La justice version Québécoise...

samedi 20 octobre 2007

Un exemple frappant de la bêtise humaine : Constatez jusqu’où peut aller l’incurie collusoire et la malhonnêteté intellectuelle

Chers internautes,

Vous aurez l’occasion en parcourant mon blog et si vous vous en donnez réellement la peine par respect également pour vous-même et envers moi, de réaliser jusqu’où peut aller la bêtise humaine.

Une vingtaine de juges (pour ne nommer que les principaux) de la Cour du Québec, de la Cour supérieure, du Tribunal des professions et de la Cour d’appel et une vingtaine d’avocats et procureurs de la Couronne se sont donnés le mot pour me porter préjudice sévère et atteinte illicite volontaire dans ma revendication du respect de mes droits pourtant garantis par la Charte des droits et libertés de la personne.

Ce que vous allez lire et entendre est hors du commun. Vous en serez peut-être choqué ou navré. Peut-être même que tout cela peut vous passer mille lieux au-dessus de votre tête parce que sans doute vous vous dites chanceux que cela ne touche pas votre petite personne. Pour l’instant ! Et je ne souhaite à personne de passer dans le concasseur du collimateur judiciaire. Quand des juges se donnent le mot pour le faire, leur pouvoir abusif sur l’individu peut être d’un degré de dangerosité épeurant. Je ne vous en dis pas plus et vous laisse le constater par vous-même.

Par conséquent je demande de faire un effort d’empathie pour comprendre les sentiments de demandes pourtant bien légitimes de justice qui m’habitent. Ce pourquoi j’ai décidé d’enlever mes filtres et réserves et de dénoncer publiquement. De dénoncer en réponse à cette mesquinerie sans nom qu’on s’est amusé à perpétuer sur mon honnête personne.

Parce qu’un jour en juillet 2003, et en professionnel responsable, j’ai décidé de demander à un certain syndic du nom de Louis Tremblay de l’O.I.Q qu’une enquête soit instituée à l’endroit d’un ingénieur de Longueuil du nom de Pierre Sicotte que j’avais mandaté de bonne foi en mai 2003. Et afin de protéger le Public contre son incompétence notoire et sa démonstration de grande mesquinerie. Indigne de la part d’un professionnel qui se dit membre d’un ordre professionnel aussi prestigieux que celui de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

Mal m’en pris car après m’avoir pourtant donné raison via son comité de révision en janvier 2004, le Bureau de l’O.I.Q décide de faire vraisemblablement volte-face dans le dossier, déroge carrément de leur mission de Protection du public, et appuie au contraire leur ingénieur fautif et m’entraîne contre toute attente de ma part dans un espèce de méandre judiciaire sans nom. Lequel n’avait qu’un seul but soit celui de m’annihiler complètement et me montrer qui était Goliath…et le pouvoir absolu sur les individus. On achète maintenant de tout : même des âmes et conscience grâce à l’argent. Quant aux valeurs morales de société, on peut repasser. J’en fait le constat pour le moins gênant qu’elles ne doivent plus maintenant faire partie de nos priorités.

Pauvre Monsieur Bourassa. Voilà ce qu’on en a fait de son système professionnel qui en 1973 avait pourtant été mis sur pied d’une honnête volonté de protéger le Public et non afin de détruire l’individu…

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