La justice version Québécoise...

samedi 13 octobre 2007

Ne pensez-vous pas que la juge Sophie Bourque doit être démise immédiatement de ses fonctions ?

Grâce à votre inhibition et laxisme, vous avez, Messieurs Charest et Dupuis, démontré ainsi aux yeux de tous vos citoyens et citoyennes du Québec avoir voulu cacher la vérité sur le geste d'incurie grave commis par la juge Sophie Bourque lors de mon procès qui s'est déroulé en juin 2006 au palais de justice de Longueuil ? Et cela ne vous honore pas tellement. Ne trouvez-vous pas ?

Aussi la Charte ne nous et ne vous rappelle-t-elle pas que tous sommes égaux en droit ?

Or si Madame Bourque a commis une faute qui s'appelle, comme vous le savez très bien, de l'entrave à la justice, ne pensez-vous pas que celle-ci au lieu de siéger comme si rien n'était, devrait plutôt être punie ? Ce n'est donc pas correct, à mon avis et sûrement à l'avis de plusieurs que Madame, après avoir suggéré une sentence-bonbon à la Cour pour son client, le pédophile Guy Cloutier et sous seule réserve qu'elle ait été nommée juge 2 mois plus tard par ses pairs, peut se permettre d'être ensuite au-dessus des lois et de s'approprier dangereusement ainsi tous les droits. Incluant celui de porter préjudice sévère à un honnête professionnel et prolonger indûment l'atteinte illicite à son endroit. Alors que cet homme respectable n'a violé quelque jeune fille que se soit durant sa carrière ainsi écourtée par cette juge. Lequel, seul, sans avocat, s'est très bien défendu, par surcroît, de ladite charge unique d'harcèlement pour le moins farfelue et injustifiée qu'on lui reprochait. Le jury l'a compris, lui, en prononçant le non-coupable ! Non pas la juge Bourque, simplement pour certains intérêts personnels généreux dont elle s'était habitué avec des clients tel Cloutier. 7 mois de détention et autre Noël en prison loin de mes proches et amis au lieu d'être acquitté. Cela s'appelle de la persécution. Non plus de la justice. Désolé, Madame Bourque mais vous ne me volerez pas en plus ma dignité d'homme. Cela jamais.

J'aimerais également rappeler à madame Bourque qu'elle a peut-être oublié durant mon procès qu'elle était juge et non avocate de la Couronne ! Ce fut le choix de Sophie, selon toute vraisemblance. Madame devra maintenant vivre avec son choix en conscience durant le reste de sa carrière. Si poursuite d'un tel début chancelant de carrière, l'État doit permettre. Et être ainsi lui-même en mal de conscience pour longtemps.

Alors que fait-on, Messieurs, avec ce cas particulier si ce n'est que pour parler de celui-ci en premier ? Puisqu'il explique à lui seul l'élucubration dans la conduite des autres.

Une réponse vous oblige encore plus maintenant. Étant donné l'action en dommages-intérêts punitifs qui vous pend au bout du nez et dont vous devez de toute manière répondre pour le bénéfice de tous les contribuables. Lesquels veulent savoir maintenant du comment et pourquoi vous disposez futilement ainsi de leur argent durement gagné ?

P.s: LeDevoir.com en a déjà traité en réaction aux articles du journaliste Brian Myles sur la justice alors pourquoi vous complaire plus longtemps dans le déni ? Plutôt gênant de la part d'un ministre de la justice et d'un premier-ministre ? Ne trouvez-vous pas ?

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