La justice version Québécoise...

samedi 21 mars 2009

Duplicité inquiétante du juge en chef de la Cour du Québec, l'«Honorable» Guy Gagnon

Le Journal de Montréal, édition du 19 mars 2009, fait état en page 16 du décès du juge Jean-Luc Dutil. Cet ex-juge qui a «notamment présidé la Commission d'enquête sur le crime organisé (CECO), est décédé hier matin, à l'âge de 77 ans, à la suite d'une maladie foudroyante.»

L'article mentionne plus loin que «Le juge en chef de la Cour du Québec, Guy Gagnon, a parlé du juge Dutil comme d'un homme déterminé, qui n'avait pas froid aux yeux, rappelant qu'il avait d'ailleurs présidé la CECO en 1975.

«Si vous regardez l'histoire de la CECO, vous allez voir la personnalité de ce juge, un homme déterminé et qui était vraiment axé sur la recherche de la vérité. Effectivement, c'est tout un personnage et un homme exceptionnel qu'on perd aujourd'hui», a déclaré le juge Gagnon, en entrevue téléphonique.»

Premièrement et oubliant temporairement les conflits qui m'affligent et qui perdurent avec les différentes Cours en ce moment, je tiens à offrir mes condoléances à la famille du juge Dutil et celle de l'ex-juge Gaston Labrèche de la Cour du Québec décédé dans un accident d'autobus en Argentine, le 17 mars dernier, soit en même date que ma dernière comparution à Trois-Rivières devant la juge Dominique Slater de la Cour du Québec. Mes condoléances vont aussi à la Grande famille élargie de la Magistrature. Personnellement, je considère, qu'effectivement, le juge Dutil a fait du bon boulot en sa qualité de magistrat. Et présider une telle Commission n'était certes une sinécure.

J'aimerais cependant souligner que le juge en chef Guy Gagnon semble seulement apprécier les qualités de détermination et de courage pour faire en sorte de faire découvrir la vérité que lorsque celles-ci émanent d'un juge qui a malheureusement trépassé.

Mais que fait-il lorsque ces mêmes qualités exceptionnelles sont présentes chez un honnête justiciable qui tente de faire découvrir la vérité sur des infractions criminelles graves commises par des juges ? ?

Rappelons que le juge Richard Poudrier, juge de la Cour du Québec à Trois-Rivières m'a, sous son ordonnance loufoque du 20 mars 2008, expédié manu militari à l'Institut Philippe Pinel de Montréal jusqu'en février 2010 pour aucune espèce de raison sauf celle, peut-être, qu'entraîné par ma détermination et mon courage visant une recherche de vérité dans mon dossier judiciaire, j'aurais mentionné au juge Poudrier que l'«Affaire Bourque» du nom de la juge Sophie Bourque, juge à la cour supérieure, soit reconnue par ses pairs et que celle-ci soit condamnée à une peine de prison comme il se doit. Puisque tous savent maintenant qu'afin de protéger autres intérêts supérieurs, celle-ci a entravé le cour normal de la justice en me reconnaissant coupable, tout juste après avoir libéré le jury, de l'infraction unique d'harcèlement inscrite à la dénonciation. Renversant, contre toute attente de ma part, le verdict d'acquittement que celui-ci venait de prononcer quelques minutes plus tôt...

Mais encore faut-il l'entendre si ce verdict fut effectivement prononcé. En ce sens cliquez sur:
http://www.youtube.com/watch?v=3vaRepk3q14 et passer ensuite à l'article suivant pour en savoir davantage sur les répercussions de son geste d'incurie ensuite camouflé collusoirement !

Comme l'a dit un jour le juge retraité, John H. Gomery, qui a présidé pour sa part, la Commission sur le scandale des commandites qui porte son nom: «La vérité est une chose absolument puissante...»

Peut-être que le juge Gagnon et l'ex-juge Gomery devrait se concerter sur la valeur que devrait prendre cette vérité aux yeux de la Cour et ainsi faire plaisir à l'ex-ministre de la justice, Me Gil Rémillard, qui, le 2 octobre 2008, a célébré les 20 ans d'existence de la Cour du Québec en trinquant avec le Barreau du Québec...

Le Barreau célèbre les 20 ans de la Cour du Québec

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pour en savoir plus long sur ma comparution du 17 mars 2009 et l’intégrité (?) de la juge Dominique Slater, tapez: « Ma comparution du 17 mars 2009 à Trois-Rivières: Le pilier de la justice du Québec est-il en train de s’effondrer ? »

Daniel Bédard