La justice version Québécoise...

mercredi 4 mars 2009

Intervention inopportune du ministre de «l'insécurité publique» ?

Le ministre de «l'insécurité publique» Jacques P. Dupuis a-t-il complètement perdu la carte ou quoi ?

Le 10 février dernier alors que je comparaissais devant la juge Rollande Matte en respect de ma promesse de comparaître entérinée par le juge Sansfaçon le 4 décembre 2008, M. Dupuis a dépéché au moins 6 policiers armés du SPVM (identifiés par une bannière dans le dos et une autre au torse) en grand renfort de sécurité de la salle 3.06 du Palais de justice de Montréal comme si j'étais un gros criminel notoire en puissance ou en devenir ?

Le plan préparé par M. Dupuis (je ne peux malheureusement en inférer autrement) était d'appuyer la juge Rollande Matte en mission de me provoquer volontairement afin de créer un esclandre pour justifier autre arrestation et me renvoyer à Pinel pour aucune espèce de raison motivée; bafouant d'ailleurs de nouveau ainsi l'art. 672.23(2) du code criminel et les règles d'éthique les plus rudimentaires.

Mais cela n'a fonctionné qu'en partie. Puisqu'il est vrai que la juge Matte m'a expédié de nouveau à Pinel pour 7 jours. Cliquez sur : la juge Rolande Matte JCQ pour entendre ce qui s'est passé. Mais avant même que Me Bourassa finisse son exposé dont l'issue était de toute manière connue de lui-même, j'ai rappelé à tous que la juge Matte avait déjà rendu sa décision et suis parti de moi-même vers le box des accusés où m'attendaient sourire aux lèvres, comme si tout cela était bien drôle pour eux, les agents de détention curieusement dépéchés en plus grand nombre pour l'occasion. Étant demeuré calme malgré cette autre atteinte qu'on me portait alors que j'avais planifié une belle sortie pour le 14 février suivant pour la St-Valentin avec une toute nouvelle copine avec laquelle j'ai dernièrement fait connaissance afin de tenter de refaire ma vie et tenter de passer à autre chose, c'est ainsi que j'ai démontré être plus apte encore puisque lorsqu'un juge rend une décision, il me semble celle-ci est irrévocable. Or, à quoi s'amusait Me Bourassa ? Tentait-il de faire croire à un Public médusé qu'il défendait les intérêts de son client ? Mauvais «timing» faut-il croire. Faudrait apprendre vos rôles mieux que cela la prochaine fois, chers «acteurs judiciaires», comme dirait la juge Bourque, tous payés finalement à même les poches des contribuables et justiciables ainsi trompés !

J'aimerais aussi simplement rappeler à M. Dupuis que je ne suis qu'un honnête professionnel trompé par le système judiciaire du Québec et qu'il sait très bien que son mutisme et les responsabilités qu'il n'a pas su assumer à temps ont malheureusement entraîné ce cirque judiciaire. Ce pourquoi il voudrait continuer à me faire payer la note pour continuer pendant ce temps à tenter de bien paraître.

Je dis à M. Dupuis qu'il faudrait maintenant que cela cesse et qu'il est de toute manière trop tard pour lui. Son image étant pour le moins déjà sérieusement compromise tellement tous savent maintenant qu'il est un parfait imbécile heureux qui n'est carrément pas à sa place comme ministre ni même d'ailleurs comme simple député tellement il est asocial.

voir aussi: marie-claude montpetit blogue officiel
Le combat de Marie-Claude Montpetit « Homo politicus

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