L'acharnement judiciaire à l'encontre de Daniel Bédard se poursuit de plus belle. Les médias, sous la plume de Christiane Desjardins ou de Denis Santerre continuent de répandre des faussetés sans avoir au préalable « agi de façon responsable en mettant tout en œuvre pour prouver qu'elle était rigoureusement exacte ».
Il est déplorable de constater dans les commentaires publiés sous l'article de RueFrontenac que certains lecteurs osent porter un lourd jugement au sujet de Daniel Bédard. « ...mais le système lui fait procès après procès, alors que c`est assez évident qu`il n`est pas apte à les subir...» dixit Michel Côté. Ce n'est pourtant pas l'avis de deux cliniciens dont la psychiatre Kim Bédard-Charette de l'Institut Pinel. La psychiatre Bédard-Charette est venue mettre définitivement un terme à tout un cirque qui durait alors depuis plus de 14 mois en produisant à l'automne 2008 un rapport d'expertise confirmant le diagnostic du Dr Mailloux qui attestait de l'aptitude à comparaître de Daniel Bédard.
D'ailleurs, en terme juridique, l'aptitude à comparaître se résume à bien peu de choses. Il suffit à la personne accusée de connaître le rôle de chacune des parties, de la poursuite et de la défense, de la signification des accusations levées contre sa personne et des conséquences d'un éventuel verdict de culpabilité. Tout le reste demeure une question de décorum à la cour.
Et pour citer le Doc Mailloux dans son rapport d'expertise concernant Daniel Bédard : « Il n'est pas du rôle de la psychiatrie de juguler les comportements pouvant porter ombrage au décorum de la cour. » En guise de conclusion, le Doc Mailloux précise : « Je déplore donc dans le présent dossier l'utilisation de la psychiatrie à des fins autres que les objectifs nobles qui doivent prévaloir à l'intérieur de cette profession. »
Cette fois-ci, la mission de détourner la justice de ses finalités fut confiée à Claude Champagne. Le procès fut instruit devant juge et jury. La délicate question de l'aptitude à comparaître relève de la compétence exclusive du jury selon les dispositions de l'article 672.26 b) du code criminel. Par son attitude irrévérencieuse envers les dispositions applicables du code, le juge Claude Champagne nous démontre encore une fois n'avoir cure de l'institution qu'il a pourtant juré de servir avec honneur et intégrité. Le juge Champagne nous avait déjà confirmé dans un jugement fallacieux que les ordonnances de la cour supérieure en matière familiale ne valait guère le papier sur lequel elles étaient imprimées.
« Mes réactions sont des réactions normales de personne qui se fait tromper par le système judiciaire. Si vous aviez du respect pour la loi, je ne vous aurais pas insulté pendant le procès », a précisé Daniel Bédard à l'arrogant magistrat. À la lumière de ce simple exemple de détournement de justice, avant de questionner l'aptitude des accusés à comparaître, peut-être faudrait-il davantage évaluer l'aptitude à juger des magistrats.
Voici d'ailleurs dans ses propres mots ce que Daniel Bédard avait à dire au sujet de la manière dont il avait été traité par les charlatans de l'Institut Pinel responsables du cirque évoqué plus haut et enrayé suite à l'intervention judicieuse du Doc Mailloux.
La ministre des Transports, Julie Boulet, n'avait pas vingt ans lorsque Lise Payette a fait adopter le «no fault» dans sa loi sur la Régie de l'assurance automobile du Québec (RAAQ), à l'hiver 1978, au cours du premier mandat de René Lévesque, devenue plus tard la SAAQ. Elle suivait alors sans doute d'une seule oreille les débats sur ce nouveau régime d'assurance collective. Je ne lui en tiens pas rigueur. J'ai eu vingt ans et malheureusement pas en même temps qu'elle.
Cela ne l'autorise toutefois pas à adapter l'histoire à ses besoins actuels. Son parti, le Parti libéral du Québec, a alors mené une farouche bataille de plusieurs mois, au nom du Barreau du Québec et des assureurs privés, qui s'opposaient à la formule du «no fault» parce qu'ils allaient perdre d'importants revenus. Mme Boulet ne peut certainement pas dire, comme elle l'a fait cette semaine à l'Assemblée nationale, que le «no fault» est un fruit précieux d'un consensus social, auquel il ne faudrait pas toucher.
D'ailleurs, son chef Jean Charest avait attiré comme candidat en 2003 l'avocat de nombreuses victimes insatisfaites de la SAAQ et de la CSST, Me Marc Bellemare, en lui promettant qu'il pourrait piloter des modifications à la loi lorsqu'il serait au gouvernement. On connaît la suite : Jean Charest n'a pas tenu parole et Me Bellemare a démissionné en avril 2004. La ministre Julie Boulet doit au moins se souvenir de cet épisode : elle avait cette fois 45 ans et elle était ministre déléguée aux... Transports.
Les victimes de l'effondrement du viaduc de la Concorde et leurs proches ont été indemnisées minimalement, comme de simples victimes d'un banal accident de la route. Qu'une personne ait perdu un conjoint, un père; qu'une autre garde des séquelles physiques toute sa vie; ou qu'un individu ne puisse retrouver son gagne-pain, aucun autre recours ne lui est permis, maintient la ministre.
Le député de l'ADQ, Janvier Grondin, a eu une formule lapidaire, crucifiante, pour illustrer le ridicule de cette disposition et du raisonnement de la ministre: «le no-fault a été établi pour protéger les automobilistes qui frappent des ponts, pas pour les ponts qui frappent les automobilistes.»
Un tel cas inédit fait certainement partie des exceptions au «no fault» ( l'indemnisation sans égard à la faute lors d'un accident) qui devraient être introduites. Un pont qui s'écroule n'est de toute évidence pas un accident de la route ordinaire et l'esprit du législateur, lors de la création du régime, n'était pas de priver les citoyens d'un droit ni de protéger le gouvernement à la suite de son incurie dans l'entretien de ses infrastructures. La réponse fournie par la ministre Boulet jeudi relevait de la bêtise; elle était démagogique sur le pseudo consensus social autour du «no-fault» absolu et étroitement juridico-administrative. La loi protège le gouvernement, dit-elle en somme, que les citoyens qui s'en sentent capables prennent un ticket pour la Cour suprême et nous vous aurons à l'usure et par l'appauvrissement.
Cette attitude rappelle celle adoptée pendant des décennies face aux «orphelins de Duplessis» qui ont été indemnisés quarante ans après les sévices subis, ou ces cas de victimes d'erreurs judiciaires reconnues qui, plusieurs années après leur libération du pénitencier, doivent toujours se battre contre la machine gouvernementale pour obtenir une juste compensation pour une vie brisée.
Dans le cas de l'effondrement du viaduc de la Concorde, au-delà de toute considération humaine, au-delà des conclusions de la Commission Johnson sur les manquements des gouvernements quant à l'entretien de ses structures, une ministre verbomotrice est prête à nier jusqu'à l'absurde toute responsabilité de l'État. J'espère qu'il se trouvera un Don Quichotte membre du Barreau, si ce n'est pas Me Bellemarre que ce soit un autre (ce serait un beau chant du cygne pour Me Guy Bertrand) pour ramener à la raison le gouvernement, mais surtout faire prévaloir les droits des citoyens. Le «no fault» a assuré une indemnisation aux victimes d'accidents de la route indépendamment de la responsabilité et du niveau de solvabilité du fautif. On en a par contre fait un autre dogme inaltérable, une vache sacrée, comme c'est trop souvent le cas au Québec.
L'histoire est celle de deux villes jumelles dont le nom est encore évoqué dans le domaine de la sexologie. Ces villes étaient peuplées de gens tellement peu fréquentables que l'auteur du désastre avait le projet d'y faire table rase. Après discussion l'auteur du désastre en question avait décidé de chercher une autre solution si un seul des habitants d'une de ces villes se comportait en honnête citoyen.
Il n'y a que quelques jours, c'était le 21 mai dernier, le plus invraisemblable des procès a connu son dénouement dans l'indifférence générale. Daniel Bédard, accusé d'avoir mis trop d'insistance à assurer le suivi de la plainte qu'il avait déposée auprès de l'Ordre des ingénieurs du Québec a été condamné à cinquante quatre mois d'incarcération. En termes juridiques l'accusation en était une de harcèlement. Comparée à d'autres sentences on pourrait croire que le crime est sanglant. L'accusé aurait aimé se défendre sans avocat. Le juge Mongeau qui présidait le tribunal a décidé que l'accusé était trop indiscipliné pour avoir droit ni de se défendre ni à un plaidoyer. Allez zou en cellule le Bédard. Que cache donc cette affaire? Il serait bien imprudent d'oser en dévoiler la face cachée. Il faudrait en dire que le juge Mongeau aurait agi avec rigueur. C'est malheureusement tout le contraire qui s'est produit: Richard Mongeau s'est comporté comme un malpropre.
Le crime reproché à Bédard n'a rien à voir avec celui dont il a été accusé et pour lequel aucune preuve valable n'a été produite devant le tribunal. Le principal argument de l'accusation était que Marc Lépine et Valéry Frabrikant visaient tous les deux des ingénieurs et qu'en s'adressant avec insistance à l'Ordre des ingénieurs du Québec Daniel Bédard avait fait la démonstration qu'il avait lui aussi des intentions malveillantes. Comme c'est malheureusement trop souvent le cas au Québec il flotte sur toute cette affaire une odeur de corruption: quand on s'adresse à un ordre professionnel il ne faudrait jamais mettre en doute l'intégrité de ses membres. Il y aurait dans toute cette histoire une défaillance structurelle qui justifie qu'on tente par tous les moyens de réduire l'accusé au silence. J'en ai déjà trop dit. S'il devait m'arriver malheur j'aimerais qu'on prenne bien soin de ma collection d'emballages d'anchois. Un accident est si vite arrivé.
Devant une situation semblable la réaction naturelle consiste à détourner le regard et prétendre croire, en espérant qu'un viaduc ne nous tombe pas sur la tête, que le condamné ne peut qu'être coupable. Tant qu'on n'a pas visité l'intérieur d'un wagon à bestiaux on choisit de se croire à l'abri des dérapages dont le juge Mongeau et ses complices sont capables. Qu'est-ce qui nous permet d'en être assuré?
Depuis le temps j'ai compris que mes souhaits finissent souvent par se réaliser. Il ne s'agit pas de force psychique mais d'intuition. Un seul membre de la magistrature fera-t-il preuve de l'intégrité nécessaire pour renverser la vapeur? Un seul c'est pas beaucoup. Il n'aurait qu'à évoquer le discrédit que cette affaire jette sur l'administration de la Justice.
« Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre cœur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, où que ce soit dans le monde. C'est la plus belle qualité d'un révolutionnaire. »
- Ernesto Che Guevara
Comment, sur une base aussi fragile, un jury convenablement constitué peut-il en arriver à un verdict de culpabilité ?
Initialement, ce dossier saugrenu s’amorce suite à un événement qualifié de « majeur » qui serait survenu au bureau de l’Ordre des Ingénieurs du Québec (OIQ) à en croire le témoin Sylvie Fradette, secrétaire réceptionniste à l’OIQ, un événement si grave qu’il aurait nécessité le déclanchement d’une alerte générale. Cet événement se serait déroulé au printemps 2007 selon la déclaration du témoin qui se ravise par la suite pour le situer plutôt durant l’été 2007 d’après sa réponse donnée lors du contre interrogatoire mené par la défense. Qui plus est, cet événement « majeur » brille par son absence dans le précis des faits produit par les agents du SPVM ! Le juge Richard Mongeau a pourtant bien précisé dans son adresse au jury, élément qu’il a réitéré après la plaidoirie de la défense qu’il a écourtée pour d’obscures raisons, que le fardeau de la preuve repose sur les épaules de la couronne, c'est-à-dire que cette dernière doit convaincre hors de tout doute raisonnable le jury que l’accusé a effectivement commis l’infraction reprochée et qu’en outre, il était motivé par une intention criminelle lorsqu’il a posé le geste reproché.
Par ailleurs, l’acte d’accusation précise que le harcèlement allégué aurait eu lieu entre le 1er août et le 14 novembre 2007 inclusivement. Dans un premier temps, comment la couronne pouvait-elle penser convaincre un jury légitimement constitué selon les prétentions du juge Mongeau, en ne déposant à l’appui de sa thèse de harcèlement que 5 menus éléments de preuve, parmi lesquels figure un seul et unique message laissé sur la boîte vocale de l’OIQ (pièce P-3) ? Comble d’incohérence, ce message unique déposé en preuve et daté du 15 novembre 2007 ne figure même pas à l’intérieur du cadre temporel retenu dans l’acte d’accusation.
Voici donc la teneur fidèle, à la faute près, de ce message transcrit par Luce Bastien de l’OIQ: Appel (message L.B) de D.B en date du 15 novembre 2007 à 09h11. « Bonjour Mme. Mon nom est Daniel Bédard. Je voulais m’adresser au président de l’OIQ, M. Ghavitian étant donné que je l’ai déjà rejoint plus tôt cette semaine à l’Hydro-Québec à l’effet qu’il a répondu ou non à la mise en demeure que je lui ai transmis (sic) via la direction générale. Cette mise en demeure-là devait répondre à l’intérieur de sept (7) jours. Alors, j’aimerais savoir si M. Ghavitian va y donner suite puisqu’il reste seulement une journée. SVP, me rappeler au no 450-582-3815. Je vous remercie et bonne journée ».
