façon plus drastique en mentionnant dans leur jugement qu'effectivement, comme je l'ai dit lors de ma plaidoierie, l'article 672.26b du code criminel avait été bafoué par la juge Bourque. Ce qu'il n'ont malheureusement pas fait pour protéger en retour l'immunité de cette juge en manque d'intégrité.
Daniel Bédard
«mais elle est d’avis qu’aucun tort important ou aucune erreur judiciaire ne s’est produit.»
Malgré l'accueil de votre appel, il est évident que les juges Chamberland, Vézina et Giroux ont manqué d'empathie et de compassion à votre égard en ne reconnaissant pas d'emblée le tort qu'il vous a été fait en vous envoyant à Pinel pour 20 long mois soigner votre dite inaptitude à comparaître alors que la juge Louise Villemure de la cour du Québec a décrété dans le temps qu'elle était bonne !!!
C'est scandaleux !!
J'ai soumis il y a quelques mois une requête en rectification de jugement de la cour d'appel qui reprendrait l'arrêt de la cour d'appel prononcé le 31 octobre 2008. Malgré l'accueil de l'appel, il y est prononcé qu'aucun tort ne m'a été causé comme il est fait mention dans les commentaires précédents.
La réponse de la cour d'appel (le juge Chamberland répond à ma lettre à travers sa greffière) est que ma requête est irrecevable et que la cour d'appel n'est pas le tribunal compétent pour s'en saisir. Mais lui rétorquais-je poliment par retour de lettre, si la Cour d'appel n'est pas le tribunal compétent qui donc est ce tribunal qui se doit d'exercer sa juridiction sur une dérogation sévère au code criminel par une juge de la cour supérieure, soit la juge Sophie Bourque ?
Daniel Bédard
Appreciate thiis blog post
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