La justice version Québécoise...

dimanche 11 novembre 2007

Mario Dumont, chef de l’ADQ et Pauline Marois, chef du P.Q, joueront-ils leur carrière politique respective, mardi le 13 novembre 2007 prochain ?

A ceux et celles qui n’auraient pas encore compris les vraies raisons de l’écroulement du viaduc De La Concorde, je leur dis de faire le test des blocs « Légo » que je propose au jeune orphelin Gabriel Hamel, 9 ans. Exercice facile donc. En ce sens voir mon blog à l’adresse suivante :

http://acharnementjudiciaire.blogspot.com/

Étant persuadé que ce jeune homme courageux et intelligent comprendra, lui, à défaut de nos politiciens ou autres qui se pensent intelligents de saisir ou faire semblant de ne pas saisir.

A Mario Dumont, je lui dis de confier à son jeune fils le même test que j’ai soumis à Gabriel. Ainsi, son fils sera ensuite en mesure de dire à son père imbu de pouvoir conquérant d’aller le dire au premier ministre Charest déchu de pouvoir déficient. De le lui faire savoir donc à l’Assemblée nationale mardi prochain le 13 novembre 2007. De sommer finalement son « adversaire » politique d’avouer avec toute l’humilité que cela requiert, que la commission Johnson qu’il a mis sur pied, était en réalité un « coup monté éhonté » étalé inutilement par surcroît sur plus d’un an afin de tromper le Public plutôt que de l’informer des vraies circonstances de l’écroulement. Et ainsi se rajoutera un $6,000,000 de plus à sa motion de blâme justifiant la tenue de nouvelles élections. D’exiger même que ce $6,000,000 de dépenses inutiles soient remboursées tout de go aux contribuables ainsi floués. Et que les commissaires et procureurs de la commission soient sévèrement blâmés à leur tour, de même que sanctionnés en rapport avec leur comportement allant à l’encontre des dispositions énoncées à l’article 59.2 du code des professions. Et ce, en ayant volontairement consenti à l’accomplissement d’une fonction qui soit incompatible avec l’honneur, la dignité ou l’exercice de leur profession.
Quant aux commissaires, ces derniers se sont par surcroît parjurés en transgressant leur serment d’intégrité entérinés devant un juge de la cour supérieure conformément à la loi sur les commissions d’enquête.

Ce qui est très grave et absolument inadmissible sous quelque réserve que ce soit.

Aussi et puisqu’il parlera de ce $6,000,000, Mario Dumont devra enchaîner en entretenant le P.M d’une réparation en parallèle de $12,700,000, cette fois devant être obligatoirement remboursée à un professionnel trompé d’aplomb par les systèmes professionnel et judiciaire combinés et dans lequel tout comme pour la commission Johnson, l’Ordre des ingénieurs du Québec était directement impliqué en collusion gênante avec le gouvernement libéral corporatiste au pouvoir. Ainsi se rajoutera un 12.7 millions à sa motion de blâme. De parler donc de la mise en demeure à l’O.I.Q afin de le contraindre à fournir dans la semaine du 12 au 16 novembre, les preuves des accusations au criminel ou à défaut réparer comme il se doit. Imaginez un honnête professionnel a passé 18 mois derrière les barreaux pour rien. Puisque les preuves des accusations ne lui ont pas encore été dévoilées en respect pourtant, comme il aurait dû être, de l’arrêt Stinchcombe de la Cour suprême. Et ce, couronnant plus de 4 ans de persécution contemplative éhontée, il devra cesser immédiatement de porter atteinte illicite volontaire à Daniel Bédard en vertu de l’application de l’article 49 de la Charte. Lequel article, par surcroît, est garanti d’application par la Constitution. Enfin, rappeler dans la même envolée oratoire que l’O.I.Q se doit de montrer l’exemple en étant l’ordre la plus représentative en nombre avec ses 54,000 membres. Et qu’au nom de ces derniers, il se doit de les rassurer de nouveau sur sa mission de Protection du Public et non de la protection des porte-feuilles de Charest et Dupuis, tout en décidant de s’inclure peut-être lui-même en toute transparence. Car lui seul ou presque le sait.

A défaut donc de se conformer à la mise en demeure de Daniel Bédard à l’O.I.Q, Mario Dumont devra finalement signifier à ce même O.I.Q via le premier ministre Charest, qu’il devra être reconnu directement responsable à part entière de l’effondrement du viaduc de La Concorde mais aussi de l’effondrement pur et simple et la dissolution du système professionnel engendrés par la perte de confiance totale par le Public en celui-ci. Ainsi donc et par la bande, seront récupérés en taxes sournoises et indirectes, un milliard et 12 millions par année. Montant global imposé aux plus actifs et avertis de notre société, soient aux 325,000 professionnels membres d’ordres professionnels. Auxquels on confirme, par ces deux exemples troublants successifs que toute cette notion de Protection du Public véhiculée depuis des lunes n’est en réalité, que conséquemment de la frime afin d’enrichir certains heureux élus passifs sélectionnés de clubs sélects menant la vie de pacha sur le dos de l’ensemble des membres actifs.

Oui, comme dirait Pierre R. journaliste-citoyen de Cent-papiers, Mario Dumont jouera effectivement à « qui perd ou gagne » mardi prochain à l’Assemblée Nationale. Mais l’offre de rachat de sa carrière politique qui pourrait donc se jouer cette semaine est, comme dirait « Le Banquier » beaucoup plus importante que ce que rapporte en diapason Pierre R. via son article. Et cette carrière pourrait tout simplement s’arrêter là si ce dernier n’y donne pas suite. Et qui plus est, si Madame Marois n’engendre quelque action concrète non plus en appui ou compensation, celle-ci, en plus de mettre ainsi sa carrière en jeu, pourrait en même temps essuyer une motion de blâme et d’irresponsabilité sévère pouvant être déposée par le Public. Cette fois, à l’égard des trois principaux partis politiques du Québec afin qu’ils confirment tous trois à nouveau, que leurs élus voient bien au maintien d’un régime démocratique et non en sourdine et en catimini à celui d’un régime totalitaire. Pour fin de subordonner hypocritement ainsi, les droits de la personne humaine à la raison d’État.

Au fait donc, et au lieu du montant de $7,000,000 divulgué par Dumont lui-même et pouvant semble-t-il être récupéré de l’abolition de gestion des commissions scolaires, c’est bien un milliard trente huit millions de dépenses inutiles dont dispose Mario Dumont pour confirmer de façon beaucoup plus solide sa motion de blâme ou de censure envers le gouvernement libéral au pouvoir en s’aidant ainsi du « flop » de la commission Johnson. Pouvant de ce fait, justifier plusieurs fois le montant de $75,000,000 devant être consacré à la tenue d’élections générales visant un changement de gouvernement dans les meilleurs délais possibles. Mario n’avait donc aucune raison de se faire ridiculiser en présence de ses 40 députés assis en choisissant simplement la bonne stratégie et les bons chiffres lesquels s’imposaient d’emblée d’être dévoilés, de toute manière. Et ce, en toute transparence.

Et vlan dans les flancs !, Monsieur le leader parlementaire du parti libéral. Un certain Jean-Marc Fournier, je crois qu’il s’appelait. Lequel s’occupait semble-t-il, de nos revenus ainsi ?


Daniel Bédard

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