Ainsi, qu’est-ce que le ministère public a tant à reprocher à M. Bédard qui motiverait le juge Mongeau de lui infliger une peine de 5 ans de prison ? Le jury est informé que M. Bédard a laissé un seul et unique message sur la boîte vocale de Me Luce Bastien. Un seul message courtois représente-t-il véritablement du harcèlement ? De plus, M. Bédard ayant déjà dans un premier temps communiqué de vive voix avec M. Ghavitian à son bureau dans les locaux d’Hydro-Québec, le 12 novembre précédent, se croyait de bonne foi autorisé à faire un suivi avec le destinataire de sa mise en demeure. C’est du moins ce qu’il aurait expliqué au jury, n’eussent été des sempiternelles objections du juge Mongeau dont le mandat très clair consistait à faire entrave à la justice en s’assurant que l’accusé ne puisse bénéficier d’une défense pleine et entière. Le juge Mongeau s’est même objecté à ce que le plaignant et principal intéressé dans cette affaire, le président Zaki Ghavitian de l’OIQ, soit assigné à la barre des témoins et ce afin de compenser le manquement grave du procureur de la couronne Jacques Rouillier de ne vouloir le citer à comparaître, cherchant vraisemblablement à le protéger des conséquences de ses mensonges et de la possibilité bien réelle de poursuites pénales sous les chefs de parjure, de méfait public et corruption de jury et de fonctionnaires de l’État. Il s’agit de très graves accusations compte tenu de la position occupée par le président d’un ordre professionnel aussi prestigieux que l’OIQ, si l’on se fie à la perception du public à son endroit. Il serait peut-être temps que la PM Charest intervienne afin de sauver la face de cet ordre professionnel qui n’a cessé de s’enliser dans la bêtise incommensurable depuis 2003 dans un dossier à prime abord anodin.
Voilà ce qui a trait à la pièce P-3 : un doute raisonnable aurait dû effleurer l’esprit du jury. Quant à la pièce P-1, celle-ci est constituée d’une lettre datée du 24 août 2007 adressée à Me Claude Leduc, procureur de l’OIQ et dont l’objet est la quérulence. En page 2 de cette lettre rédigée de façon courtoise, le jury est informé que M. Éric Laporte, député ADQ de la circonscription de l’Assomption où réside l’accusé, Me Claude L’Écuyer, également de l’ADQ, porte-parole de cette formation en matière de justice et Me J. Michel Doyon, bâtonnier du Barreau du Québec ont reçu copie conforme de cette missive. Le juge Mongeau a refusé de citer à témoigner M. Éric Laporte malgré le fait qu’il soit invoqué dans la preuve déposée par la couronne.
Sur la première page de cette même lettre, nous retrouvons au 3ième paragraphe la phrase suivante : « En ce sens et afin que vous puissiez vous exhorter à ces véracités, vous trouverez ci- annexé ma lettre du 13 août adressée au procureur général et ministre de la justice, M. Jacques P. Dupuis ». Or les jurés n’ont pas démontré la moindre curiosité que ce soit au sujet de cette lettre, confirmant ce que M. Bédard avait compris depuis longtemps, à savoir que ce jury, dont la sélection s’est déroulée à huis clos, était contaminé. M. Bédard a poussé son observation jusqu’à s’enquérir si les jurés prenaient réellement des notes comme certains d’entre eux l’avaient laissé entendre. En effet, du banc des accusés, M. Bédard se trouvait à environ 2 mètres du cagibi où les jurés sont séquestrés. En se levant sur le bout des pieds pour voir au dessus de leur cartable ou bloc-notes, quelle ne fut pas sa surprise de constater que leurs feuilles de notes étaient immaculées, alors que les témoignages et contre-interrogatoires des témoins de la couronne tiraient à leur fin. Son œil s’est particulièrement attardé sur le jury # 2, un jeune homme dans la fin vingtaine ou jeune trentaine, celui-là même qui a prononcé le verdict fatidique COUPABLE, dimanche le 17 mai à 10h22. Suite à ce verdict, le juge Mongeau complètement sorti de ses gonds, déshonorant l’institution qu’il a pourtant juré de servir avec honneur et intégrité, allait expédier Daniel Bédard 54 mois derrière les barreaux selon la sentence retenue. La sévérité de la peine infligée relève sans doute d’une vengeance toute personnelle à l’égard de Daniel Bédard du fait que ce dernier l’avait déjà rabroué sur la place publique pour sa méconnaissance crasse du droit applicable avant d’être acquitté par un jury en décembre 2005. Comment Mongeau peut-il être à ce point condescendant alors que tout ce que Daniel Bédard recherchait chez lui, c’était l’assurance de son impartialité ?
Pourtant, le juge Mongeau avait bien informé le jury du fait que pour être recevable en droit criminel, une preuve se doit d’être complète. La couronne avait donc le devoir d’y annexer la lettre rédigée par M. Bédard le 13 août 2007 adressée à Jacques P. Dupuis afin que les jurés puissent ainsi comprendre de quoi il s’agissait, tout particulièrement en ce qui concerne l’utilisation hors contexte du mot quérulence qui ne pouvait qu’ajouter à la confusion. Idem pour les pseudo-diagnostics rédigés par les psychiatres Jacques Talbot et Louis Morissette qui y sont cités et de l’article de Me Louis Lapointe du Barreau. Un jury perspicace et intègre aurait certainement exigé que leur soit transmise cette lettre du 13 août et qu’en surplus le ministre Dupuis vienne témoigner pour en répondre. Envers et contre tous, le juge Mongeau a refusé d’assigner cet autre témoin afin de maintenir le jury dans l’ignorance, un jury qui ne semblait pas intéressé à être saisi de la vérité. Dans un tel contexte, l’accusé doit certainement bénéficier du doute raisonnable.
En ce qui concerne la preuve déposée sous la cote P-2, il s’agit d’un courriel destiné à l’OIQ et expédié à 11h26 en date du 09 novembre 2007 par un dénommé Gilles Courchesne. Ce Monsieur Courchesne est décrit par le juge Mongeau dans le document du « droit applicable » remis au jury comme étant un pseudonyme utilisé par M. Bédard afin d’entrer subrepticement en contact avec la direction de l’OIQ. Aucun élément de preuve ne vient corroborer cette affirmation tout à fait gratuite. Cette communication ne pouvait, si tant est qu’un tel subterfuge fut effectivement démontré, être préjudiciable à M. Bédard dans la mesure où le texte du courriel en question ne comporte aucun propos qui pourrait être interprété, même vaguement, comme une quelconque menace. Le courriel mis en preuve transmet seulement au moyen d’une note la mise en demeure destinée à l’OIQ et extraite du blog « Acharnement Judiciaire ». Ce M. Courchesne exerce en quelque sorte la fonction d’un huissier dont le rôle consiste à transmettre à qui de droit les documents juridiques préparés par un bureau d’étude légale. Ainsi, s’il faut en croire le juge Mongeau, un huissier de justice serait désormais susceptible d’être poursuivi en harcèlement et être traité au moyen de médicaments. Imaginez dans quel esprit retord de tels scénarios peuvent être élaborés…
Par ailleurs, le document P-2 a été caviardé selon le propre terme utilisé par la couronne et cet exercice de censure éhonté de la preuve a été approuvé par le juge Mongeau, en l’absence du jury faut-il encore le préciser. C’est alors que Mongeau a commis une faute absolument incroyable qui démontre hors de tout doute raisonnable sa corruption. Lorsque s’adressant au jury lors de sa plaidoirie, Daniel Bédard leur a suggéré de laisser une note au juge lors du délibéré afin qu’il soit saisi de la signification de l’expression « caviarder une preuve », le juge répond alors au nom du jury et étonne tout le monde quant à son incompétence notoire en signifiant que le jury connaissait bien la signification de l’expression « caviarder une preuve ». Si le jury connait déjà toute cette technicité juridique, pourquoi l’avoir instruit pendant au moins une heure avant le début des procédures et pendant plus de 2 heures avant le délibéré du droit que le juge Mongeau qualifie d’applicable alors que pour les confondre davantage, son document intitulé « droit applicable » les influence subjectivement sur les faits applicables au dossier Daniel Bédard. Ce dernier élément rend ce document absolument illégal et irrévérencieux envers l’institution judiciaire et prive l’accusé du droit inaliénable à un procès juste et équitable en respect de l’article 23 de la charte.
Quant à la pièce P-4 datée du 15 novembre 2007, ce même Monsieur Courchesne commente un article rédigé par Daniel Bédard la veille et intitulé «Esclandre à la Cour d’appel : Que faire lorsque le Plus Haut Tribunal du Québec fait défaut de juridiction sur un droit légitime d’obtenir des preuves ». Ainsi le jury par absence de perspicacité omet de poser cette question au juge simplement parce que ce dernier en a décidé ainsi et accepte que lui soit transmise par la couronne une autre preuve caviardée. Or le caviar fut pourtant très rapidement consommé par le jury car l’accusé a décidé de déposer l’ensemble de la preuve colligée par les agents du SPVM, soient les 17 éléments de preuve qui avaient conforté le S.D. Serge Messier dans son intention de procéder à l’arrestation du prévenu le 19 novembre 2007 suivi d’une détention arbitraire de 13 mois. Or dans ces 17 éléments de preuve déposés par l’accusé, que la couronne avait précédemment affirmé avoir détruit le 4 décembre 2008 devant le juge Robert Sansfaçon, les pièces P-2 & P-4 sont présentes dans leur intégralité, ce qui aura sans doute permis au jury de mieux comprendre l’essence du texte dans son ensemble et non dans sa partialité.
Quant à la pièce P-5, la couronne a fourni une photo sur un fond sombre, une photo noire et blanc de piètre qualité de Daniel Bédard l’assimilant à un malfrat. Le témoin Bastien a même affirmé dans son témoignage que la photo lui avait été fournie par un représentant de l’ordre des technologues professionnels du Québec auquel Daniel Bédard a adhéré durant 20 ans, une preuve plus facile à détruire que cela ne lui ayant jamais été communiquée auparavant. Mais le jury n’a jamais retenu la notion du doute raisonnable, faut-il croire et il est fort douteux que 12 personnes incluant le juge Mongeau puissent ne pas être plus avisées en matière de justice.
En rédigeant le présent blog, il semble que Daniel Bédard a fait vibrer une corde sensible au sein de l’appareil gouvernemental. Les gens impliqués dans cette vaste entreprise de corruption disposent manifestement d’antennes au sein de la magistrature si on en juge par le caractère sévère de la sentence imposée à M. Bédard, soit une peine de 54 mois de détention à laquelle, en bon prince des ténèbres, le juge Richard Mongeau, un être sulfureux au passé ténébreux, a accepté gracieusement de soustraire les quelques 13 mois comptabilisés en double parce qu’écoulés en détention préventive, essentiellement à l’Institut Philippe-Pinel.
Les internautes les plus perspicaces vont comprendre à la lecture du présent commentaire émanant directement de M. Bédard les véritables enjeux derrière le présent débat et seront en mesure par la suite d’en tirer leurs propres conclusions. Un ministre, une couronne, 2 juges et un jury corrompus : tout ce beau monde venant coiffer 6 ans de désordre procédural et de mesures arbitraires destinées à couvrir le popotin de Pierre Sicotte, l’ingénieur fautif auteur du mensonge éhonté à la source de cette virevoltante saga qui refuse obstinément de reconnaître ses impairs. Son mensonge grandiloquent aura fait passer Daniel Bédard plus de 33 mois à ce jour derrière les portes closes.
Le juge est corrompu en ce sens qu’il a présidé un procès durant lequel aucun élément tangible de preuve digne de ce nom n’a été produit. Le verdict absurde qui en résulte aura pour conséquence de prolonger d’un autre 28 mois de réclusion l’atteinte illicite et volontaire du ministère public à l’endroit de M. Bédard. Rappelons que pour l’extirper des tourments infligés par les charlatans de l’Institut Pinel, il aura fallu l’intervention énergique du Doc Mailloux dont la contre-expertise a convaincu le tribunal de l’état mental équilibré de l’accusé. En plus de l’expertise effectuée par le Doc Mailloux, Kim Bédard-Charest, une psychiatre rattachée à l’Institut Pinel, en est arrivée à une semblable conclusion, à savoir que Daniel Bédard ne souffrait d’aucun trouble mental justifiant sa mise au rancart pour une soi-disant inaptitude à comparaître. Précisons que Pinel a été fautif sur toute la ligne dans cette affaire en produisant des expertises complaisantes destinées à couvrir la prévarication des mandarins de l’État. Par simple inférence, nous sommes en mesure de déduire que M. Bédard fut détenu illégalement à l’Institut Pinel sans aucune raison si ce n’est de lui interdire de révéler au grand public les véritables raisons de l’effondrement du viaduc de la Concorde et l’entreprise de maquillage connu sous le nom de Commission Johnson. Ainsi procédaient les gardes chiourmes à la solde du tyran Staline qui expédiaient les « dissidents » dans les hôpitaux psychiatriques pour les réduire au silence. C’est ainsi que l’internaute découvre que le Québec contemporain n’a rien à envier à ces pratiques barbares que l’on croyait révolues.
Durant le procès, le juge Mongeau a pourtant averti les jurys de cette éventualité au niveau de la corruption afin que ce dernier prenne la décision appropriée s’il était saisi d’une information crédible en ce sens. Dans cette optique, l’indignation du juge Mongeau semble suspecte après que Daniel Bédard eût affirmé devant le jury qu’il y avait indéniablement de la corruption dans ce dossier. Pourquoi soulever cet élément durant le procès et s’indigner par la suite d’une simple remarque à l’effet que la présence de cette corruption a été vérifiée hors de tout doute raisonnable ? De cette manière, le juge Mongeau qui doit sa nomination à la culture de corruption inhérente au sein du parti libéral, cherchait à détourner l’attention du jury au sujet de certains éléments suspects qui pointent en sa direction, lui qui est investi du pouvoir d’instruire une moquerie de procès ! Ce faisant, le magistrat qui a affiché une extrême nervosité tout au long des débats, aiguillait l’accusé volontairement sur ce fait troublant considéré comme impossible par la majorité des gens. Les faits nous démontrent que la remarque de Daniel Bédard adressée au jury était pleinement justifiée. Comment un juge informé de cette réalité peut se contenter de regarder passer le train et accepter de ne rien faire ? Est-ce normal que ce jury reconnaisse l’accusé coupable après avoir été formellement informées par le juge de la notion du doute raisonnable, notion incontournable en droit criminel et qui doit prévaloir en tout temps ? Comment expliquer que 11 citoyens ne trouvent pertinent de s’informer de la date précise d’un esclandre apparemment survenu au bureau de l’Ordre des Ingénieurs du Québec (OIQ) durant l’été 2007 selon les dires de Sylvie Fradette, secrétaire-réceptionniste ? À la lumière de ce témoignage fourbe, Daniel Bédard accuse maintenant Mme Fradette de parjure et de méfait public, des accusations d’une grave portée.
