La justice version Québécoise...

jeudi 15 novembre 2007

Lorsqu’on accuse au criminel, il faut en faire la preuve : La responsabilité ultime du rédacteur Pierre R. de Cent-papiers

Malgré mon dernier article percutant et irréfutable apporté même sur la plate-forme de Cent-papiers, un journal électronique axé sur le journalisme-citoyen : ''Esclandre à la Cour d’appel : Que faire lorsque le Plus Haut Tribunal du Québec fait défaut de juridiction sur un droit légitime d’obtenir des preuves ?'', le journaliste Pierre R., sans doute investi d’une mission quelconque et non satisfait de qualifier Valery Fabrikant de plaideur quérulent, affirme de la même envolée sur la plate-forme et en supplique aux commentaires de son article, que je suis au même titre que l’appréciation qu’il en fait, un plaideur quérulent.

Or, voici que Monsieur le journaliste-citoyen s'improvisant ainsi psychiatre et criminaliste s’aventure dans un terrain pour le moins glissant en plus de faire preuve d’un manque flagrant d’objectivité. Chose curieuse et déroutante pour un journaliste ayant quelque 192 articles à son actif sur la plate-forme.

Sans doute en appui secrète au fraudeur et avocat Jean-Claude Dubé, Monsieur Pierre R., qui ne veut pas me dévoiler son nom de famille au complet (je peux maintenant comprendre pourquoi il travaille sous le couvert de l’anonymat) devra maintenant faire de deux choses l’une :
Soit s’excuser à moi de m’avoir qualifié ainsi sans même avoir une connaissance suffisante de mon dossier ou soit réfuter les principaux points que mon blog véhiculant et dénonçant certaines irrégularités troublantes du système judiciaire. Et me démontrer ainsi qu’il avait au contraire une connaissance suffisante de mon dossier pour pouvoir en juger comme il l'a fait.

Conséquemment, Pierre R., sous considération qu’un plaideur quérulent est pathologiquement avant toute chose une personne avec une imagination fertile, devra obligatoirement s’il choisit la deuxième option, informer les lecteurs et futurs justiciables avertis et leur démontrer « hors de tout doute raisonnable » que :

1) L’affaire Rayle est le fruit de mon imagination et que l’endos produit par le greffe dont copie conforme de l’original se retrouve sur mon blog n’est ni postdaté, ni un document comportant un jugement rendu d’avance par la juge Pierrette Rayle.

2) L’affaire Coupal est le fruit de mon imagination et qu’il n’entend pas sur l’extrait sonore la juge Coupal me déclarer coupable des infractions reprochées parce que celles-ci sont « subséquentes » aux infractions de même nature pour lesquelles un jury m’avait acquitté en décembre 2005.

3) L’article 610 (1) du code criminel quant à 2) est le fruit de mon imagination et que le principe de la chose jugée ne trouvait non plus son application dans l’affaire Coupal.

4) L’affaire Bourque est le fruit de mon imagination 2 fois plutôt qu’une car :

5) Il est tout à fait normal de ne pas entendre le prononcé du verdict du juré no. 1 sur la copie de l’enregistrement mécanique de cour et que donc le jury m’a déclaré coupable de toute manière puisque la juge Bourque l’a dit (La famille Bougon lui a rendu visite) ou,

6) Il fut vérifié par Pierre R. qu’on entend au contraire le « coupable » sur la reproduction de l’enregistrement mécanique de cours de l’audience du 21 juin 2006 qu’il s’est procuré au greffe criminel du palais de justice de Longueuil.

7) L’article 672.26b du code criminel est le fruit de mon imagination et que donc la juge Bourque n’avait absolument pas à assermenter de nouveau le jury après le prononcé du verdict pour juger de mon aptitude à comparaître nonobstant que le procès était terminé.

8) Suite à ses propres vérification au greffe de la Cour d’appel qu’aucun numéro de dossier d’appel ne me fut accordé considérant qu’aucune requête en appel (1er condition) du jugement de la juge Bourque de ne pas me permettre la réécoute du prononcé du verdict, ne fut reçue au greffe.

9) Il était de ma responsabilité de bien saisir le verdict et que le juge en chef du Québec, Michel Robert se devait pour cette raison de ne pas m’accorder mon droit d’appel. Ainsi il avait raison de déroger à l’article 23 de la Charte parce qu’il en a le droit étant donné qu’il est juge en chef du Québec. Ma demande d’appel était donc le fruit de mon imagination fertile.

10) L’avis du comité de révision de l’O.I.Q qui a statué le 28 janvier 2004 qu’il y avait lieu de porter plainte à l’égard de l’ingénieur Pierre Sicotte et apparaissant en copie conforme à l’onglet : « l’O.I.Q au pilori ! ? » est le fruit de mon imagination fertile.

11) J’exagère en demandant que l’ingénieur Sicotte dépose la preuve de ses accusations d’harcèlement soient les rapports de mai et juin 2003 car la seule parole d’un ingénieur suffit en droit criminel.

12) l’arrêt Stinchcombe n’est que de la frime inventée par la Cour suprême pour les technologues professionnels mais s’applique seulement lorsqu’il s’agit des droits en défense des ingénieurs.

13) l’article 35 de la Charte n’existe pas et est encore le fruit de mon imagination fertile.

14) Que tous les juges sans exception sont honnêtes intellectuellement, intègres et loyaux. Et que le juge James L. Brunton, j.c.s s’est manifestement trompé en 2005 en condamnant le juge Bourbonnais pour 6 ans de prison pour corruption.

15) Que finalement se faire un devoir de faire un article à l’effet qu’une pomme pourrie parmi des pommes saines ne les pourrit point. (consulter le rédacteur Paul de Montréal à cet effet qui a pondu récemment un article sur les pommes des vergers du Québec )

16) Réfuter mon dernier article même s’il est irréfutable.

Ainsi après telle analyse empirique de Pierre R, tous les lecteurs pourront dire que ce journaliste-citoyen érudit ne dit pas n’importe quoi parce qu’il est un rédacteur qui puise ses informations à la source. Donc, un journaliste consciencieux qui demeure parfaitement objectif pour ses raisons et peu importe les circonstances.

Un petit peu mal pris ou embarrassé, Pierre R., peut-être ?

Après Mario Dumont, à vous de jouer à « qui perd gagne » maintenant. A moins de consentir par votre laxisme et inhibition à passer pour un imbécile ou un insignifiant. Chose qui pourrait que me surprendre de vous. Ainsi, je vais voir si au contraire vous avez une dignité et un honneur en me réfutant considérant que vous en avez l’ultime obligation de par la portée très grande de conséquence de votre accusation envers un autre rédacteur de Cent-papiers par surcroît. Ce dernier, voyez-vous, est désireux de conserver la crédibilité qu’il s’est gagné par ses articles. Lesquels, rappelons-le, ont été consentis de publication par la direction pour ce principal motif. Les retirer de la plate-forme est un entorse sévère à la liberté de presse et à l’article 19 du standard international. Ce manquement pourrait même faire l’objet d’une plainte au Conseil de presse à l’égard de ses dirigeants ainsi que vous-même par votre faute. Ce Conseil pourrait de cette manière confirmer à nouveau son utilité relative de tribunal d’honneur en lui faisant honneur d’être cité devant eux.

Aussi, en faites-vous partie intégrante de cette direction pour avoir autant d’influence sur messieurs Wauthier et Niquet. Et pourquoi ce volte-face déroutant soudain ? Ne suis-je tout à coup plus crédible ? N’est-ce pas plutôt parce que j’ai raison, par hasard, et que cette vérité, puissante, selon le juge Gomery, risque de faire mal à certains de vos amis de la magistrature ou de son entourage direct ?

Comprenez pourquoi maintenant qu’elle est puissante cette vérité…

Et que l’illustre magistrat n’a pas parlé pour ne rien dire.

J’ai vraiment hâte de vous lire maintenant…

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Otherwise you may feel frustration to play these games.

When you decide to buy the Flight simulator
Game, then first you have to be sure that exactly what are you want.
Multiple PC and Controller Support Install on as many PCs/MAC as you like.

Initially, it took a little while to go through the manuals and understand how it works,
but once that was done, it was a breeze. Yes, it may be true, but the training flights are different.