La justice version Québécoise...

jeudi 11 octobre 2007

Votre non-réponse, M. Charest, m'oblige en respect de moi-même mais aussi envers le Public

Je m'excuse d'avoir à faire cela Monsieur Charest mais vous m'obligez par votre non-réponse encore une fois et, à l'instar de M. Dupuis, à rendre publique la lettre personnelle très importante à mes yeux que je vous ai respectueusement transmise le mois passé. Vous savez M. Charest ma situation actuelle est très précaire et vous me donnez carrément l'impression que Goliath après avoir abusé de ma bonne foi, de mon intégrité et de m'avoir chèrement fait payé le prix de ma témérité d'avoir vu à la Protection du Public, veut maintenant étouffer voire occire David en s'assurant que je ne puisse ainsi jouir en compensation d'une provision pour frais immédiate assurant simplement, pour l'instant, ma survie.

Si M. Mulroney s'est montré fier de vous, on dirait, par basse complaisance, je ne sais si Monsieur Bourassa serait fier de vous en se rendant compte de ce que vous avez fait du système professionnel qu'il a créé et inauguré en 1973, si je ne m'abuse, afin de voir à la protection de ses citoyens et citoyennes du Québec. L'automne dernier, autres ministres ainsi que vous-même, étiez pourtant à la cérémonie de commémoration en son honneur, semble-t-il, afin de souligner son apport exceptionnel au bien-être de sa communauté, en dévoilant une statue en effigie de lui-même. Autre exemple de duplicité, M. Charest ? Ou étiez-vous là physiquement mais non moralement ?


Repentigny, le 13 septembre 2007

Monsieur Jean Charest, premier-ministre du Québec
Edifice Honoré Mercier
835 boul. René Lévesque Est
3ie Étage
Québec, Qc
G1A 1B4

PERSONNEL & CONFIDENTIEL
PAR COURRIER


Objet : Cessation de l’atteinte illicite volontaire à mon endroit
et réparation immédiate du préjudice

Monsieur le Premier-ministre,

Aujourd’hui le 13 septembre 2007, cela fait exactement 4 ans jour pour jour qu’une atteinte illicite volontaire s’orchestrait au sujet de mon honnête personne.

Ce samedi 13 septembre 2003, le syndic Chenel Lauzier de l’Ordre des technologues professionnels du Québec se présentait à mon bureau professionnel de la rue Cherrier à Repentigny afin d’initier une soi-disant enquête en croisée sur moi parce que j’avais osé, imaginez, demander qu’une enquête soit instituée à l’ égard d’un ingénieur que j’avais mandaté de bonne foi en mai 2003.

En tant que premier-ministre mais également père de famille, vous ne pouvez ne pas être dénué des valeurs morales et familiales lesquelles autant Michèle que vos enfants savent sûrement reconnaître en vous.

Ces valeurs morales, Monsieur le premier ministre, font que vous ne puissiez que trouver invraisemblable tout le tort, le préjudice, les tensions, le stress et la perte de jouissance de la vie qu’un pseudo-syndic a entraînés sur un semblable par un exercice inadéquat de sa charge.

Par conséquent, je vous demande incessamment que l’atteinte illicite volontaire cesse et de faire en sorte que je sois dédommagé comme il se doit, par respect de l’être humain que je suis.

Par ailleurs, il m’apparaît absolument incontournable que les membres soient informés de cette performance pour le moins dégradante de la part, par surcroît, d’un enseignant qui réalise sa dite charge à temps partiel comme si le sort réservé à l’égard de confrères lui importait peu.


Primauté d’obligation de divulgation de l’information oblige en vertu du respect de l’article 19 du standard international quant au droit du Public à l’information. Afin que d’autres membres ne soient pas affectés par ce pseudo-syndic considérant que malgré son offense grave dans l’exercice de sa charge, ce Chenel Lauzier a pu bénéficier de 4 autres années de dangereux services aux membres aux frais de ces derniers.


Dans l’intervalle de votre réponse, je vous prie de recevoir, Monsieur le premier-ministre, mes salutations distinguées.




Daniel Bédard

c.c : Monsieur Éric Laporte, député adéquiste de la circonscription de L’Assomption
Me Claude L’Écuyer, député adéquiste et porte-parole en matière de justice



J'aimerais vous laisser un autre délai soit d'ici demain. A défaut des procédures pourraient être entreprises afin de forcer une réponse de votre part. Cette procédure pourrait même être celle de demander une intervention de la Commission internationale des droits de l'homme ou de l'O.N.U. dans ce dossier pour le moins abracadabrant.



1 commentaire:

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