Cet incident saugrenu aurait justifié à lui seul l’arrestation arbitraire, effectuée sans mandat, de Daniel Bédard à son domicile de Repentigny le 19 novembre 2007 et sa détention sous garde et traitement à l’Institut Pinel jusqu’au 11 décembre 2008. Comble de la sottise judiciaire qui a pris une envergure incroyable, le juge Mongeau ne réagit pas en demandant d’accéder à l’information manquante lors du temps de parole alloué à Daniel Bédard durant ses représentations sur sentence, lui qui avait écourté, sans raison apparente, son temps de plaidoirie devant jury. Daniel a informé le juge lors de cette rare occasion de se faire entendre, que le « mandat » requis au moment de son arrestation initiale du 19 novembre 2007 avait été délivré le 28 avril 2009 au sortir de la cour ! Ce mandat a été émis par le même agent spécial affecté à la surveillance du détenu peu de temps après qu’il eût procédé à son arrestation illégale dans une petite salle attenante à la salle 3.11 réservée pour la tenue de ce procès. Selon toute vraisemblance, l’arrestation avait pour but d’influencer négativement la perception du jury, à tout le moins lui laisser l’impression de dangerosité de l’accusé, désormais traduit devant eux pieds et poings liés. Incidemment, le mandat en question ne comportait aucune mention de l’événement qualifié de « majeur » relaté sommairement par Sylvie Fradette lors de son témoignage livré le 08 mai 2009.
Cette histoire est marquée par la démesure, l’intervention des sbires de l’OIQ mêlé à une interprétation tirée par les cheveux d’une phrase reprise dans un article rédigé le 14 novembre 2007 qui se conclue par : « Quant à moi, rouge est ma clairvoyance ». Il s’agit selon toute vraisemblance de faire croire à un jury médusé que Mme Fradette avait associé ce commentaire à une possible effusion de sang alors que le courriel exhibé ne lui était même pas destiné. Le message était adressé à la direction de l’OIQ par un dénommé Gilles Courchesne que le juge, et non la couronne, a attribué à un pseudonyme utilisé par l’accusé dans ses communications avec les représentants de l’OIQ. Aucune preuve directe ou indirecte de son insinuation n’a été déposée pour corroborer cette affirmation gratuite. Dans ce contexte, le public avisé est en droit de se demander lequel du juge ou de l’accusé souffre de délire paranoïde dans cette histoire abracadabrante…
Et Mme Fradette de s’effondrer en larme dès la première question posée en interrogatoire par la couronne, elle qui avait insisté sur la prétendue agressivité de l’accusé et l’utilisation intempestive du bouton panique. Poussant le bouchon un peu plus loin, Mme Fradette a même comparé Daniel Bédard à Valéry Fabrikant. Plus tard dans son témoignage, elle a également évoqué Marc Lépine (de son vrai nom Gamil Gharbi, un nom un peu moins vendeur pour les propagandistes à l’œuvre au sein des groupes de pression), l’auteur du carnage de polytechnique survenu en décembre 1989. Le jury étant composé de 7 femmes et 4 hommes, de tels propos démesurés ne pouvaient laisser indifférent, propos par ailleurs repris par Christiane Desjardins dans la Presse. Fradette a même soulevé le cas de femmes battues par leur conjoint, situation qui n’avait de toute évidence absolument rien à voir avec le présent dossier. Or, Daniel Bédard affirme solennellement n’avoir jamais croisé cette émotive Dame Fradette de sa vie.
Le résumé des faits colligés par le S.D. Serge Messier SPVM fut déposé en preuve sous la cote P-22 non pas par la couronne mais bien par l’accusé lui-même. Curieusement, le document émanant du SPVM ne relate nulle part l’incident invoqué dans le témoignage de Fradette. Gênée, la couronne a choisi de ne pas produire ce document sans doute parce qu’elle n’avait absolument rien à en tirer au soutien de ses prétentions. Un résumé des faits préparé par un sergent détective que la couronne n’a même pas osé appeler à la barre, une première dans les annales de poursuite abusive au Québec. Considérant que le témoignage de l’enquêteur au dossier est celui que la cour évalue en tout premier lieu pour justifier le maintien en détention ou la remise en liberté sous caution d’une personne accusée, jugée dangereuse pour la société dans le présent cas. Qui plus est, le mandat d’arrestation qui fait mention d’un bris de probation dans le dossier 505-01-056133-057 en référence à l’Affaire Bourque, a été postdaté au 13 décembre 2007. En outre, il est reproché à l’accusé de ne pas avoir fait son suivi psychiatrique avec l’agent de probation (?), d’avoir refusé de prendre les médicaments prescrits et d’avoir omis de se présenter au tribunal le 10 décembre 2007 alors que Daniel Bédard était à cette date sous le strict contrôle des autorités carcérales depuis l’arrestation le 19 novembre précédent. Quant à cette comparution devant le tribunal de Joliette, le 10 décembre 2007, celle-ci n’aura jamais lieu, ni celle réitérée du 1er mai 2009 car Daniel a dû y apposer sa signature sous la contrainte. L’accusé a mentionné au constable spécial prénommé Hébert qui ne pouvait que le confirmer puisqu’il était présent lors de la deuxième journée du procès devant le jury, qu’il était en cette date au beau milieu du procès devant le juge Mongeau. Ce procès était bien évidemment prioritaire et il ne pouvait y avoir de redondance puisqu’il s’agit bien du mandat d’arrestation qui a donné suite au procès devant Mongeau.
Les contre-expertises rédigées respectivement le 14 octobre 2008 par le Dr Pierre Mailloux et le 16 février 2009 par la Dre Kim Bédard-Charest de l’Institut Pinel confirment que Daniel Bédard ne souffre d’aucune maladie mentale et qu’il est des plus aptes à comparaître. Pourquoi tout ce cirque consistant à le détenir et le « traiter » pendant 20 longs mois à Pinel pour une soi-disant inaptitude à comparaître ? L’atteinte illicite et intentionnelle à son endroit est-elle justifiée ? N’aurait-elle pas dû cesser en respect de l’article 49 de la charte ? Pourquoi alors avoir procédé à une quatrième arrestation illégale d’une redondance honteuse car elle fut exécutée dans le cadre d’un même dossier pour lequel il était déjà en procès ?
Comme si ce n’était pas suffisant, le rapport complémentaire d’événement produit par les agents du SPVM, confirme au contraire le mensonge de l’agent de probation, Mme Suzanne Miron qui, se prenant sans doute pour une psychiatre, affirme que Daniel Bédard souffre de délire paranoïde. L’agente Miron, selon la même source, aurait déposé une dénonciation pour bris de probation le 13 novembre 2007, document crucial qui n’a cependant jamais été mis en preuve. Cette dénonciation justifiait selon les témoignages entendus l’arrestation du 19 novembre 2007 suivi de 13 mois de détention illégale. Par ailleurs, le juge a refusé de faire droit à la demande de Daniel Bédard d’assigner à comparaître cette agente de probation à titre de témoin sous prétexte qu’elle n’avait aucun rapport dans le dossier. Imaginez l’incompétence et la fourberie de ce juge Mongeau qui privait ainsi l’accusé de l’élément essentiel de sa défense qui doit être pleine et entière…
De manière intentionnelle, cette dénonciation n’a donc jamais été mise en preuve par la couronne. Or, celle-ci avait l’obligation de la produire conformément aux dispositions de l’arrêt Stinchcombe de la Cour Suprême car c’est en raison de cette dénonciation que l’agent Messier avait procédé à son arrestation. Le public attentif aura sans doute compris que la couronne ne pouvait la produire sans démontrer la malversation collusoire autorisée par le procureur général du cette date, soit Me Jacques P. Dupuis, ce dernier étant en conflit d’intérêt direct remplissait ou tentait maladroitement, serait-il plus juste d’écrire, de remplir les doubles fonctions ministérielles de la sécurité publique et de la justice, un ministre de la justice qui veillait donc à ce que l’injustice perdure à l’endroit de M. Bédard au lieu de mettre un terme à tout ce cirque en respect des dispositions prévues à l’article 49 de la charte. La référence à ce fait est confirmée par son absence de réponse à la lettre expédiée par M. Éric Laporte, député ADQ de la circonscription de Repentigny où résidait l’accusé en septembre 2007, à l’attention du ministre. M. Mongeau a également refusé de faire suite à la demande de la défense de produire cette lettre dont le contenu intégral est affiché sur ce blog. Devant semblable étalage de malversation, il serait étonnant que le public puisse encore avoir la moindre confiance en un système aussi déliquescent qui n'a de justice que le nom.
Citation du jour : Le juge John H Gomery a dit un jour que « la vérité est une chose absolument puissante »
Verdict unanime du jury rendu à 10h22 en ce 17 mai 2009: Coupable
En plus de l'accusation de parjure portée à l'endroit de Mme Sylvie Fredette secrétaire/receptionniste à l'emploi du bureau de l'Ordre des Ingénieurs du Québec qui n'a jamais précisé la date de l'évènement, ayant forcé selon elle l'utilisation de son bouton de panique, une accusation très grave de méfait public et corruption de fonctionnaire et de jurés sera portée à l'endroit de M.Zaki Ghalvitian, président de l'Ordre des Ingénieurs du Québec.
Vous aurez compris que le verdict du jury sera porté en appel devant le plus haut tribunal du Québec sur des questions de droit.
Représentation sur sentence mardi prochain. La couronne espère obtenir une peine exemplaire qui dans la réalité, est déjà purgée
Erreur fatale de droit du Juge Richard Mongeau, JCS
Dans son document du droit applicable remis au jury et aux parties le 15 mai 2009, le juge Mongeau a fait une erreur de droit absolument inexcusable en tentant d'aiguiller le jury vers un verdict. Cette erreur fait en sorte qu'advenant un verdict de culpabilité du jury, il sera possible d’en appeler immédiatement sur ce point de droit.
En effet, aux alinéas 10 et 15 de son document du droit applicable, le juge Mongeau a fait à 2 reprises une appréciation de la preuve en qualifiant celle-ci de « claire ». Or, qualifier ainsi la preuve équivaut à orienter le jury. L'appréciation de la preuve est une question de fait et seul le jury est maître des faits. Ainsi, le juge Mongeau qui préside un procès devant juge & jury est maître des questions de droit. En produisant le document intitulé « Droit Applicable », le juge Mongeau n'avait aucune raison de s’aventurer vers le domaine des questions de fait. Par conséquent il a commis une grave erreur en droit qui devra, le cas échéant, être rectifiée par le plus haut tribunal de la province.
Alinéa (10)*
Je ne crois pas que vous aurez de la difficulté quand à la période de temps et le lieu des événements reprochés. La preuve est claire.
Comment le juge Mongeau peut-il déroger aussi ouvertement à son devoir de réserve ? L'évènement « majeur » qui a provoqué la panique chez les employés présents se situe à l'été 2007 selon le témoignage de Mme Sylvie Fredette. Paradoxalement, dans sa déclaration de témoin, Mme Fredette écrit que ce gros vacarme a eu lieu au printemps 2007, soit en dehors de la période couverte par l'acte d'accusation qui situe le tout entre le 1er août 2007 et le 14 novembre 2007. De plus, cet évènement qui a engendré l'utilisation du bouton de panique tel que mentionné par Mme Fredette dans son témoignage, est absent du précis des faits. Par conséquent, le précis des faits rédigé par le sergent détective Serge Messier de la SPVM est un faux. Ce qui infère que ce dernier a également été soudoyé contrairement au "non" qu'il m'a répondu à la question que je lui ai posé lors de mon interrogatoire à son endroit. Alors surpris par ma question il a immédiatement regardé en direction du juge Mongeau espérant sans doute une objection..
Contrairement à ce que soutient le juge Mongeau, la preuve n'est pas si claire.
Alinéa (15)*
Souvenez-vous de l'utilisation du pseudonyme de Gilles Courchesne. La preuve est claire et non contredite qu'il s'agit que nul autre que l'accusé. Interrogez-vous sur ses intentions en utilisant un pseudonyme
La preuve à l’effet que Gilles Courchesne et Daniel Bédard n’étaient en réalité qu’une seule et même personne n'a jamais été faite hors de tout doute raisonnable par la couronne. Encore une fois, la preuve n'est pas aussi claire qui l’affirme le juge Mongeau
Alinéa (18)*
Il s'agit de mon court résumé sur cette question
Je vous souligne que vous n'êtes pas obligé de l'adopter
C'est vous tous les juges des faits
Non seulement le juge Mongeau n'avait pas à suggérer au jury d'adopter son résumé des faits, mais il en avait même l'obligation légale de s’en abstenir.
N’oublions jamais : le juge est maître des questions de droit alors que les questions de fait relèvent de l'appréciation exclusive du jury.
Question au juge Mongeau JCS
Alors que le jury se pose une question sur une date oubliée sur un acte d'accusation; ce qui constitue, au fait, un manquement mineur. En retour il n'en pose aucune sur une date jamais précisée au rapport de la SPVM ni dans aucun témoignage d'un évènement « majeur », qui aurait semble-t-il justifié l’arrestation du 19 novembre 2007 et la détention arbitraire de plus de 13 mois qui suivi ???
Voilà une dérogation majeure à l'éthique judiciaire non interceptée par le juge Mongeau qui est censé de présider un procès juste et équitable et en avoir le plein contrôle.
Me prenez vous à mon tour pour une valise Monsieur le juge Mongeau, en me laissant croire par votre questionnement au jury : soit vous signifier qu'il vous avertisse immédiatement le cas échéant afin que vous prononciez un avortement de procès, soit ne pas comprendre en retour que ce jury est effectivement un jury "acheté", au même titre que vous-même, soudoyé par l'Ordre des Ingénieurs du Québec.
