La justice version Québécoise...

dimanche 17 mai 2009

Questions au juge Mongeau

Citation du jour : Le juge John H Gomery a dit un jour que « la vérité est une chose absolument puissante »


Verdict unanime du jury rendu à 10h22 en ce 17 mai 2009: Coupable


En plus de l'accusation de parjure portée à l'endroit de Mme Sylvie Fredette secrétaire/receptionniste à l'emploi du bureau de l'Ordre des Ingénieurs du Québec qui n'a jamais précisé la date de l'évènement, ayant forcé selon elle l'utilisation de son bouton de panique, une accusation très grave de méfait public et corruption de fonctionnaire et de jurés sera portée à l'endroit de M.Zaki Ghalvitian, président de l'Ordre des Ingénieurs du Québec.


Vous aurez compris que le verdict du jury sera porté en appel devant le plus haut tribunal du Québec sur des questions de droit.


Représentation sur sentence mardi prochain. La couronne espère obtenir une peine exemplaire qui dans la réalité, est déjà purgée


Erreur fatale de droit du Juge Richard Mongeau, JCS
 
Dans son document du droit applicable remis au jury et aux parties le 15 mai 2009, le juge Mongeau a fait une erreur de droit absolument inexcusable en tentant d'aiguiller le jury vers un verdict. Cette erreur fait en sorte qu'advenant un verdict de culpabilité du jury, il sera possible d’en appeler immédiatement sur ce point de droit.

En effet, aux alinéas 10 et 15 de son document du droit applicable, le juge Mongeau a fait à 2 reprises une appréciation de la preuve en qualifiant celle-ci de « claire ». Or, qualifier ainsi la preuve équivaut à orienter le jury. L'appréciation de la preuve est une question de fait et seul le jury est maître des faits. Ainsi, le juge Mongeau qui préside un procès devant juge & jury est maître des questions de droit. En produisant le document intitulé « Droit Applicable », le juge Mongeau n'avait aucune raison de s’aventurer vers le domaine des questions de fait. Par conséquent il a commis une grave erreur en droit qui devra, le cas échéant, être rectifiée par le plus haut tribunal de la province.
 
Alinéa (10)*
Je ne crois pas que vous aurez de la difficulté quand à la période de temps et le lieu des événements reprochés. La preuve est claire.
 
Comment le juge Mongeau peut-il déroger aussi ouvertement à son devoir de réserve ?  L'évènement « majeur » qui a provoqué la panique chez les employés présents se situe à l'été 2007 selon le témoignage de Mme Sylvie Fredette. Paradoxalement, dans sa déclaration de témoin, Mme Fredette écrit que ce gros vacarme a eu lieu au printemps 2007, soit en dehors de la période couverte par l'acte d'accusation qui situe le tout entre le 1er août 2007 et le 14 novembre 2007. De plus, cet évènement qui a engendré l'utilisation du bouton de panique tel que mentionné par Mme Fredette dans son témoignage, est absent du précis des faits. Par conséquent, le précis des faits rédigé par le sergent détective Serge Messier de la SPVM est un faux. Ce qui infère que ce dernier a également été soudoyé contrairement au "non" qu'il m'a répondu à la question que je lui ai posé lors de mon interrogatoire à son endroit. Alors surpris par ma question il a immédiatement regardé en direction du juge Mongeau espérant sans doute une objection..

Contrairement à ce que soutient le juge Mongeau, la preuve n'est pas si claire.

 
Alinéa (15)*
Souvenez-vous de l'utilisation du pseudonyme de Gilles Courchesne. La preuve est claire et non contredite qu'il s'agit que nul autre que l'accusé. Interrogez-vous sur ses intentions en utilisant un pseudonyme
 
La preuve à l’effet que Gilles Courchesne et Daniel Bédard n’étaient en réalité qu’une seule et même personne n'a jamais été faite hors de tout doute raisonnable par la couronne. Encore une fois, la preuve n'est pas aussi claire qui l’affirme le juge Mongeau
 
Alinéa (18)*
 
Il s'agit de mon court résumé sur cette question
Je vous souligne que vous n'êtes pas obligé de l'adopter
C'est vous tous les juges des faits
 
Non seulement le juge Mongeau n'avait pas à suggérer au jury d'adopter son résumé des faits, mais il en avait même l'obligation légale de s’en abstenir.

