La justice version Québécoise...

lundi 19 novembre 2007

Incompétence crasse des ingénieurs Gilles Dupaul et Pierre Sicotte et similitude dans les deux cas : des surcharges mal évaluées en porte-à-faux

Je n’en reviens toujours pas du témoignage de 6 heures absolument loufoque de l’ingénieur Pierre Sicotte de Longueuil lors de mon procès qui s’est déroulé en juin 2006 au Palais de justice de Longueuil.

Son témoignage n’a servi finalement qu’à confirmer son très haut niveau d’incompétence. J’irai jusqu’à dire une pratique de sa profession d’ingénieur dangereuse pour le Public dans son cas.

Manifestement les questions de la procureure Louise Leduc avaient été préparées par l’ingénieur Sicotte lui-même afin de tenter ainsi de subjuguer le jury et ne pas avoir à avouer son incompétence. Considérant que pendant le procès celle-ci a démontré son ignorance complète du champs d’activité de son « client privilégié » en étant même capable d’établir la différence entre une poutre et une colonne. Éléments qu’elle confondait constamment. Pas très fort tout cela.

Vous pouvez vous imaginez le cirque qui s’est installé lorsque celle-ci a tenté de convaincre le jury de mon incompétence lors de mon contre-interrogatoire par elle-même. Alors que je suis un spécialiste du détail de structure ou un « detailer » dans le jargon du domaine. Pour ne pas trop mélanger le jury, il fallait que je reformule les questions que la procureure de la Couronne me posait. Je n’étais même obligé de témoigner pour moi-même mais l’ait fait simplement afin de corriger toute la merde qu’elle avait véhiculée tout croche et de ce fait informer en final correctement le jury. Soit durant ma plaidoirie. Le contre-interrogatoire qui a précédé a également été marquant pour le jury. Marquant de constat de l’incompétence de la procureure Louise Leduc elle-même. Non pas dans l’ingénierie; ce que tous pouvait comprendre. Mais bien carrément incompétente comme procureure et avocate de sa profession. Ce pourquoi je désire l’amener devant le comité de discipline du Barreau afin qu’on lui enlève son droit de pratique. Puisque dangereuse est-elle. Laquelle a tenté, en autres, de me faire admettre des antécédents judiciaires que je n’avais même pas. Et ce, devant un jury complètement médusé.

Quant à l’ingénieur Sicotte, je me suis mis à être gêné pour lui quand il s’est mis à développer sa théorie de clous dans le béton pour retenir une cornière d’acier supportant un mur en porte-à-faux. Ne pouvant m’objecter selon la juge Bourque, mes orteils se sont mises à se contracter ensemble; mal à l’aise que j’étais de ne pouvoir relaxer mes métatarsiens en étant enchaîné aux chevilles comme un vulgaire criminel dangereux.

Imaginez. Après avoir volontairement fait échoué le processus disciplinaire en mars afin de ne saisir des personnes supposés compétentes en la matière, M. Sicotte et l’O.I.Q manifestement derrière lui ramène tout cela au criminel pour tenter de subjuguer les membres du jury. Lesquels ne pouvait autrement qu’être profanes en la matière. D’une bassesse et mesquinerie à grandeur de l’individu lui-même. Lequel en m’a été finalement utile que de par son attitude sournoise même, d’apprendre à le connaître ainsi à travers notre litige.

En mettant fin abruptement le 20 mars 2006 à l’audience disciplinaire
planifiée par surcroît d’être séances consécutives tenues jusqu’au 24 mars 2006 inclus, le comité ne m’a permis ainsi de saisir et expliquer comment j’en sois venu au constat que l’ingénieur Sicotte dans sa pratique pour le moins déficiente, ne procédait jamais à des calculs de charge. Préférant y aller en « overdesign »; procédure coûteuse pour tous ceux qui en ont à absorber le coût durant les travaux mais permettant ainsi à l’ingénieur Sicotte de se couvrir les fesses avec le moins d’effort possible sans se soucier des intérêts de son client quant aux coûts plus élevés qu’entraînent un tel laxisme et nonchalance indignes de la part d’un ingénieur ou tout autre professionnel. Rappelons que je fus convoqué chaînes au pieds et menottes aux mains tel un forçat à l’audience tenue en gestion d’instance le 10 janvier 2006. Comme si j’étais menaçant de fuir cette audience que j’avais moi-même désiré en décidant de porter plainte en privée un an plus tôt soit le 15 mars 2005. Or cette première audience fut tenue afin de justement fixer ces dates pour que celles-ci ne rentrent pas en conflit avec autres dates. Lesquelles furent par ailleurs consignées au procès-verbal de ladite audience de gestion d’instance.

De la même manière et parce qu’il n’élaborait en réalité aucun calcul, il a été incapable d’avouer qu’il ne pouvait autrement avoir « oublié » 6 poutres dans sa conception précisément pour cette raison. Ne couvrant de façon responsable ainsi la justesse des informations aléatoires indiquées sur son plan d’ingénierie scellé et signé. Les poutres étant requises, entre autres, afin d’assurer la stabilité statique d’un bâtiment plus haut que large. Pour cette raison, il aurait donc tenté de faire passer son plan erroné pour un croquis dont je devais me servir afin d’élaborer moi-même, selon ses dires, le plan d’ingénierie. Déresponsabilisation absolument déroutante. Considérant que la loi sur les ingénieurs même ne nous aurait permis de fonctionner ainsi. Et il avait été établi dès le départ entre nous qu’on ne pouvait la respecter autrement que de la manière que j’avais suggéré; à distance qu’on avait choisi de travailler le projet conjointement. Et non donc, sous sa supervision et surveillance immédiate. Dites supervision et surveillance dont il aurait tenté, lors de son témoignage, de s’attribuer le mérite dans sans même y avoir procédé de quelque façon en réalité.

Mon mandat à moi consistait à élaborer les documents de montage et de fabrication. Et lui devait élaborer les calculs et le plan d’ingénierie de base confirmant le choix des composantes déterminées par ses calculs. Comme dans n’importe quel autre projet du genre pourtant. que j’avais l’habitude d’entreprendre avec autres ingénieurs. Rien de nouveau finalement pour moi. Mais que de complexité pour lui !

Parce qu’il s’était trompé au départ, l’ingénieur Sicotte a tenté de faire avorter mon mandat en reportant inutilement les échéances normales de celui-ci en refusant de sceller les documents de montage et fabrication comme convenu lors de notre entente.

Par ailleurs, le rapport de ladite enquête du syndic-adjoint Dumas de l’O.T.P.Q qui m’a été signifié le 10 décembre 2004 ne signale quelque erreur ou omission dans l’exercice de ma profession. Alors qu’avait-on au juste à me reprocher ? Et pourquoi ne les a-t-il pas scellé ces documents si tout avait été fait selon les normes ou les règles de l’art du domaine d’application. Strictement pour me nuire ? Il semble que cela a été le cas. Ne pouvant malheureusement en inférer autrement.

Ce qu’a d’ailleurs compris bien avant M. Dumas, le comité de révision de l’O.I.Q. Lequel statuait 10 ½ mois plus tôt soit le 28 janvier 2004 qu’il y avait lieu de porter plainte auprès du comité de discipline de l’O.I.Q. En ce sens, voir sous l’onglet : L’O.I.Q au pilori ? !, copie du document original signé par les ingénieurs Asselin et Letellier de même que Monsieur Richard Leduc lequel agissait à titre de membre et représentant du Public. Copie conforme par surcroît contresignée par l’avocate Manon Bonnier laquelle agissait pour sa part comme secrétaire du comité de révision.

Bon. Tout le monde a bien travaillé ? Est-ce qu’on peut passer à autre chose maintenant ?

Non. Ainsi en a choisi l’Ordre des ingénieurs du Québec. En décidant de faire volte-face pour des raisons pour le moins obscures considérant que les dites raisons ne m’ont toujours pas été dévoilées. Lequel ordre a été d’une mesquinerie sans nom en supportant son ingénieur fautif dans une plainte en croisée de nature criminelle à mon endroit. Plainte d’une imbécillité déconcertante à en couper le souffle.

Voilà où mène l’orgueil d’un ingénieur dans la mi-cinquantaine dont la sagesse aurait du le rejoindre pourtant mais manifestement en contradiction avec lui-même et en recherche de sauvetage de sa propre image. Quant à l’O.I.Q celui-ci cherchait selon toute évidence à sauvegarder celle de la profession d’ingénieur pour les mêmes raisons.

C’est précisément là que se rejoignent le dossier disciplinaire de l’ingénieur Sicotte avec celui qui aurait dû être tenu à l’endroit de l’ingénieur Gilles Dupaul de Desjardins-Sauriol devenu Dessau-Soprin.

En se servant de son influence et en biaisant donc volontairement les conclusions via les 2 ingénieurs et commissaires Armand Couture et Roger Nicolet (on peut omettre M. Johnson lui-même), l’O.I.Q a voulu ainsi protéger l’image de la profession d’ingénieur plutôt que de voir à la Protection du Public. Ce qui est très grave et mon rôle en tant que professionnel compétent est que je ne peux tout simplement faire passer tout cela sous silence si mon expertise me permet d’amener « hors de tout doute raisonnable » tout autre conclusion.

Le rapport de la Commission Johnson doit être invalidé parce que les poutres-caissons évidées montrés au schéma de coupe transversale même sont en réalité des poutres pleines en béton standard.

Ainsi le rapport a tenté de cacher au Public que la charge sur le massif d’appui était en réalité 4 fois plus grande de ce qu’elle aurait été si le concept de l’ingénieur Dupaul avait bien été celui d’utiliser des poutres-caissons dans telle application. Le concept de dalle épaisse ne pouvait tout de même être de 36’’ d’épais car dans tel cas c’est l’ingénieur Dupaul lui-même qui ne peut autrement qu’être qualifié d’ « épais ». Épais dans le plus large d’avoir pu penser que le massif d’appui pouvait supporter une charge aussi grande sans effet destructeur à moyen ou long terme dus aux efforts indus en cisaillement. Efforts exercés précisément dans le prolongement de l’axe du joint de dilatation; créant ainsi une faiblesse dès l’installation à l’origine.

Par ailleurs l’armature montré aux plans originaux et aux schémas de par le type d’installation et de configuration même ne pouvait que contrer des efforts en tension. Alors que le massif lui-même n’était exclusivement sollicité que d’efforts en cisaillement. Ce qu’aucune barre d’acier n’empêchait de par leur disposition même montrée aux plans.

Le curé Maurice Comeau de la Paroisse St-Sylvain de Laval a été rencontré par moi-même le 16 novembre dernier m’a bien reçu et bien compris. Rappelons que le 1er octobre, le Journal de Montréal citait Monsieur Comeau : « Lorsqu’on nous cache la vérité, c’est qu’il y a du malin »

Par ailleurs soutenu d’un précepte d’un Grand magistrat d’Honneur portant le nom de John H. Gomery qui a dit aux conclusions de la sienne que la vérité est une chose absolument puissante, j’ai compris sans qu’il m’en fasse mention, que cet ex-juge de la cour supérieure et vivant maintenant d’une belle retraite dorée, serait on ne peut plus fier de moi si je lui permettais de vérifier son précepte via la Commission Johnson.

Encore une fois, j’invite tout ingénieur ou expert en structure à venir réfuter ma théorie. Mais je suis d’avis que celle-ci, à juste titre est irréfutable.

Je demande donc à l’Ordre des ingénieurs de faire amende honorable et d’avouer leur geste d’incurie grave et collusoire avec le gouvernement libéral Charest au pouvoir. Lesquels devront s’excuser auprès du Public et du jeune orphelin Gabriel Hamel. Considérant que ce petit bonhomme ne s’est pas trompé en sollicitant tel geste normal du constat que des raisons autres ont été invoquées au rapport Johnson afin de tenter ainsi de disculper autrui.

Or, dans tel cas, les normes établies de la bienséance et du savoir-vivre nous dictent qu’il faille tout simplement s’excuser auprès des personnes préjudiciées par telle tentative de disculpation.

Ainsi dans le cas de la Commission Johnson, ce fut une tentative de disculpation de l’ingénieur Dupaul, alors que dans mon cas, ce fut une tentative de disculpation de l’ingénieur Sicotte. Par conséquent je demande donc également des excuses publiques conjointes de Jean-Charest, Jacques P. Dupuis et Monsieur Zaki Ghavitian pour la détention arbitraire et inutile de 18 mois d’un professionnel et québécois pure-laine qui a vu au contraire à protéger le Public par le simple étalage de ses compétences acquises.

En résumé, deux tentatives vaines lesquelles ne peuvent autrement qu’être mise sur le compte de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

Compte-tenu de la portée incroyable de l’offense et des gestes successifs absolument inadmissible de la part d’une entité voué à la Protection du Public et du gouvernement qui a curieusement supporté telles offenses gênantes, je demande réparation exemplaire conjointe de 25,4 millions. Montant important s’il en est mais obligé afin de ne pas permettre toute tentative de récidive collusoire de la part de l’O.I.Q, l’O.T.P.Q, du Barreau ou de tout ordre professionnel qui pourrait être tenté de biaiser les processus en s’alliant à autre ordre ou avec le gouvernement lui-même en défaveur d’un demandeur d’enquête responsable en lui enlevant sournoisement par surcroît son droit d’intenter une action en justice en faisant entériner par la cour supérieure et via Me Jean-Claude Dubé, une injonction permanente allant à l’encontre de l’esprit de l’article 52 de la Charte de même qu’à l’encontre de sa mission explicitée à l’article 23 du code des professions. Assurance de protection que ce gouvernement se devait d’entretenir via l’Office des professions; responsabilité qui semble, comme le reste, avoir complètement échappée à M. Jacques P. Dupuis. Lequel, rappelons-le, est également ministre responsable de l’application des lois professionnelles.

Ce genre d’exercice dévolutif scabreux doit absolument être prohibé à tout jamais si on ne veut perde complètement confiance à nos entités gouvernementales et éteindre, en parallèle, le système professionnel de façon définitive en menaçant encore de ces manières la Protection du Public.

Le geste de l’O.I.Q est davantage scabreux du fait que ce n’est certes les moyens qui leur manquent avec $15,000,000 de budget annuel provenant des cotisations de leur 54,000 membres. Or, en faisant mettre sur pied une Commission par le gouvernement Charest, l’O.I.Q
en plus de se déresponsabiliser de façon gênante, s’arrangeait ainsi pour passer la facture de $6,000,000 aux contribuables au lieu d’avoir à la défrayer.

Ce qui est absolument indécent de sa part et couronne grassement ce geste d’incurie collusoire très grave. Geste que le Haut Commissariat des droits de l’Homme avec, à sa tête, Madame Louise Arbour, ne peut autrement que dénoncer vertement telle irréflexion. Et ce, afin de ne pas affecter l’image et sa cote de respect et d’influence du Haut Commissariat lui-même au niveau de sa reconnaissance internationale quant aux décisions touchant directement la Protection des droits des individus mais aussi et plus particulièrement la sécurité du Public.

Daniel Bédard


P.S : J’espère que cet article réponds définitivement aux interrogations de Pierre R. du journal électronique Cent-papiers lequel disait ne pas comprendre par ses commentaires inappropriés que mon dossier et celui ayant engendré un orphelin du nom de Gabriel Hamel ne pouvait de quelque manière être reliés.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

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