La malhonnêteté intellectuelle de la journaliste Christiane Desjardins en mission au service de l’empire Gesca, intimement lié aux intérêts corporatifs des ordres professionnels, atteint ici de nouveaux sommets. Dans cette article produit à la va-vite sur l’heure du midi au terme d’un autre avant-midi de désordre procédural occasionné par l’attitude partiale et irrévérencieuse du juge Richard Mongeau, Desjardins accuse dans son titre Daniel Bédard de harceler le juge fripon… Patrick Lagacé, au service du même empire, n'est pas en reste. Stéphane Tremblay pour le compte de l'empire Québécor fait écho à la nouvelle sur le ton complaisant d'un scab... Daniel Bédard de nouveau expulsé de son propre procès
Un élément semble acquis. Desjardins est en mission pour redorer le blason du petit juge sans jugeote, membre influent de la famille des libéraux compromis jusqu’à la lie dans le scandale des commandites à qui il est redevable pour sa nomination partisane en remerciement des ses bons et loyaux services. C'est du moins ce que Benoît Corbeil avait raconté à l'époque de son témoignage devant la commission Gomery. Ce juge, nommé à la Cour supérieure en 2000, a été responsable des affaires juridiques et constitutionnelles à la direction du Parti libéral du Canada. Il a été membre du Club Laurier, une association exclusive regroupant des personnes qui contribuent plus de 1000 $ par année à la caisse du PLC. En 1997 et 1998, il a été payé 160 000 $ pour assumer le poste de conseiller juridique du Bureau d'information du Canada, organisme fédéral chargé de faire la promotion de «l'unité nationale» sous l’autorité du mafieux Gagliano.
Mongeau fut appelé à siéger en raison de ses étroites relations avec la bande de politiciens corrompus qui ont acquis leur poste de noblesse en raison du laxisme existant au sein de l’appareil gouvernemental dans la foulée du désormais célèbre « scandale des commandites ». Comment s'imaginer qu’une semblable figure, issue d’une culture de corruption qui a scandalisé la nation entière, puisse rendre une décision le moindrement impartiale dans un dossier qui implique les ordres professionnels, dont l’OIQ, alors que sa patronne, la ministre de la justice Kathleen Weil, également responsable des ordres professionnels, partage son quotidien avec un des administrateurs de SNC-Lavalin ?
Dans la mesure du possible, les juges favorisent les procès publics afin que les citoyens puissent constater par eux-mêmes que la justice est administrée correctement. Il est donc très rare qu’un procès criminel se déroule à huis clos.
Que prévoit le code criminel en semblable matière ? L’article 486 (1) du code criminel traite des procédures à huis clos.
Les procédures dirigées contre l'accusé ont lieu en audience publique, mais si le juge ou le juge de paix qui préside est d'avis qu'il est dans l'intérêt de la moralité publique, du maintien de l'ordre ou de la bonne administration de la justice d'exclure de la salle d'audience l'ensemble ou l'un quelconque des membres du public, pour tout ou partie de l'audience, ou que cela est nécessaire pour éviter toute atteinte aux relations internationales ou à la défense ou à la sécurité nationales, il peut en ordonner ainsi.
Dans le présent procès présidé part le juge Richard Mongeau de la cour supérieure du Québec, il faut se demander quels sont les motifs du juge pour décréter le huis clos. Pourquoi ce culte du secret ? Aurait-il honte de déshonorer sa profession en public ?
Dans les annales judiciaires du Québec, il faut reculer à 1971 pour retrouver semblable procédure d’exception dans le procès des cinq accusés de « conspiration séditieuse » dans la foulée de la Crise d’octobre.
Extrait : Michel Chartrand
« Non, c’est pas un procès normal. Quand le public n’est pas là, c’est pas un procès normal. [...] Le public a le droit d’être là, c’est fondamental. C’est dans la loi britannique ».
Sommes-nous de retour à la période sombre des mesures de guerre ?
Lors du procès de Nuremberg, cette procédure exceptionnelle suggérée par les Britanniques et les Français n’avait pas été retenue.
Rappelons que Daniel Bédard est accusé de harcèlement à l’encontre de Zaki Ghavitian, président de l’ordre des Ingénieurs du Québec. Il a droit à un procès public, une défense pleine et entière et doit bénéficier de la présomption d'innocence. Le juge Mongeau décrète le huis clos quand bon lui semble, refuse que Daniel fasse venir ses témoins, dont le principal intéressé, le plaignant Ghalvitian et est incarcéré depuis le 17 novembre 2007, sauf pour une période d'environ 4 mois, après avoir été arrêté sans mandat à son domicile.
Décidément, dans le Québec contemporain, la justice telle que pratiquée par des juges prévaricateurs de la trempe de Mongeau a de quoi faire frémir …
Depuis que le PM Charest a décidé de modifier, pour une troisième fois en 6 ans, ses directives en matière de règles d’éthique et de conflits d’intérêt et demandé subséquemment aux membres du conseil exécutif de son gouvernement de produire leurs déclarations d’intérêt, le public dégouté par la quantité de scandale qui émaillent l’actualité depuis quelques semaines est informé que l’actuelle ministre de la justice, Mme Kathleen Weil partage sa vie avec Michael Novak, le Vice-président directeur et membre du bureau du Président de SNC-Lavalin et Président et chef de la direction de SNC Technologies inc., une filiale du Groupe SNC-Lavalin.
Dans le dossier de Daniel Bédard, dont les rebondissements ne cessent de nous étonner, nous y voyons la source d’au moins deux conflits d’intérêt majeurs. On se souviendra que la Commission Johnson avait essuyé de sévères critiques de la part de Daniel Bédard en ses qualités de technologue professionnel dans le secteur du bâtiment, spécialisé en structure et œuvrant dans le domaine en pratique privée depuis 25 ans. Si ces critiques s’avéraient fondées, il y a fort à parier que la crédibilité et la sollicitation des firmes d’ingénieurs du Québec, parmi lesquelles SNC-Lavalin fait figure de leaders sur la scène internationale, en souffrirait grandement. Or, M. Armand Couture qui siégeait parmi les commissaires de la commission Johnson, fut actionnaire et a occupé différents postes à la haute direction de Lavalin, puis SNC-Lavalin de 1967 à 1991.
Rappelons que le plaignant dans le procès actuellement en cour et qui reprendra le 11 mai en salle 3.11 du palais de justice de Montréal devant le juge Richard Mongeau, est nul autre que Zaki Ghavitian, président de l’Ordre des Ingénieurs du Québec (OIQ). Y aurait-il des pressions indues exercées par l’OIQ sur les épaules du juge Mongeau pour réduire au silence un dissident un peu top bavard, quitte à le faire passer pour un dérangé mental et l’expédier ad vitam æternam à l’Institut Philippe-Pinel ? C’est le genre de justice que de triste mémoire Staline a perfectionné durant sa féroce dictature. Est-ce que nous en sommes rendus à ce niveau de barbarie dans le Québec contemporain ?
De plus, M. Novak siège à titre de Vice-président du Comité directeur de la Fondation du Douglas et est membre de son Comité exécutif. La fondation est rattachée à l’institut universitaire Douglas, un hôpital spécialisé en santé mentale. Or, Daniel Bédard a été l’objet de diagnostic frauduleux d’inaptitude à comparaître par une kyrielle de psychiatres en service commandé par le ministère public et n’eusse été de l’intervention musclée du Doc Pierre Mailloux, il y a fort a parier que Daniel Bédard était destiné à finir ses jours dans une aile perdue de Pinel. Fou comme un psychiatre nous confirme que les psychiatres prennent parfois de bien grandes libertés avec la vérité.
Selon les dernières informations disponibles, Daniel Bédard est actuellement maintenu en isolement strict dans le camp de concentration Rivière-des-Prairies au nord-est de Montréal. Il semble que l’attention générée par cette affaire de justice collusoire en dérange plusieurs parmi la coterie qui s’anime autour de la basse-cour et que l’ordre de le maintenir ainsi en réclusion quasi permanente, ne lui laissant qu’une vingtaine de minutes de communication téléphonique par jour, provienne de ces mêmes instances.
Quoiqu’il en soit, le message est maintenant passé et le public intéressé est convié à la salle 3.11 du palais de justice de Montréal pour être témoin d’un simulacre de procès, une véritable honte dans les annales judiciaires de cette province, sinon de ce pays qui prétend être un modèle de probité au niveau de ses institutions. Ce dossier de prévarication judiciaire nous incite de penser que la réalité véhiculée par les médias de masse peut parfois s’avérer fort trompeuse.
Ceux qui sont familiers avec la saga judiciaire imposée à Daniel Bédard apprendront avec intérêt que le ministère public a décidé de poursuivre son acharnement en procédant mercredi dernier à son arrestation pour avoir soi-disant préféré des menaces à l’encontre de Jacques Rouillier, le procureur de la couronne au dossier. Évidemment, cette accusation ne repose que sur la seule parole de ce dernier. Le but de la manœuvre semble être de ternir l’image de Daniel auprès du jury car la « preuve » dont dispose le poursuivant est si mince que Rouillier a dans un premier temps tenté de convaincre le tribunal, sans rire, que le plaignant, Zaki Ghavitian, président de l’ordre des ingénieurs du Québec, l’avait détruite pour ensuite se raviser et la sortir parcimonieusement au compte goute. Rien dans ce qui a été révélé à ce jour ne permet de croire à un quelconque harcèlement à son endroit.
Rappelons que cette arrestation a eu lieu après la sélection du jury qui, contrairement aux normes en vigueur en semblable matière, s’est déroulée à huis clos et sans que les candidats n’aient eu à décliner leur identité ou leur occupation. Pour la transparence, il faudra sans doute aller voir ailleurs. Reste que les nouvelles accusations n’ont d’autre objectif que d’épicer un peu le dossier du poursuivant qui est, faut bien l'avouer, fort mince. C’est le juge Richard Mongeau qui est investi du pouvoir de trancher dans cette affaire. Rappelons que ce dernier a accédé au banc en raison de ses acquointances avec les libéraux corrompus dans la foulée du scandale des commandites comme nous le rappelait Benoît Corbeil lors de son témoignage devant la commission Gomery en retour d’ascenseur pour ses bons et loyaux services à titre de conseiller juridique au bureau d’information du Canada (BIC), un organisme fédéral de propagande sous l’autorité du tristement célèbre Gagliano destiné à faire la promotion du Canada au Québec… L’organisme en question a depuis été complètement effacé de la grande toile tellement ses pratiques contrevenaient au sens commun. C’est le même juge Mongeau qui avait acquitté Daniel en décembre 2005 après que l’accusé lui avait servi une leçon de droit en lui rappelant les dispositions de l’arrêt Stinchcombe devant le jury. Serait-il en mission pour prendre sa revanche? Disons que la manière fort peu orthodoxe d’instruire cette affaire nous laisse songeur quant à la suite des procédures
Photo prise par un ami le 23 septembre 2008 au Barreau du Québec pendant ma détention arbitraire à Pinel au moment où j'étais invité par le Conseil de discipline du Barreau à l'audition de l'appel du rôle provisoire sur ma plainte privée adressée à l'égard de Me Norman Sabourin du Conseil canadien de la Magistrature. Voir http://prevarication101.blogspot.com (Lettre ouverte au Conseil de discipline du Barreau) pour connaître ce qu'il en a résulté
Des cabinets du ministre de la justice et de la sécurité publique fantômes ?
Me François Coté, attaché politique du ministre Dupuis, vient de me confirmer ce matin en ce 17 octobre 2007 que son cabinet de la sécurité publique au même titre que celui de la justice est bel et bien un cabinet-fantôme.
En effet, et après 4 ans de non-réponse à un dossier-citoyen devenu par l'absurdité de la chose une bombe politique et après avoir eu toute les difficultés au monde à parler à quelqu'un du cabinet, M. Coté me demande de répondre à sa question: À savoir si mon dossier est encore ou non devant les tribunaux. M. Coté a alors enchaîné immédiatement qu'à défaut de réponse de ma part, il raccrochera la ligne immédiatement.
Or devant une question aussi inconséquence, mon réflexe fut de lui mentionner qu'il fera maintenant lui-même partie des 17 avocats susceptibles de répondre de leur comportement ou défaut de compétences devant le comité de discipline du Barreau du Québec.
Puisqu'en tant qu'attaché politique de M. Dupuis, M. Coté ne peut certainement ne pas savoir que Monsieur Dupuis lui-même en sa qualité de procureur général et ministre de la justice a autorisé une injonction permanente entérinée par la Cour supérieure allant à l'encontre de l'esprit de l'article 52 de la Charte et m'empêchant carrément d'exercer tout recours en justice.
Ainsi M. Coté me demandait dictatorialement de répondre à une question dont il connaissait déjà la réponse. Mon appréhension est confirmée du fait que M. Coté n'a jamais attendu ma réponse à sa question avant de mettre fin lui-même à la conversation.
Ainsi, M. Coté clos la conversation en m'ordonnant de ne plus jamais rappeler dérogeant ainsi à son tour à l'article 44 de la Charte (mon droit d'être informé dans la mesure prévue par la loi) et à l'article 49 de la Charte (mon droit à ce que cesse cette mesquinerie à mon endroit; donc cette atteinte illicite intentionnelle qui perdure depuis 4 ans). M. Coté compense, donc ainsi, faut-il croire, mes droits garantis à la Charte.
Par conséquent, M. Coté, ne me laisse guère le choix, afin d'assurer la protection du Public, qu'une enquête par le syndic du Barreau soit également initiée à son endroit. Compte-tenu aussi qu'un rafraichissement de ses connaissances du droit commun m'apparait imminent. __________________________
Le réceptionniste du cabinet du ministre de la justice à Québec, Monsieur René Fournier me répond depuis des lunes qu'il n'y a personne et quand il y a quelqu'un celui-ci est occupé au téléphone.
Quel manque de respect lorsqu'on sait maintenant précisément que ce sont directement ces gens du ministère de la justice qui sont impliqués dans ce geste d'incurie collusoire.
L'attaché politique responsable du dossier au niveau du cabinet du ministre est Me Maxime Dion. Ce dernier, en 3 mois de supposés étude et analyse du dossier n'a même encore fait l'effort de m'appeler, d'accuser réception de mes lettres et correspondances ou de m'écrire un courriel. Déresponsabilisation ministérielle gênante à l'image finalement du ministre Jacques P. Dupuis.
Cela fait 4 ans que le dossier stagne. Ensuite ces gens se demandent pourquoi on lève le ton et qu'on perd patience. Faudrait peut-être qu'ils se montrent davantage empathique envers les justiciables floués, écroués et appauvris inutilement à cause de leur laxisme à outrance.
Rappelons que Me Maxime Dion n'a, au même titre que les autres, qu'à comparer les enregistrements mécaniques de cours du procès pour convenir du geste d'incurie grave de la juge Sophie Bourque, j.c.s.
3 minutes de son temps donc pour en venir à ce constat. Alors que fait-il ? A-t-il reçu des directives de son patron de tabletter le dossier ? Faut croire car Dupuis et Charest sont directement impliqués dans le geste d'incurie. Cette stagnation volontaire le confirme donc.
Quand je pense qu'à l'origine, j'ai été le seul à voir à la Protection du public...c'est frustant croyez-moi !
Ce que vous découvrirez par vous-même dans ce blog
. La mauvaise foi du syndic Chenel Lauzier de l'O.T.P.Q.
. La mauvaise foi du syndic Louis Tremblay de l'O.I.Q.
. copie conforme de l'avis du comité de révision de l'O.I.Q renversant la décision du syndic Tremblay et donnant raison à Daniel Bédard.
. La mauvaise foi du syndic ad hoc Richard Nault de l'O.I.Q qui décide de ne pas porter la plainte disciplinaire auprès du comité de discipline plus d'un an après en avoir pourtant eu le mandat du comité de révision.
. Les 21 faussetés du journaliste Rodolphe Morissette du Journal de Montréal dans un article sur Daniel Bédard daté du 8 décembre 2005 soit pourtant le lendemain de son acquittement par jury de la veille.
. Les dessous encore inexpliqués de la Commission Johnson et la vraie théorie de l'effondrement du Viaduc de la Concorde non encore réfutée par quelque ingénieur que ce soit.
. La duplicité du procureur général et ministre de la justice, Monsieur Jacques P. Dupuis. Lequel porte préjudice grave à Daniel Bédard en refusant de répondre à ses demandes plus que légitimes. Poursuivant ainsi l'atteinte illicite à son endroit et lui bafouant ainsi ses droits garantis aux articles 44 et 49 de la Charte.
. L'intervention personnelle inadéquate démontrée du Premier ministre lui-même, M. Jean Charest dans les deux dossiers: soit le dossier de l'écroulement du Viaduc de La Concorde qui a conduit à la commission Johnson et le dossier de Daniel Bédard. Lequel par l'absurdité de la chose est devenu un dossier hautement politique.
.Le geste d'incurie grave de la juge Sophie Bourque, j.c.s laquelle renverse le verdict du jury alors que ce dernier est seul maître des faits. (voir extraits sonores très révélateurs)
.Le geste d'incurie grave de la juge Suzanne Coupal, j.c.q. laquelle n'applique pas le principe de justice fondamentale de la chose jugée alors que tel principe ne pouvait trouver meilleure application dans ce cas bien précis.(voir extrait sonore très révélateur)
.Le geste d'incurie grave de la juge Pierrette Rayle, J.C.A laquelle a rendu sa décision avant même d'entendre Daniel Bédard bafouant ainsi ses droits garantis aux articles 23 et 35 de la Charte (le document compromettant est laissé à votre seule analyse à la rubrique ''Affaire Rayle'').
.Par déduction, le geste d'incurie grave du juge Jean-Pierre Bonin, j.c.q lequel décide de poursuivre le procès de Daniel Bédard en étant informé que la preuve hors de tout douteraisonnable de la Couronne avait été détruite. Et de le déclarer coupable malgré tout cela. (voir jugement et le comparer avec votre propre analyse de l'endos comportant la décision postdatée de la juge Rayle).
. Et autres que je vous laisse, chers internautes, découvrir par vous-même afin de porter votre propre jugement final.
Et tout cela, croyez-le ou non afin de protéger un menteur du nom de Pierre Sicotte; un ingénieur aux cheveux blancs dans la mi-cinquantaine qui décide de ne pas déposer la preuve de ses accusations dès l'enquête-syndic en septembre 2003. Geste qui pourtant aurait, au contraire inculpé Pierre Sicotte d'entrave à la justice et fabrication de preuve.
Et tous l'ont laissé faire et même supporter en ce sens...
Ses mensonges entraînant son client Daniel Bédard dans un dédale incroyable de procédures, plus de 80 comparutions en cours en étant arbitrairement détenu pendant tout ce temps, 18 mois de détention vexatoire, abusive et illégale, et enfin 4 procès dont 2 avec juge et jury.
Et qui plus est, toute cette euphorie judiciaire sans nom est estimée au bas mot à au delà de 2 millions de dépenses inutiles à l'État et pour les contribuables. Imaginez si on multiplie maintenant ce chiffre par autre cas similaires. Lesquels, littéralement, gaspillent par surcroît des vies ou écorchent sérieusement des dignités, des honneurs et des réputations.
Et on se demande pourquoi ensuite les taxes augmentent et notre qualité de vie diminue. Un réveil s'impose donc. Ne croyez-vous pas ?
Elle va toujours bien notre justice, vous pensez ? Fermez les yeux et faites semblant que vous n'êtes pas touchés...
Incroyable mais vrai ! Mais jugez plutôt par vous-même.
Imaginez chers internautes ! Tout ce cirque aurait pu être éviter si:
Fable de LaChenelle:
Un certain Chenel Lauzier, pseudo-syndic de l'Ordre des technologues professionnels du Québec, au lieu d'accepter quelques centaines ou milliers de dollars de l'intimé (il n'y a pas d'autres raisons que celle-là pour expliquer telle idiotie) avait tout simplement exécuté sa charge de bonne foi en sommant l'ingénieur Pierre Sicotte de Longueuil de déposer les copies de ses rapports téléphoniques de mai et juin 2003.
Sauf que monsieur l'ingénieur rétorqua ne plus les avoir en main. Il accuse mais n'a pas les preuves de ses accusations. Regarde donc cela. Pauvre de lui !
Notre brillant ingénieur aux cheveux blancs dans la mi-cinquantaine s'étant prélassé tout ce temps se trouva fort dépourvu quand justice fut venue.
La juge Bourque prena alors la relève d'assaut afin de protéger notre valeureux menteur soutenu ainsi dans sa grande sagesse par son tout aussi sage O.I.Q. Celle-ci rétorqua en réponse lors de la conférence préparatoire au procès:
''Il ne les plus qu'il dit. Prenez-là en note parce que c'est sa réponse ? ?" Au lieu de tout simplement mettre fin au cirque et annuler ipsofacto le procès projeté. Imposant ainsi aux contribuables des frais inutile de l'ordre de $165,000. Ce montant est celui que j'exige maintenant de M. Dupuis et du gouvernement Charest afin de compenser en premier lieu mes pertes de revenu que tout ce cirque dérisoire et absurde a entrainées depuis les 4 dernières années. Un minimum de décence que M. Dupuis n'est même en mesure de respect, semble-t-il. Peut-être faudrait-il lui couper son propre salaire pour l'aider à comprendre en partie ce que j'ai vécu.
La juge Bourque aurait dû au contraire dire à sa procureure complaisante Louise Leduc ceci:
''C'est moi qui est seule juge des questions de droit. Monsieur Bédard a droit à la complète divulgation de la preuve en respect de l'arrêt Stinchcombe de la Cour suprême. Et Madame Leduc, je ne vous invente rien en vous disant que vous devez fournir à Monsieur Bédard tout élément de preuves pouvant assurer sa défense pleine et entière en respect de l'article 35 de la Charte des droits et libertés de la personne. Notre bible de référence à nous les juges''
Mais la juge Bourque n'a pas dit cela...elle s'est gardé des réserves faut-il croire ? ! (voir extrait sonore 3 sur ce blog )
Par surcroît, toute copie de rapport téléphonique peut être obtenue de Bell Canada jusqu'à 6 ans en arrière. L'ingénieur Sicotte dispose donc encore d'un délai 2 ans pour en faire la demande. Va-t-il finalement le faire et la déposer sa preuve ?
Voilà comment est menée notre justice !
Et croyez-le ou non Madame Bourque a enseigné le droit à l'Ecole du Barreau pendant 12 ans.
Gênant vous dites ?
Vous avez certainement raison !
Les 7 questions demandant réponses urgentes du Ministre Jacques P. Dupuis
Voir sur la partie gauche du blog, les 7 questions demandant réponses urgentes.
Le Conseil de Presse interpellé dans le règlement de l'affaire
Un premier règlement à l'amiable, c'est à dire sans avoir recours à la voie des tribunaux, a été proposé au procureur du Journal de Montréal, à l'égard du geste d'incurie grave commis par son journaliste Rodolphe Morissette dans un article du 8 décembre 2005 me concernant dont vous trouverez les détails plus bas dans cette colonne du blog.
Ce montant compensatoire est en réparation exemplaire tel que le permet l'application de l'article 49 de la Charte des droits et libertés de la personne. Soit en réparation d'un préjudice sévère émanant d'une atteinte illicite volontaire lequel a été fixé à $525,000 soit $25,000 par violation du code d'éthique journalistique. 21 erreurs volontaires ont été insérées à l'intérieur d'un article de 10 petits paragraphes. Et ce, afin de me porter préjudice dans la poursuite abusive de la Couronne et compromettant directement la sauvegarde de mon honneur, ma réputation et ma dignité. Droit pourtant garanti à l'article 4 de la Charte.
Rappelons que le Journal de Montréal n'a pas été capable de réfuter quoi que ce soit de mon argumentation expliquant les erreurs volontaires insérées dans l'article afin de me nuire dans la poursuite allongée et abusive suivant mon acquittement par jury du 7 décembre 2005. Voir mon argumentation écrite dans cette colonne plus bas à l'intérieur du blog.
Je suis donc entièrement transparent, afin que vous, chers internautes, et non moi, puissiez porter votre propre jugement final. Je ne fais donc aucune diffamation puisque les faits sont démontrés hors de tout doute raisonnable.
Le Conseil de Presse est actuellement en analyse de ma demande et pourrait servir de médiateur s'il désire jouer un rôle quelconque étant donné qu'il prétend contrairement aux dernières recommandations mêmes du Conseil international de Presse ne pas imposer de mesures coercitives à ses journalistes trouvés fautifs mais seulement leur servir de tribunal d'honneur.
J'essaie de trouver l'honneur dans le geste posé par le journaliste Rodolphe Morissette mais j'avoue avoir énormément de difficulté à comprendre comment ce dernier ait pu s'abaisser au point de rendre un tel article.
A suivre...
Plainte officielle adressée au Barreau
Une plainte officielle a été adressée au Barreau du Québec à l'endroit de son bâtonnier Me J. Michel Doyon. Imaginez l'incongruité et l'absurdité de la chose. Lequel a fait défaut de répondre à ma demande plus que légitime d'utiliser son pouvoir discrétionnaire à l'endroit du comportement de Me Norman Sabourin du Conseil Canadien de la Magistrature. Je remets en question la décision de ce dernier de rejeter pour aucune raison valable ou motivée ma demande d'enquête à l'endroit du comportement de la juge Sophie Bourque lors de mon procès qui s'est déroulé en juin 2006.
L'enquête du syndic-adjoint Despatis n'est encore là pas difficile à faire. Un simple examen comparé des enregistrements mécaniques de cours suffira afin d'établir son rapport d'enquête.
Possibilité de 19 Plaintes au Barreau: Avant que tout cela ne devienne trop gros ! ?
Demeurant toujours poli et respectueux malgré la portée de l'atteinte illicite absolument incroyable à mon endroit, au-delà de 18 avocats, criminologue ou procureurs pourraient être cités devant le comité de discipline du Barreau dans ces affaires. Le Bureau du syndic du Barreau se sentant vraisemblablement coincé me raccroche la ligne au nez à chaque fois que je tente de rejoindre soit Madame Massicotte ou Me Despatis, syndic-adjoint. Puisque manifestement et avec autant de demandes enquêtes saugrenues du fait qu'elles émanent à la base d'un simple petit litige entre 2 professionnels, le traitement d'autant de plaintes devient pour le moins gênant pour l'image du Barreau et de la profession d'avocat. Litige qui a donné lieu à des plaintes en croisées. Plaintes qui ont fait travailler autres syndics et procureurs. Lesquels se sont amusés à grossir inutilement l'affaire afin de faire le plus de sous possible. Du moins, je ne peux autrement en inférer ainsi. Car comment un simple petit litige entre 2 professionnels peut s'étendre sur 4 ans et n'être même réglé convenablement au bout du terme. Le Barreau est donc contris entre voir à ses obligations que lui confère le code des professions à l'article 23 (soit assurer la protection du Public par le contrôle de l'exercice de la profession par ses membres) et voir aux intérêts et à la sauvegarde de son image pour le moins compromise sévèrement. Puissiez-vous facilement en convenir avec moi. On est pas sorti du bois ni de la grisaille !
Pourquoi n'ai-je pas choisi dans le temps d'être irresponsable ? De cette manière j'aurais pu m'épargner tous ces maux !
Faut croire qu'on a un Bâtonnier du Barreau du Québec du nom de Michel J. Doyon en robe, car ce dernier n'est même capable de retourner ces appels ou de répondre lui-même de ses propres dérogations au code des professions. C'est sa secrétaire, Madame Nathalie Roy qui remplit la charge à sa place. Imaginez la grandeur du respect de la profession d'avocat. Complètement sur le déclin. Bientôt on parlera de cette profession au passé car personne ne fera plus confiance à un avocat. Et je trouve cela bien malheureux d'en faire le constat.
Il faut comprendre que des Bâtonniers sont impliqués dans des gestes d'incuries graves:
Me Jean-Claude Dubé- fraude et malversations diverses visant à entraver le cours normal de la justice et me faire condamner inutilement au criminel alors que c'était au départ un processus disciplinaire en croisée lancé en bravade par l'ingénieur Sicotte afin de tenter de se disculper de nombreuses fautes déontologiques.Donc de renverser le processus contre son propre client. Agissant à titre de procureur pour le Bureau de l'O.T.P.Q et le syndic-adjoint Dumas (se positionnant d'avance ainsi en conflit d'intérêts direct- dér. art. 121C.P). Usurpation des pouvoirs normalement consentis à un syndic ou à un syndic adjoint en vertu de 122C.P. Pratique du droit disciplinaire basée sur des connaissances insuffisantes du code des professions ou non suffisamment assimilées pour pouvoir adéquatement servir les intérêts d'un syndic ou un syndic-adjoint d'un ordre professionnel.
Me Jean-Jacques Gagnon - avoir exercer de l'abus de pouvoir et avoir fait preuve de mauvaise foi dans l'exécution de sa charge de président du comité de discipline de l'O.T.P.Q. Complicité avec Me Jean-Claude Dubé afin de camoufler sa fraude et la dérogation à l'article 35 de la Charte à mon préjudice plus que sévère. Entrave au cours normal de la justice.
Me Jean-Guy Légaré - avoir exercer de l'abus de pouvoir et avoir fait preuve de mauvaise foi dans l'exécution de sa charge de président-suppléant de l'O.I.Q. Entrave au cours normal de la justice. Dérogations volontaires et nombreuses au code des professions.
Me Nicole Bouchard - avoir exercer de mauvaise foi sa charge de secrétaire du comité de discipline de l'O.T.P.Q. S'être parjuré de façon plus qu'évidente en cours dans le but de maintenir le préjudice sévère et l'atteinte illicite à mon endroit. Complicité d'entrave au cours normal de la justice de concert avec Me Dubé et Me Gagnon. Procédures illégales. Usurpation de pouvoirs.
Me Claude G. Leduc - Abus de pouvoir, plusieurs dérogations sévères au code des professions, entrave au cours normal de la justice- agissant à titre de procureur de l'O.I.Q et du syndic ad hoc Nault. Trafic d'influences à l'endroit des juges, procureurs de la Couronne et autres afin d'entraver le cours normal de la justice.
Me Steeve Larivière - procureure de la Couronne - incompétence crasse voire amateurisme gênant, poursuites abusives, indécentes et redondantes, procédures illicites, dérogations nombreuses au code criminel et à la Charte des droits, absence totale d'intégrité dans le cadre de l'accomplissement de ses fonctions. Un procureur qui ne pourrait même pratiquer la profession d'avocat à l'extérieur du Ministère Public tout simplement parce qu'il n'en saisit pas le rôle.
Me Louise Leduc - procureure de la Couronne - incompétence crasse, poursuite abusive sans nom, dérogations à plusieurs articles du code criminel et de la Charte des droits et libertés, procédures illégales, entrave sévère au cours normal de la justice.
Me Josée Grandchamp - complicité à la commission d'acte d'incurie grave, entrave sévère au cours normal de la justice.
Me Norman Sabourin du conseil Canadien de la Magistrature Incompétence crasse et absence totale d'intégrité. Refus d'exécuter ses fonctions normales. Dérogation à l'art. 49 de la Charte visant à prolonger l'atteinte illicite intentionnelle à mon endroit. (demande d'intervention directe de Me J. Michel Doyon)
Me Élise Pinsonneault de l'aide juridique de Longueuil - Duplicité et complicité d'entrave au cours normal de la justice. Avoir feint de travailler dans les intérêts de son client alors qu'elle travaillait plutôt dans les intérêts de la Couronne et du Ministère Public.
Me Gaëtan Bourassa de l'aide juridique de Montréal - Duplicité et complicité d'entrave au cours normal de la justice Avoir feint de travailler dans les intérêts de son client alors qu'il travaillait plutôt dans les intérêts de la Couronne et du Ministère Public.
Me Maxime Dion du cabinet du ministre de la justice - inhibition et stagnation volontaire du dossier, dérogations gênantes aux articles 44 et 49 de la Charte - refus d'informer, prolongation inutile de l'atteinte illicite intentionnelle alors que j'ai droit à la cessation de cette atteinte en respect de l'article 49 de la Charte.
Me Lyneviève Bouclin du cabinet du ministre de la justice - inhibition et stagnation volontaire du dossier, dérogations gênantes aux articles 44 et 49 de la Charte - refus d'informer, prolongation inutile de l'atteinte illicite intentionelle alors que j'ai droit à la cessation de cette atteinte en respect de l'article 49 de la Charte
Me François Coté du cabinet du ministre de la sécurité publique. Irrespect démontré dans le cadre de ses fonctions. Défaut d'informer adéquatement. Dérogations gênantes aux articles 44 et 49 de la Charte. Prolongation inutile de l'atteinte illicite intentionnelle alors que j'ai droit à la cessation de cette atteinte en respect de l'article 49 de la Charte.
Me Valérie Beaudoin-Tremblay - dérogation à la loi sur leBarreau en ayant pratiqué en cour seule à titre de stagiaire et procureure de l'O.T.P.Q sans la présence à ses cotés de son mentor. Avoir inciter une greffière à modifier en défaveur à l'égard du plaignant le titre de sa requête en mention produite au procès-verbal de façon à laisser croire à une faute mineure ou non-avenue en faveur de la partie défenderesse ainsi représentée par elle-même. Beau début de carrière pour Mlle Tremblay !
Me Reginald Gagnon - avoir inciter une stagiaire sous son autorité et en complicité avec la greffière à la falsification du procès-verbal de l'audience et l'avoir placer dans une situation anormale de dérogation à la loi sur le Barreau. Pratique douteuse du droit disciplinaire basée sur des connaissances insuffisantes du code des professions ou non suffisamment assimilées pour pouvoir servir adéquatement les intérêts d'un Bureau d'un ordre professionnel ou de ses syndic et syndic-adjoint. Interprétation frauduleuse des articles du code et trafic d'influence à l'égard d'une juge du Tribunal des professions.
Me Jacques P. Dupuis - ministre de la justice et de la sécurité publique (voir description des fautes reprochées sur la colonne de gauche). Le ministre, de par sa fonction, étant non-inscrit à la liste des membres du Barreau, la plainte pourrait être desservie par ses deux attachés politiques, Me Bouclin et Me Dion.
Me Jean Charest - Premier ministre du Québec et chef du parti libéral du Québec (voir description des fautes reprochées sur la colonne de gauche). Le Premier ministre, de par sa fonction, étant non-inscrit à liste des membres du Barreau, la plainte pourrait être desservie par ses deux attachés politiques (noms à suivre)
Me J. Michel Doyon - Bâtonnier du Barreau du Québec - entorse sévère à l'obligation de respect de l'art. 23 du code des professions. Refus d'utiliser son pouvoir discrétionnaire afin de reconnaître d'emblée la faute de Me Norman Sabourin du Conseil canadien de la Magistrature d'enquêter sur le comportement de la juge Sophie Bourque, j.c.s. Et ce pour aucune raison motivée alors que 21 motifs soutenant ma demande ont été portés à son analyse. L'enquête de Me Despatis est simple. S'agit simplement pour lui de se procurer l'enregistrement mécanique de cours et la comparer avec la copie originale en ma possession (s'il y a lieu). Afin de reconnaître ainsi le geste d'incurie grave de la juge Sophie Bourque et l'indécence de Me Sabourin de ne pas y avoir vu.
Je demande aussi l'intervention du Ministre de la justice M. Dupuis étant donné le cirque qui s'est installé au barreau du Québec. Par ailleurs, l'ancien ministre de la justice, Me Yvon Marcoux, a entériné durant son règne très court une mascarade sans nom en confirmant que le Barreau du Québec était en association avec son ministère. Alors que le gouvernement doit conserver son entière indépendance par rapport aux ordres professionnels étant donné que des entités gouvernementales sous-jacentes tel l'Office des professions est sensé d'exercer un rôle de surveillance (art. 12C.P) des obligations conférées aux ordres professionnels. Contrôle que l'Office n'a pas démontré avoir fait dans mes dossiers. Perdant ainsi de cette manière le contrôle de la situation.
Une seule demande d'enquête a été officiellement faite soit celle à l'égard de Me J. Michel Doyon. Par respect, commençons donc par le Bâtonnier du Barreau du Québec lui-même.
Quant à Madame Massicotte, celle-ci manifestement troublée me suggère erronément de demander la révision de la décision du syndic-adjoint Despatis de m'apprendre qu'il n'a pas juridiction d'enquête sur Me Norman Sabourin alors que je n'ai pas demandé d'enquête sur lui mais bien l'intervention directe du Bâtonnier du Barreau du Québec dans tel cas particulier. Son refus de le faire lui a valu cette demande d'enquête à Me Despatis. Imaginez. Cela n'augure pas très bien maintenant pour le Barreau. C'est même triste de constat.
Mais avant que tout cela devienne trop gros....
Aussi autres noms pourraient même compléter la présente liste...
Le Collège des Médecins interpellé au dossier
Une demande d'enquête conjointe a été adressée au Collège des médecins à l'endroit des psychiatres Jacques Talbot et Louis Morissette de l'Institut Philippe Pinel.
J'ai demandé au Collège une pré-enquête. Celle-ci consiste à déterminer qui dit vrai. Les copies enregistrements de cours sont publiques. Je demande donc au Collège dans un premier temps d'aller receuillir les siennes du procès et de les comparer avec les extraits de mon site ou plus exhaustivement de les comparer avec mes copies originales du procès présidé par la juge Sophie Bourque.
Si le verdict est bien un verdict de culpabilité, je retirerai à ce moment là ma plainte conjointe. A défaut je demande au Collège de faire son devoir de protection du public et de suspendre ces deux psychiatres pour abus de pouvoir et faux diagnostics volontaires dans l'exercice de leur profession afin de poursuivre ainsi l'atteinte illicite volontaire à mon endroit.
Donc de pallier au travail de vérification des psychiatres Talbot et Morissette que je leur ai supplié de faire au lieu de me traiter de malade mental et de me gaver d'anti-psychotique inutilement. L'effet secondaire de ce médicament sur quelqu'un qui n'en a aucunement besoin peut le faire sombrer dans un état de dépression profonde et le porter au suicide. Ce qui est presque arrivé avant que je me réveille et cesse de prendre le médicament.
A suivre...
Intervention de l'ADQ dans le dossier
Le 9 juillet dernier, je confiais à M. Eric Laporte, député adéquiste de ma circonscription de l'Assomption, la gestion du dossier.
Considérant que par l'absurdité de la chose, un simple petit dossier disciplinaire au départ anodin en septembre 2003 soit devenu une bombe politique 4 ans plus tard.
Et ce, à grande partie parce que nos juges ne savent plus rendre la justice comme elle devrait être rendue. C'est à dire avec indépendance, honnêteté intellectuelle et démocratie.
Dans une lettre datée du 7 septembre, Monsieur Laporte dit vouloir souhaiter que s'ensuivent des réponses à mes questions au sujet d'une réparation légitime et adresse cette demande au procureur général et ministre de la justice, M. Jacques P. Dupuis. Et ce en lui allouant intrinsèquement un délai normal de 30 jours pour répondre.
Or, Monsieur Dupuis n'a même à ce jour répondu à aucune de mes lettres ou correspondances toujours malgré tout demeurées respectueuses à son endroit en 4 ans. Au fait, il n'a même jamais accusé réception. C'est pour vous dire à quel point il était conscient qu'il me portait lui-même ainsi préjudice au départ.
L'article 44 de la Charte énonce que toute personne a droit à l'information dans la mesure prévue par la loi. En ne m'informant de quoi que ce soit à ce jour et qui plus est en ne donnant quelque réponse à la dernière lettre lui étant adressée, le ministre confirmera ainsi avoir volontairement dérogé à la Charte afin de nuire volontairement à l'exercice de recours judiciaires normaux d'un de ses concitoyens du Québec.
Brian Mulroney à la rescousse de Jean Charest
Dans le journal de Montréal d'aujourd'hui le 4 octobre 2007, il est dit:
De passage à Sherbrooke, hier midi où Monsieur Brian Mulroney s'adressait aux membres de la Chambre de commerce de Sherbrooke. Conscient d'être "dans le patelin deJean Charest", il n'a eu que des éloges pour son ex-ministre:
"Il est le jeune homme le plus talentueux que j'ai connu durant toute ma carrière. Pour moi, il est un hommeexceptionnel(...)", a-t-il dit.
A ce sujet, il a rappelé que Jean Charest a maintes fois surpris tout le monde.
L'histoire de Monsieur Mulroney ne dit pas par contre en quoi au juste Jean Charest l'a-t-il surpris. Est-ce dernièrement par la mise sur pied coup sur coup de commissions inutiles payées à grand frais par les contribuables. Comme si Monsieur Charest ne faisait pas confiance ni à ses ministres et députés, ni à ses militants, ni au savoir-vivre et au savoir-faire de ses concitoyens et concitoyennes du Québec.
L'histoire ne nous révèle non plus le montant du cachet versé à M. Mulroney. Cachet versé indirectement par le parti libéral du Québec, toujours aux frais des contribuables, afin de tenter ainsi de rehausser par l'intermédiaire de M. Mulroney, l'image pour le moins éteinte de leur chef.
L'onglet suivant vous apprendra comment M. Charest m'a surpris moi, lorsque j'ai dû fermer la boucle pour comprendre l'origine de mes problèmes.
LE SUMMUM DE L'ABSENCE DU GROS BON SENS
Apprécier comment des personnes pourtant intelligentes peuvent paraître idiotes lorsqu'elles s'y mettent toutes ensemble afin de protéger leurs amis compromis dans la corruption et l'entrave à un processus normal.
Un certain Chenel Lauzier, syndic de l'O.T.P.Q lequel en imbécile heureux ne demande ou n'exige quelque preuve des allégations gratuites de l'ingénieur Pierre Sicotte à l'endroit de son propre client, c'est-à-dire à mon endroit, Daniel Bédard.
Ainsi, le syndic de l'ordre professionnel auquel j'adhérais depuis plus de 20 ans me porte volontairement préjudice très tôt dans le processus soit en septembre 2003 lors de sa seule et unique visite à mon bureau visant à receuillir de pseudo-information pour sa pseudo-enquête.
Par conséquent, Lauzier aidait ainsi l'ingénieur Sicotte à déroger aux dispositions énoncées dans l'arrêt Stinchcombe de la Cour suprême quant au droit d'un accusé/intimé à une complète divulgation de la preuve. Et en n'empêchant ma défense pleine et entière, il contrevenait directement ainsi au respect de mon droit garanti à l'article 35 de la Charte québécoise des libertés de la personne.
Constatez maintenant la dégradation des systèmes professionnel et judiciaire combinés lesquels se sont amusés avec moi afin de camoufler tout cela...
Apprécier donc l'effet de culbutage éhonté que l'exercice de mauvaise foi de sa charge de syndic a entraîné et étalé l'incongruité hors du commun d'un dossier fort simple au départ en un dossier pour le moins complexe 4 ans plus tard.
Et qui plus est, Monsieur Lauzier lequel accomplit sa dite tâche à temps partiel, est enseignant à temps plein au Cegep de Sherbrooke. Ville où a grandi son ami Jean Charest. Eh oui, notre premier ministre du Québec. Lequel s'est forcément mêlé en rescousse et mis le nez dans un simple petit dossier disciplinaire pour faire en sorte d'en faire une bombe judiciaire en 4 ans d'efforts soutenus avec son bras droit Jacques Dupuis. Bravô Monsieur le premier-ministre ! Monsieur Mulroney a raison d'être fier de vous !
Le Bloc Québécois vous dites ?
J'aimerais remercier Monsieur le curé Raymond Gravel, député bloquiste de ma circonscription de Repentigny qui après un travail colossal (2 appels téléphoniques) en soit venu à me suggérer d'inclure dans mon blog la copie conforme de l'avis du comité de révision de l'O.I.Q en guise de preuve.
Sans doute parce qu'il ne me croyait pas et non parce qu'il voulait aider son concitoyen à faire reconnaître l'injustice plus que flagrante. Pourtant Monsieur le curé Gravel est une personne qui devrait posséder plus que tout autre personne ou laïque, des notions de probité bien ancrées en lui-même de par la vocation qu'il a choisi.
Monsieur Gravel m'a ensuite fait savoir d'une manière pas très orthodoxe ne plus être intéressé à m'apporter quelque soutien politique à ma cause. Dont une intervention en Chambre afin de questionner le ministre de la justice, L'Honorable Robert Douglas Nicholson, sur la possibilité de demander une audience spéciale visant à assermenter à nouveau le jury en respect de l'article 672.26b du code criminel afin de corriger ainsi une procédure qui aurait du être entérinée par la juge Sophie Bourque lors de mon procès qui s'est déroulé en juin 2006 au Palais de justice de Longueuil.
L'attaché politique de Monsieur Duceppe, Monsieur Pilote, a confirmé aussi de son coté l'intention très clair du Bloc québécois de ne même s'occuper du dossier devenu pourtant un dossier politique par l'absurdité de la chose. Et ce, en refusant carrément de me rencontrer suite à une demande pourtant courtoise et polie de ma part.
Ainsi voit le Bloc Québécois aux intérêts de ses citoyens et citoyennes du Québec !
A ce jour, la responsable des communications au ministère fédéral de la justice, Madame Breton, n'a même accusé réception de 5 ou 6 correspondances pourtant urgentes en ce sens et respectueusement adressées au Ministre Nicholson.
Ainsi va notre justice canadienne. Continuons d'être une nation distincte selon M. Charest et se faire manquer de respect de nos droits pourtant garantis à la Charte québécoise autant qu'à la Charte canadienne des droits et libertés de la personne.
Il m'apparait maintenant imminent que Monsieur le curé Comeau communique avec Monsieur le curé Gravel afin que ces derniers se mettent d'accord sur ce qu'ils conviennent ensemble de trouver malin dans mon dossier.
P.S: L'inhibition soit un phénomène concerté et volontaire de ne rien faire lorsqu'une action concrète devrait être faite est intrinsèquement une dérogation à l'article 44 de la Charte qui stipule que toute personne a droit à l'information dans la mesure prévue par la loi.
L'intégrité et le professionnalisme du Journal de Montréal ?
L'incurie de Rodolphe
Les 21 faussetés volontaires du journaliste Rodolphe Morissette dans son article du 8 décembre 2005 soit le lendemain de mon acquittement par jury; lesquelles m'ont porté préjudice très sévère dans la poursuite criminelle abusive et insensée, sont démystifiées dans cette section, en analyse de l'article publié.
Une plainte officielle a été adressée au Conseil de Presse du Québec en juillet dernier. Le Conseil après avoir accepté le traitement de la plainte quant à sa recevabilité au niveau du délai de prescription de 6 mois lequel n'est de toute manière de rigueur en vertu de leur propre règlementation, est de nouveau sommé par l'avocat du Journal de rejeter la plainte à cause de ce même délai de prescription. Or, et au lieu de s'affirmer et de dire que la question avait été vidée et la décision déjà formulée au plaignant à ce sujet, le Conseil décide d'analyser à nouveau la demande farfelue de l'avocat du Journal. On tourne en rond finalement du coté du Conseil de Presse car les 21 motifs exposés par écrit par Daniel Bédard sont irréfutables. Imaginez 21 faussetés dans 10 petits paragraphes. Ce qui témoigne de l'embarras dans lequel est plongé le Journal en regard de la piètre performance de son journaliste Rodolphe Morissette. Lequel a pris, entre-temps, sa retraite, semble-t-il. Imaginez Daniel Bédard avait une solide raison de ne pas avoir respecté le délai de 6 mois suite à la parution de l'article car il était détenu illégalement durant cette période. Même que ce dernier a fait l'effort de tenter de rejoindre à plusieurs reprises le journaliste Morissette durant ce délai mais ce dernier décide d'ignorer complètement les messages laissés sur sa boite vocale.
C'est vous dire à quel point Rodolphe savait exactement qu'il portait atteinte illicite intentionnelle à l'endroit de Daniel Bédard.
Veuillez noter que ce genre d'attaque aux droits d'un individu est traité à l'article 49 de la Charte des droits et libertés de la personne et oblige en réparation.
Voici donc les faussetés ou imprécisions:
1) Je ne suis pas un spécialiste en dessin industriel puisque j'oeuvrais dans des temps meilleurs plus spécifiquement dans le dessin de bâtiment assisté par ordinateur avec une spécialisation de "detailer" en structure d'acier pour l'élaboration des documents de montage et de fabrication. Pourtant dans les témoignages et ma plaidoirie ceci a bien été mentionné et précisé.
2) Ce n'est pas 4 autres dossiers criminels mais bien 3 autres dits dossiers criminels que l'on me reprochait.
3) J'ai levé le ton à Monsieur Matte considérant le préjudice qu'il m'avait porté et il le savait lui, la grandeur du préjudice qu'il me portait mais je ne l'ai jamais traité de "crosseur". Le mot "fraudeur" a été utilisé dans la discussion mais non le mot "crosseur".
4) Je n'ai jamais invité Monsieur Matte à me battre àl'extérieur.
La preuve est que j'ai demandé à ce que me sois transmis en preuve justement en respect toujours des dispositions de l'arrêt Stinchcombe, le film de l'évènement du 2 novembre 2005 corroborant le témoignage du greffier Léveillé lequel aurait mentionné que je brandissais par des mouvements brusques et en signe d'invitation mon poing fermé en l'air. Le constable spécial Dragan est venu témoigner à l'effet que cette preuve "hors de tout doute raisonnable" n'était pas disponible parce que le film avait été détruit.
Or, comment peut-on avoir pensé conserver en preuve le film de l'évènement du 3 novembre 2005 captée par la caméra du hall de la Cour d'Appel (soit l'arrestation illégale et la fuite vers le corridor est) et être très fier de me le faire visionner et ne pas avoir pensé conservé le film de l'évènement du 2 novembre. Lequel était beaucoup plus important encore car c'est cette preuve qui justifiait le dit voie de fait reproché, l'arrestation et la détention sous garde. Comment un détail aussi important peut-il avoir échappé à un juge d'expérience comme Bonin ? C’est incroyable !
J'ai beaucoup de difficultés à croire que le plus Haut Tribunal du Québec, imaginez, les plus grosses têtes au niveau des juges dont le juge en chef du Québec par surcroît, des sommités finalement au niveau du droit assortis des greffiers avec autres bonnes connaissances du droit, des constables spéciaux et enfin un enquêteur spécial (Dragan) lequel est supposé être formé spécifiquement pour penser à des choses comme cela, ne pensent pas à conserver une preuve "hors de tout douteraisonnable".
D'ailleurs, le juge Bonin confirme sa grande "malhonnêteté intellectuelle" dans ce dossier visant plutôt à sauvegarder l'immunité de ses "amis" de la Cour d'Appel que les droits de Bédard en vertu de la Charte. Autre exemple dans lequel le copinage judiciaire s'élève au dessus de la Charte en importance. Et cela n'est pas normal. Ça se joue plus souvent en coulisse que sur le banc. Car comment un juge de 30 ans d'expérience comme Bonin peut trouver normal qu'une preuve "hors de tout doute raisonnable " soit détruite. Ça n'a aucun sens.
Une telle énormité méritait même qu'il m'acquitte sur le champ. Mais il ne l'a pas fait, préférant sans doute ruiner ma carrière, ma réputation et ma vie afin d'en contrepartie conserver intact son "club social"
Par conséquent, cela ne peut être autre chose que de la frime. Si le film ne m'a pas été produit en preuve c'est tout simplement parce que tous convenaient que je n'avais en réalité jamais invité monsieur Matte à se battre à l'extérieur.
D'ailleurs Monsieur Morissette, ne pouvait vérifier les sources de son information puisque le procès n'était même amorcé encore en ce qui a trait à cette fausse accusation laquelle d'ailleurs m'a gardé imaginez 15 mois en dedans. Il aurait pu être davantage circonspect avant d'écrire une telle chose et recevoir tout au moins mon point de vue là-dessus. Ce qu'il n'a pas fait. Me portant ainsi atteinte à mon droit à la présomption d'innocence.
5) Les policiers du palais choisissent de l'y arrêter
Ce n'est pas des policiers mais bien les agents de sécurité ou constables de la Cour d'appel. Monsieur Morissette veut comme signifier que l'arrestation a été faite par des personnes formées en ce sens alors que tel n'était pas le cas; puisque l'arrestation a été effectuée sans mandat, pour un faux motif. De la raison de ma fuite. L'arrestation manquait tout simplement de classe et de professionnalisme et sans l'ombre d'un doute à mon esprit le constable n'avait jamais effectué une arrestation avant la mienne.
Ce constable s'est par ailleurs parjuré en livrant 2 témoignages contradictoires. Dans le premier il a mentionné à la cour m'avoir mis en état d'arrestation pour voies de faits. Et dans son 2ie témoignage, il change pour "menaces de voies de faits". Ce qui est bien différent. Et aurait peut-être entraîné une réaction différente également.
Encore là, le journaliste n'a pas vérifié ses sources en parlant de "policiers du palais"
6) Les agents mettent la main sur lui mais il s'échappe denouveau.
Il n'y a eu aucun contact avec les agents pendant la course et ma fuite dans le corridor est de la cour d'appel. Encore là le film de la caméra de surveillance du corridor l'aurait démontré. Si la Couronne n'a pas produit le film en preuve, c'était dans le but d'amplifier l'évènement. Et prétendre faussement que j'avais porté des voies de faits à un des 2 constables à un moment précis dans la fuite. Prétendre également que j'ai foncé dans la porte d'une salle d'audience et fait peur au personnel associé au système judiciaire présent. Toutes des faussetés.
Monsieur Morissette n'a pas rapporté les faits de façon honnête parce que la Couronne n'a jamais agi honnêtement dans ces dossiers de poursuite à mon endroit. Le sachant, M. Morissette aurait du recueillir mes impressions. Ce qu'il n'a pas fait. Participant ainsi lui-même à l'atteinte illicite volontaire et se dévoilant ainsi complice de la méprise volontaire de la Couronne.
7) Messages à la tonne.
Il a été clairement démontré en défense avec la communication de la preuve complète et non partielle de la Couronne déposée par Me Larivière (imaginez l'incompétence de ce procureur) l'objet de sa poursuite est le nombre de courriels et correspondances justifiant semble-t-il le harcèlement et il dépose une preuve élaguée ? ? pour ainsi convaincre le jury de l'allégation d'harcèlement. C'est pas trop fort ça.
J'ai fait mes devoirs et dénombré 61 courriels et correspondances adressées à Denis Beauchamp sur 15 dossiers différents sur une période d'un an. Et je n’inventais rien et le tout était vérifiable dans ladite communication de la preuve complète fournie par la Couronne même. Imaginez une Couronne même pas capable de corroborer ses propres chiffres qu'elle allègue avec la preuve qu'elle dépose. Pas très fort cela non plus. Je ne crois pas que Monsieur Morissette pouvais encore là porter atteinte à ma dignité en prétendant que j'avais transmis des messages à la tonne. Car sur sur quel base alors un jury de 12 personnes s'était appuyé pour m'acquitter. M. Morissette aurait eu avantage à être présent au procès si son intention était de pondre un article. Monsieur Morissette a donc manqué à son devoir journalistique en maintenant ainsi l'atteinte illicite à mon endroit.
6) Inondé le directeur de l'Ordre des technologues et sapréposée de 260 appels.
Il n'a même jamais été question de 260. Ce nombre n'a jamais été utilisé pour chiffrer les appels téléphoniques et aucune preuve par la Couronne n'est venue appuyer ce chiffre qui est faux de toute manière.
Par conséquent, M. Morissette ne pouvait utilisé le terme inondé car encore là sur quel base le jury m'aurait acquitté, si ce n'est que le nombre de courriels, d'appels et de correspondances n'ont pas été démontré par la Couronne. C'est elle qui en avait le fardeau mais elle ne s'en est pas déchargée. Pourtant une Couronne sait cela. Du moins je l'espère. Cela montre au contraire que de la même façon que Louise Leduc, le dossier de poursuite de Me Larivière n'était pas suffisamment étoffé ni adéquatement préparé. Encore là Me Larivière a démontré poursuivre sans trop savoir pourquoi il poursuivait et sans être convaincu lui-même finalement. Il me semble que pour penser avoir une chance de convaincre un jury, une couronne doit commencer par être convaincue elle-même.
Par conséquent, Monsieur Morisette en s'appuyant strictement sur les informations divulguées par une couronne mal préparée et pas très au courant de son dossier a manqué finalement à son devoir journalistique de recueillir une information exacte.
9) 260 courriels comportant des "menaces".
J'avoue que j'ai une certaine difficulté à croire que M. Morissette (il en a vu d'autres quand même) peut consciemment avoir écrit cela sans penser écorcher volontairement ma dignité.
Car si j'avais vraiment transmis 260 courriels comportant des menaces, un jury constitué de 12 personnes quand même pas dénué du gros bon sens et instruit des notions de base du droit applicable m'aurait reconnu coupable à coup sûr. Or si le jury m'a acquitté, c'est plutôt que la preuve elle-même ne leur montrait quelque menace que ce soit dans les 61 courriels transmis. Encore là comment Me Larivière pouvait déposer des volumes de ladite preuve à ne plus finir et ne pas lui-même vérifier la teneur des courriels et/ou correspondances. Pas très fort encore de la part de la Couronne qui semble on dirait manquer de travail. Et si elle a une occasion de poursuivre et justifier son salaire alors elle poursuit aveuglément sans savoir ou sans même vérifier sa propre preuve.
Étant donné que j'ai été acquitté, il me semble que M. Morissette aurait du démontré une très grande circonspection surtout lorsqu'il s'agit de menaces. Puisque le terme est fort. Une menace c'est une menace dans le sens propre du mot. Et le jury a au contraire été instruit autant par la preuve que par le défendeur qu'il n'y a jamais eu de menaces dans les écrits dirigés soit à M. Beauchamp ou tout autre personnel du Bureau de l'O.T.P.Q. alors c'est quoi cela si ce n'est une intention malicieuse de me porter atteinte illicite volontaire malgré l'acquittement.
Par ailleurs, Beauchamp a de plus avouer lors de mon contre-interrogatoire que les 15 dossiers sur lesquels je lui demandais tout simplement de l'information étaient des dossiers reliés entre autres à l'avancement, le développement et la reconnaissance des compétences des membres en pratique privée.
Je me suis au contraire comporté comme un professionnel et c'est bien Beauchamp qui en m'ignorant complètement a littéralement manqué aux devoirs de sa charge de secrétaire et directeur de l'O.T.P.Q. Imaginez ce que 12 personnes soit le jury a pu garder comme souvenir de lui ? ? ?
Encore là un manque d'éthique total de M. Morisette qui ne prend même pas la peine de vérifier ses sources.
10) Le verdict du jury trahit un doute...
J'ai beaucoup de misère avec ce qu’a écrit M. Morissette. Un jury de 12 personnes m'acquitte non pas de une ou deux cela aurait pu passer mais bien des 4 charges de menace et harcèlement. Il n'y avait aucun doute dans l'esprit du jury. C’est ce qu'aurait du écrire à mon avis M. Morissette. Manifestement, M. Morissette semble avoir eu une commande de m'atteindre malgré le verdict pour ne pas finalement faire passer un directeur d'un ordre professionnel pour un menteur. Cependant ma réputation, mon honneur et ma dignité sont aussi importants que ceux de M. Beauchamp. La Charte nous rappelle que nous sommes tous égaux en droit. Si M. Beauchamp avait hors de tout doute démontré avoir menti à la Cour alors l'article de Rodolphe devait le faire savoir. Ce qu'il n'a volontairement pas fait. Ce qui est plus grave parce que ce n'est plus une erreur par inadvertance manifeste mais démontre qu'il y avait une intention malhonnête. Que le tout avait été discuté et planifié pour être présenté au public comme tel. C'est cela qui est plus grave à mon avis.
11)...sur le caractère menaçant des communications.
Encore là aucune communication comportant des menaces n'a été démontré en poursuite par la Couronne. D'ailleurs demander la démission de quelqu'un parce qu'elle ne s'acquitte pas convenablement de ses fonctions ne constitue pas une menace mais est plutôt une action courageuse par un membre actif qui paie cotisation donc un membre qui en retour s'attend à recevoir des réponses lorsqu'il s'adresse respectueusement comme il l'a fait au directeur de l’ordre professionnel auquel il adhère depuis 20 ans.
C'est aussi un exercice démocratique que toute personne occupant un poste administratif quelconque dans une organisation peut être sujet à se voir un jour questionné sur sa valeur au sein de l'organisation. Or Beauchamp est-il un intouchable au sein de l'organisation ? A-t-il au contraire démontré qu'il remplissait sa charge avec dignité et compétence en 2004-2005 en ignorant complètement un membre de 20 ans d'ancienneté. De plus la lettre de Éric Coté de C&I février 2004 de l'Assureur montre que j'ai eu raison de m'insurger contre la réponse de sa subalterne. Beauchamp avait donc tort car je n'avais pas porté préjudice à mon client en mettant fin à mon mandat tandis que Beauchamp a prétendu qu'à tout temps j'ai obligation envers mon client. Ce n'était pas trop fort comme réponse de la part d'un directeur d'un ordre professionnel car il peut placer un membre en pratique privée dans de sérieuses difficultés si le membre pense qu'il peut nuire à lui-même ou même menacer les intérêts du public s'il fait exactement ce que son client lui demande de faire. C'est la raison pour laquelle je lui ai demandé de réviser sa position prise par surcroît au nom de l'Ordre. En février la question avait été vidée avec la réponse de C&I, mais Beauchamp a prétendu à tort que je l'avais harcelé toute l'année durant avec ce seul et même dossier et litige avec l'Assureur. Ce n'est pas très honnête de la part de M. Beauchamp d'avoir essayé de passer une grossièreté de cette nature sur un membre qu'il considérait un des plus compétent et représentatif et dans le "centile supérieur "selon sa propre expression. Alors pourquoi ce changement de cap tout d'un coup ? De toute manière la preuve a été faite et le jury a finalement compris lui.
Monsieur Morissette ne pouvait donc utilisé le termes caractère menaçant des communications car au contraire les communications ne traduisaient pas un caractère menaçant.
12) Radié par son comité de discipline en mai 2004...
Je n'ai pas été radié par mon comité de discipline en mai 2004 mais bien par le Bureau en juin 2004, en pleine enquête disciplinaire par surcroît. M. Morissette devait ici expliquer aux lecteurs la nuance importante et faire le lien avec la réintégration du Tribunal et compléter l'information au niveau des dérogations commises par le Bureau. En complétant ainsi, il aurait pu admettre ainsi par lui-même que le comité de discipline n'a jamais été impliqué dans la décision. M. Morissette aurait pu expliquer aussi pourquoi cette radiation que je peux même qualifier de sauvage était illégale.
13) Tribunal des professions de Joliette.
C'était bien celui de Montréal si M. Morissette se réfère à la décision du 7 octobre 2004.
14)...en litige constant avec l'Assureur de l'Ordre
Il n'a pas été démontré que j'avais tort concernant ce litige alors pourquoi rapporter la nouvelle comme si j'avais dérangé ces gens. Cela est bien le contraire car ce sont bien ma dignité et ma réputation qui sont des droits garantis par la Charte que j'ai tenté de sauvegarder à travers ce litige. Car l'Assureur aurait prétendu à tort au départ qu'il ne pouvait dédommager mon client parce que je lui aurai nui volontairement en mettant fin à mon mandat avec lui. Alors que tel n'était pas le cas. Et la lettre de Martin Éric Coté de C&I de février 2004, le confirme. Au fait ce dernier s'excuse finalement pour la méprise en mentionnant en surplus qu'il n'a procédé à quelque enquête dans le dossier. Alors qu'une enquête s'imposait au contraire il me semble puisque s'agissant d'une réclamation de la part de mon client et non de moi comme l'a mentionné à tort Beauchamp lequel finalement a démontré n'avoir rien compris de tout le litige. Puisqu'il était aussi question du respect de 2 articles du code de déontologie du technologue. Beauchamp évite d'en faire mention parce qu'il avait compris depuis longtemps qu'il était dans le champ. Mais son orgueil a fait qu'il s'est enlisé inutilement dans ce dossier au lieu d'avouer tout simplement son erreur à son membre.
Aussi pourquoi dois-je encore une fois après l'avoir bien expliqué au jury, de nouveau me justifier à un journaliste simplement parce que ce dernier rend mal la nouvelle. Cela devient laborieux à la fin.
15) Se voyant prier par son ordre de subir des évaluationspsychiatriques et psychologiques.
Une très grande circonspection est requise ici de la part d'un journaliste qui aborde des questions d'évaluation psychiatriques ou psychologiques et cette circonspection n'a pas été fait par M. Morissette. Il faut comprendre que l'on touche directement à la dignité d'une personne. Le Bureau a manqué; il ne faudrait pas que le journaliste rapporte de la même façon par le même manquement. Puisque le Bureau a été débouté le 7 octobre 2004 sur la question en étant reconnu coupable de 3 dérogations au code des professions. Alors pourquoi ne simplement dire la vérité ?
Étant donné la nature même de l'examen et le genre d'impact que cela peut avoir sur la dignité d'une personne il me semble que le journaliste aurait du encore là aller aux sources et parce qu'il soulevait la question des examens psychiatriques expliquer justement les manquements du Bureau à cet égard puisque l'article nous apprend pas finalement sur quoi Bédard a gagné en appel.
Encore là inexactitude dans l'information et absence de précision.
16) Il a refusé net d'ou la radiation.
J'ai demandé poliment par lettre à Beauchamp de respecter les dispositions de l'article 51C.P et de me faire part des motifs. Le refus de me soumettre à l'examen était parce que Beauchamp avait refusé de me transmettre les motifs de sa demande. Par conséquent, je n'avais pas autre alternative de refuser puisque Beauchamp dérogeait à l'article 51C.P. D'ailleurs, cette dérogation a été reconnue par le Tribunal des professions le 7 octobre 2004. C'est exactement comme cela que l'information aurait dû être rapporté par M.Morissette. En la rapportant complètement à l'envers, M. Morissette écorche de nouveau ma dignité de façon très sévère et gratuite.
17) ...cesse de payer sa cotisation
Je n'ai pas cessé de payer ma cotisation, c'est l'ordre qui m'a retourné mes chèques peu de temps après sa radiation sauvage. Et, en vertu de l'art. 52C.P, je dois faire une nouvelle demande écrite à l'ordre pour devenir à nouveau membre de l'ordre au temps que je jugeais opportun.
18) ...et il reste sans emploi
Par ailleurs, Je n'ai pas besoin de faire partie de mon ordre pour occuper un emploi puisque l'O.T.P.Q est un ordre à titre réservé et non à titre exclusif.Tout a donc été rapporté de travers. M. Morissette n'informe pas à travers son article à mon avis il désinforme
19) Visé par de nombreuses plaintes professionnelles
M. Morissette laisse quasiment croire aux lecteurs que Bédard essuie plusieurs reproches de bien du monde à travers une multitude de plaintes alors qu'il n'en est rien. Une seule plainte soit celle de Dumas me fut signifiée le 6 octobre 2004 soit une journée avant l'appel de ma radiation permanente par le tribunal de professions. Imaginez.
Par ailleurs, cette plainte manifestement mal fondée comportait 3 chefs. Elle fut réfutée par écrit par moi-même en 5 minutes par chef. Imaginez. Sur de simples question de droit en plus (chef 1 et 3). Même pas besoin d'y aller au fond. Mon argumentation amenée était tangible, objective et vérifiable. Quant au 2ie chef, j'ai contacté le menteur Sicotte pour éviter à Dumas d'être poursuivi en justice pour avoir fait enquête sur des motifs qui n'était pas sous sa juridiction (art. 122C.P) et qu'il ne pouvait autrement savoir qu'ils étaient faux. De plus et imaginez la grandeur de l'incongruité, Dumas m'accuse d'avoir dérogé à l'article 122C.P au chef 1 alors que c'est précisément lui qui a dérogé à l'article. Pas très fort ce Dumas.
Dumas m'accuse du défaut de lui fournir les documents alors que c'est justement ce défaut de la part du syndic principal qui a justifié ma demande de transfert au président de l'Ordre. En effet, M. Lauzier me dit par courriel, et j'ai conservé toute la preuve, qu'il a tout en main pour compléter son enquête alors qu'il ne m'avait encore exigé quelque document que ce soit. Imaginez la valeur des enquêtes des ces deux pseudos syndics lesquels ont de toute manière démontré être de mauvais foi dans l'exercice de leurs charges respectives.
Encore ici, Monsieur Morissette rapporte la nouvelle tout croche parce qu'il ne va pas aux sources. Il aurait eu intérêt à venir me voir mais il ne l'a pas fait préférant composer avec une couronne désabusée et défaite. Puisque rapporté ainsi, cela porte un réel discrédit sur ma personne et ma carrière de technologue considérant aussi que j'étais en pratique privée.
20) ...entreprenait plusieurs poursuites civiles contre l'ordre.
Aucune poursuite civile officielle n'a été déposée. Je demandais seulement de répondre de leurs dérogations nombreuses au code des professions dans une plainte déposée le 4 octobre 2005 devant le juge Denis de la cour supérieure. Une requête en certiorari et mandamus. Le juge Denis ignorant complètement le mandamus et rejetant le certiorari pour des motifs non fondés et obscurs.
Je suis technologue professionnel dans le secteur du bâtiment et travaillant en pratique privée depuis 1984 et ayant été membre de l'Ordre des technologues professionnels du Québec de 1984-2004.
Radié injustement de l'O.T.P.Q en mai 2004 sans quelque raison motivée, le tribunal des professions acceuille l'appel de ma radiation permanente le 7 octobre 2004 et statue au contraire de 3 dérogations majeures au code des professions par le Bureau de l'O.T.P.Q.
Sans doute offusqué par telle décision, des problèmes de communications inquiétants mêlés à de fausses accusations ont alors commencé à surgir du Bureau de l'O.T.P.Q afin de me faire payer ainsi le déshonneur et l'affront qu'il considérait à tort avoir subis. Le 1er avril 2005 et contre toute attente de ma part, je suis illégalement arrêté par 4 policiers et menottés à mon bureau professionnel de la rue Cherrier à Repentigny. Détenu préventivement pendant un premier 3 mois, un jury m'acquitte le 7 décembre 2005 des 4 charges de menace et harcèlement à l'endroit d'officiers administratifs de l'O.T.P.Q et inscrites à la dénonciation.