La justice version Québécoise...

samedi 17 novembre 2007

« Je ratifie votre verdict »? Verdict de quoi au juste Madame Bourque ? Et viva la libre expression préconisée par notre P.M !

Chers internautes avertis,

J’aimerais vous aiguiller d’emblée par cet article à un principe procédural applicable et soutenu par les lois judiciaires. En effet, ces lois judiciaires prévoient que le juge présidant un procès avec juge et jury doit répéter en présence de ce même jury, le verdict qu’il vient d’entendre du jury.

Comme si le reste n’était pas suffisant, la juge Bourque a commis une entorse absolument inconcevable à ses propres obligations procédurales en tant que juge et présidente d’un procès en contournant volontairement son obligation.

Nonobstant même l’existence de ces lois judiciaires, le seul emploi du terme juridique « ratifier » lequel veut dire « confirmer », ne laissant guère le choix à la juge de compléter son adresse au jury.

Imaginez-vous en pleine négociation d’affaire entrain de signifier verbalement ou par lettre à votre client : « je confirme notre entente » point à la ligne. Entente sur quoi ? serait légitime le questionnement de votre client afin d’être certain que l’entente en question a été bien comprise par les deux parties. N’est-ce pas ?

Pour vous convaincre entendez vous-même en cliquant sur : http://www.youtube.com/watch?v=3vaRepk3q14

Pourquoi la juge Bourque a-t-elle fait, selon vous, telle omission volontaire ?

Faut-il croire que cela fut le « choix de Sophie » ou « Sophie’s choice » pour M. Charest lequel préfère, semble-t-il, des contrats entérinés avec le Groupe Corus rédigés dans la langue de Shakespeare.Un premier ministre qui en plus de se complaire dans le déni judiciaire se complait dans le déni de notre belle langue française et de ses propres lois et de celles dont elles émanent, soit de la Charte. En l’occurrence, la 101 cette fois-ci. Des contrats coûteux puisés à même encore une fois les poches des contribuables visant sa libre expression de 10 minutes à chaque dimanche matin, pendant qu’en contrepartie, il bafoue ce droit de libre expression à ces propres citoyens et contribuables.

Exemple : en faisant pression indue auprès de Cent-papiers afin qu’il retire complètement de la plate-forme mon article intitulé :« Oui, M. Charest, des excuses s’imposent au jeune orphelin Gabriel Hamel »

Lequel y était depuis début septembre et auquel s’étaient greffés en plus des commentaires plus que pertinents reliés, en autres, aux travaux de la Commission Johnson. Travaux dont je remets la pertinence et les conclusions du rapport en question de façon absolument irréfutable plus bas dans ce blog. Plus ça va plus rien ne change et tout se complique davantage pour notre premier ministre pour le moins mêlé voire brouillon comme certains de ses juges du Ministère Public par les temps qui courent.

Ouf ! on n’est pas sorti du bois avec lui !

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