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jeudi 15 novembre 2007

Censure de la part de Cent-papiers allant à l'encontre de la liberté de Presse

Chers internautes avertis,

Soyez aviser que le journal électronique Cent-papiers a censuré mon article ''Oui, M. Charest, des excuses s'imposent au jeune orphelin Gabriel Hamel". Cette censure a été faite en retirant complètement de la plate-forme l'article en question de même que les commentaires pour le moins pertinents qui s'y étaient greffés depuis le début de septembre.

Il est clair et ne pourrait en être autrement que cette commande provient du cabinet du premier-ministre Charest lui-même. Lequel aurait vraisemblablement "menacé" Cent-papiers de leur couper toute subvention s'il ne donnait pas suite à leur demande.

Car je ne peux en inférer autrement. Considérant qu'une conversation honnête et franche avait pris séance avec Monsieur Jean-Philippe Wauthier peu avant la parution de l'article a l'effet que ce dernier se soit montré d'accord pour ne pas déroger à l'article 19 du standard international quant à la primauté d'OBLIGATION de divulgation de l'information au Public lorsque des gestes d'incurie graves impliquant des administrateurs publics, sont allégués preuves tangibles et vérifiables à l'appui.

Voilà comment notre premier ministre traite les citoyens qui ont en conscience de vouloir vraiment protéger le Public et qui se montrent responsables. Autre preuve donc après celles décrites plus bas au blog que pour monsieur Charest et monsieur Dupuis plus un professionnel se montre responsable, plus il se voit bafoué dans ses droits garantis à la Charte. Allant ainsi à l'encontre même de la mission de l'Office des professions du Québec qui est celle de voir à ce que les ordres professionnels voient à la Protection du Public.

Gênant vous dites, vous avez le droit de le penser.

Pendant ce temps, important par contre pour M. Charest de voir au culte féminin et faire tout de go modifier la Charte en conséquence.

En intervenant ainsi, M. Charest démontre avoir de nouveau déroger à l'article 19 du standard international (son comportement pourrait même être soumis en questionnement à l'O.N.U) , de déroger à l'article 3 de la Charte (droit à la libre expression) et à la 2ie mission du Conseil de Presse qui est celle d'assurer une liberté de presse pour tout journaliste consciencieux désirant informer correctement le Public comme il se doit.

Évidemment, tout cela va en concordance avec la philosophie adoptée par le gouvernement de ne pas faire connaître au Public les vraies circonstances de l'écroulement du viaduc De La Concorde. Ces vraies raisons sont expliquées preuves tangibles à l'appui plus bas dans le blog et sont issues, imaginez, du rapport d'enquête de la commission Johnson.

Le plus troublant, c'est que les médias comme Le Devoir, La Presse, Le Journal de Montréal, T.Q.S, T.V.A, et Radio-Canada se donnent tous le mot pour soumettre la nouvelle en rétention.
Protégeant ainsi l'O.I.Q mais portant grave préjudice au Public. Lequel ne demande qu'à être protégé comme il se doit.

Ainsi ces six médias contreviennent ainsi eux-mêmes à l'article 19, si bien que leur méfait collusoire pourrait être soumis à l'analyse de Reporters sans Frontières et l'O.N.U.

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