N’oublions jamais : le juge est maître des questions de droit alors que les questions de fait relèvent de l'appréciation exclusive du jury.


Question au juge Mongeau JCS


Alors que le jury se pose une question sur une date oubliée sur un acte d'accusation; ce qui constitue, au fait, un manquement mineur. En retour il n'en pose aucune sur une date jamais précisée au rapport de la SPVM ni dans aucun témoignage d'un évènement « majeur », qui aurait semble-t-il justifié l’arrestation du 19 novembre 2007 et la détention arbitraire de plus de 13 mois qui suivi ???


Voilà une dérogation majeure à l'éthique judiciaire non interceptée par le juge Mongeau qui est censé de présider un procès juste et équitable et en avoir le plein contrôle.


Me prenez vous à mon tour pour une valise Monsieur le juge Mongeau, en me laissant croire par votre questionnement au jury : soit vous signifier qu'il vous avertisse immédiatement le cas échéant afin que vous prononciez un avortement de procès, soit ne pas comprendre en retour que ce jury est effectivement un jury "acheté", au même titre que vous-même, soudoyé par l'Ordre des Ingénieurs du Québec.

 

 


5 commentaires:

Anonyme a dit…

Faites-vous par exprès pour démontrer que vous êtes imbécile? Faites-vous par exprès pour abuser du système judiciaire? Faites-vous par exprès pour vous faire passer pour une victime du système?

Vous avez harcelé ces gens. 12 personnes vous ont reconnus coupable. Ce que vous êtes, sans l'ombre d'un doute.

Vous êtes le genre de personne qui va hurler au scandale dès qu'elle doit composer avec les conséquences de ses gestes...

Pauvre de vous....

J'écris de façon anonyme...Vous comprendrez qu'avec une attitude comme la votre, on ne peut pas prendre la chance de s'identifier si on est en désaccord avec vous...

Vous me faites penser à un enfant pré-scolaire qui fait un mauvais coup mais qui dit "C'est pas moi, c'est lui..."

Anonyme a dit…

Condamné à 54 mois de prison! Ce qui veut dire qu'il vous reste 28 mois de détention à purger! ENFIN!!! La justice a mis ses culottes! Je vous souhaite un bon séjour! (Sarcasme)

Anonyme a dit…

Je ne crois pas que tous ces juges tous ces témoins et tous ces jurés soit tous "achetés" depuis toutes ces années et que personne dans toute cette saga ne soit intervenue! Je pense que vous n'acceptez pas le fait que vous êtes effectivement coupable de menaces et harcellement! Même si vous prétendez que c'était justifié pour protéger les citoyens, nul n'a le droit de harceler ou menacer autrui de façon abusive.Maintenant vous harcelez le système judiciaire !!!Lâchez prise, acceptez votre verdict, arrêtez de faire dépenser l'argent d'honnêtes travailleurs et tentez par la suite de reprendre une vie normale et productive!!! Mettez à profit cette capacité et cette énergie que vous avez à faire toutes ces vaines démarches, pour faire enfin quelques choses d'utile !!

P.S.Le Dr mailloux en vous côtoyant un peu, trouvera peut-être un nom à votre maladie...

Anonyme a dit…

Votre maladie à vous, avocats et juges est la corruption à sa plus simple expression.

Daniel Bédard

warie83@hotmail.com a dit…

J'ai vue un procès similaire ou le juge et le procureur magouillaient constamment, entre autres, pour empêcher la défense de déposer ses preuves et leurs témoins de se faire entendre. Le juge a dit lors des directives au jury un résumé de faits (preuves) complètement partial et a soumis un arbre de décision rendant inévitablement coupable. Les jurés ont confiance au juge et ne se connaissent pas assez en droit pour voir que cela n'était pas un vrai procès. Mais j'avoue que devant toute cette corruption, il est à se demander s'ils ont même acheté le jury !!