dimanche 26 avril 2009
Lorsque la corruption s'installe et déculotte l'honnête professionnel !
30 minutes de mon temps en juin 2003 aurait pu m'éviter le cauchemar que j'ai vécu et tout ce que je suis obligé d'endurer encore simplement parce qu'en juillet 2003, j'ai décidé de faire confiance au système professionnel québécois et demander qu'une enquête soit entreprise au sujet d'un certain Pierre Sicotte, ingénieur.
Un individu malhonnête intellectuellement, excessivement orgueilleux et imbu de lui-même alors que les compétences dans son cas, n'étaient définitivement pas au rendez-vous.
Peut-être aurais-je du aller le rencontrer tout simplement et lui demander qu'est-ce qui n'allait pas au juste avec lui pour qu'il refuse de sceller et signer mes dessins alors que son mandat que nous avions convenu ensemble était précisément celui-là ?
Mais trop occupé à remplir mon propre mandat de conception et dessins de structure d'acier entrepris pour mon client de Baie-Comeau que je servais très bien depuis déjà 1 an à l'époque, j'ai décidé au lieu de confier un mandat d'enquête à son sujet au syndic Louis Tremblay, de l'O.I.Q.
C'est précisément là que mon cauchemar a commencé...
L'enquête en obscur chassé-croisé entreprise contre moi par le tout aussi non-intègre syndic de l'O.T.P.Q et professeur au CEGEP de Sherbrooke, Chenel Lauzier, ne réussira même à démontrer quelque défaut au niveau de ma pratique professionnelle, ni quelques erreurs quelconques dans le travail exécuté pour mon client de Baie-Comeau, Construction et Fabrication Fransi; mandat pour lequel, à sous-contrat, j'avais impliqué l'ingénieur Sicotte.
Ainsi, si ladite enquête de notre professeur et ensuite celle du syndic adjoint Serge Dumas de l'O.T.P.Q n'a pas conduit à déterminer qu'il y avait eu des erreurs au niveau de la conception de mes plans, comment se fait-il alors que l'O.I.Q après que son comité de révision m'ait même donné raison, ait pu finalement approuver l'attitude de son ingénieur de ne pas sceller et signer ceux-ci après qu'il eut accepté le mandat de son client en ce sens ?
Par respect pour ma dignité, mon honneur et ma réputation, j'ai décidé de ne pas baisser les bras en laissant le mensonge l'emporter alors que le comité de révision de l'O.I.Q m'avait donc effectivement donné raison en janvier 2004 et dès lors tout aurait du s'arrêter là car mon devoir de demandeur d'enquête était rempli. Pour en faire le constat ou votre propre vérification d'usage cliquez sur:L'ORDRE DES INGÉNIEURS DU QUÉBEC
Mais constatez ce que ce même mensonge lorsqu'il est protégé peut entraîner comme dédales judiciaires absolument euphoriques.
Cela ne me tente guère de faire cela mais à force de me faire attaquer et absorber les contre-coups alors que je n'avais nullement à agir de cette manière et faire le mou, j'ai décidé finalement de riposter courageusement et déposer des plaintes criminelles à l'endroit de 3 procureurs et exiger que les juges Sophie Bourque et Louise Leduc soient reconduites à la prison pour femmes Tanguay au terme d'un procès qui pourrait être tenu par un organisme international reconnu ayant à coeur le respect des DROITS de l'homme tout aussi bien que ceux de l'être humain en général ! ?
Mais semble-t-il qu'ici au Québec, sous la férule de Jean, la carpe, Charest, rien de tout cela n'est reconnu... lorsque ce dernier en toqué qu'il est, s'amuse à s'acharner sur un québécois pure-laine et de même âge que lui... pour ainsi faire plaisir à ses petits «z'amis» «gningningneurs»... qui en échange lui envoie des belles sommes d'argent en retour d'ascenseur dans la caisse du parti ou même encore dans ses poches directement...
Un individu malhonnête intellectuellement, excessivement orgueilleux et imbu de lui-même alors que les compétences dans son cas, n'étaient définitivement pas au rendez-vous.
Peut-être aurais-je du aller le rencontrer tout simplement et lui demander qu'est-ce qui n'allait pas au juste avec lui pour qu'il refuse de sceller et signer mes dessins alors que son mandat que nous avions convenu ensemble était précisément celui-là ?
Mais trop occupé à remplir mon propre mandat de conception et dessins de structure d'acier entrepris pour mon client de Baie-Comeau que je servais très bien depuis déjà 1 an à l'époque, j'ai décidé au lieu de confier un mandat d'enquête à son sujet au syndic Louis Tremblay, de l'O.I.Q.
C'est précisément là que mon cauchemar a commencé...
L'enquête en obscur chassé-croisé entreprise contre moi par le tout aussi non-intègre syndic de l'O.T.P.Q et professeur au CEGEP de Sherbrooke, Chenel Lauzier, ne réussira même à démontrer quelque défaut au niveau de ma pratique professionnelle, ni quelques erreurs quelconques dans le travail exécuté pour mon client de Baie-Comeau, Construction et Fabrication Fransi; mandat pour lequel, à sous-contrat, j'avais impliqué l'ingénieur Sicotte.
Ainsi, si ladite enquête de notre professeur et ensuite celle du syndic adjoint Serge Dumas de l'O.T.P.Q n'a pas conduit à déterminer qu'il y avait eu des erreurs au niveau de la conception de mes plans, comment se fait-il alors que l'O.I.Q après que son comité de révision m'ait même donné raison, ait pu finalement approuver l'attitude de son ingénieur de ne pas sceller et signer ceux-ci après qu'il eut accepté le mandat de son client en ce sens ?
Par respect pour ma dignité, mon honneur et ma réputation, j'ai décidé de ne pas baisser les bras en laissant le mensonge l'emporter alors que le comité de révision de l'O.I.Q m'avait donc effectivement donné raison en janvier 2004 et dès lors tout aurait du s'arrêter là car mon devoir de demandeur d'enquête était rempli. Pour en faire le constat ou votre propre vérification d'usage cliquez sur:L'ORDRE DES INGÉNIEURS DU QUÉBEC
Mais constatez ce que ce même mensonge lorsqu'il est protégé peut entraîner comme dédales judiciaires absolument euphoriques.
Cela ne me tente guère de faire cela mais à force de me faire attaquer et absorber les contre-coups alors que je n'avais nullement à agir de cette manière et faire le mou, j'ai décidé finalement de riposter courageusement et déposer des plaintes criminelles à l'endroit de 3 procureurs et exiger que les juges Sophie Bourque et Louise Leduc soient reconduites à la prison pour femmes Tanguay au terme d'un procès qui pourrait être tenu par un organisme international reconnu ayant à coeur le respect des DROITS de l'homme tout aussi bien que ceux de l'être humain en général ! ?
Mais semble-t-il qu'ici au Québec, sous la férule de Jean, la carpe, Charest, rien de tout cela n'est reconnu... lorsque ce dernier en toqué qu'il est, s'amuse à s'acharner sur un québécois pure-laine et de même âge que lui... pour ainsi faire plaisir à ses petits «z'amis» «gningningneurs»... qui en échange lui envoie des belles sommes d'argent en retour d'ascenseur dans la caisse du parti ou même encore dans ses poches directement...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire