La justice version Québécoise...

dimanche 14 octobre 2007

Lettre au procureur du Journal de Montréal

Toujours blindé par l'article 19 du standard international quant à la primauté d'OBLIGATION
de divulgation de l'information laquelle n'a même, imaginez, été honorée par quelque média radiophonique ou télévisé.

Cachant ainsi au Public cette VÉRITÉ toute crue et amplement démontrée sur un dossier qui est devenu par l'absurdité de la chose, un dossier d'intérêt public. VÉRITÉ dont s'est vantée Esther Bégin de T.Q.S en promotion et en prévision de sa programmation automnale en affirmant vouloir la révéler sans aucune réserve; alors qu'au contraire le réseau dit du mouton-noir de la télé n'a fait quelque effort de dénoncer ces 3 brebis galleuses de Dame La Magistrature du menu de droite. Lesquelles, selon toute vraisemblance, furent protégées de façon gênante par le Conseil Canadien de la Magistrature. Alors que la mission de ce dernier est plutôt celle de voir à enquêter les comportements anormaux de juges afin d'assurer l'intégrité globale de l'appareil judiciaire et rassurer le Public sur le maintien de l'exercice d'une justice saine et naturelle rendue par leurs juges.

Pour ainsi faire la sourde oreille à mes nombreuses demandes d'information en ce sens: Jean-Luc Mongrain et Michel Gauthier se désistant à leur tour de façon pas très rassurante et gênante quant à leur intégrité respective et devoirs envers le Public. Public qu'ils ont très mal desservi en plus de contribuer fortement ainsi au maintien et prolongement insoutenable de l'atteinte illicite intentionnelle à mon endroit.

J'ai demandé d'être invité à Pourquoi et à Gauthier et ils m'ont tout simplement ignoré. Comme si je n'existais pas ! Même Claude Poirier de T.V.A a fait de même après pourtant des pourparlers et messages laissés par lui-même dans ma boîte vocale et me laissant croire à des développements de ce coté et rencontres avec certains journalistes du réseau qui les engage pourtant à cette fin. Soit celle d'informer correctement le Public !

Or donc, que ce soit à ce jour dans ces "affaires" pour le moins abracadabrantes, et suite à l'inhibition à son tour démontrée par Me Pageau, je me vois donc dans l'obligation de rendre publique la présente et assurer, de nouveau, cette responsabilité à leur place:

Repentigny, le 28 septembre 2007

Me Bernard Pageau
612 St-Jacques, 4ie étage
Montréal, Québec
H3C 4M8

CONFIDENTIEL
PAR TÉLÉCOPIEUR (514) 985-8834

Objet : dossier No. : 2007-07-001

Me Pageau,

Considérant que votre demande auprès du Conseil de Presse du Québec n’a aucune chance de succès en conséquence de ce qui est mentionné à cet effet sur mon blog à l’adresse suivante :
http://acharnementjudiciaire.blogspot.com/

Considérant que l’image de votre cliente Le Journal de Montréal pourrait considérablement être affectée par rapport à telle couverture négative.

Considérant que mes motifs expliqués sur mon blog et expliquant les 21 faussetés insérées volontairement par Monsieur Morissette dans son article sont irréfutables, et qu’il ne pourrait en être autrement.

Considérant que le tout m’a porté préjudice très sévère et m’a atteint illicitement de façon volontaire en sabotant la sauvegarde de ma dignité, mon honneur et ma réputation; donc de mes droits garantis à l’article 4 de la Charte; ce qui est très grave, considérant aussi que l’article a paru par surcroît le lendemain de mon acquittement par jury.

Considérant que ce genre d’atteinte volontaire est d’obligation de réparation en respect d’un droit cette fois garanti à l’article 49 de la Charte des droits et libertés de la personne.

Me fondant à une proposition émanant de nouvelles dispositions du Conseil de Presse international afin d’éviter de façon gracieuse pour votre cliente la voie des tribunaux et contribuer ainsi à sauvegarder malgré tout son image.

Je propose donc une entente de règlement hors cour visant aussi la dissuasion de la reprise de cas similaire à autre victime au montant de $25,000/infraction au code d’éthique journalistique pour un total de $525,000 payable dans les 30 jours de la présente. L’entente est également assortie d’une obligation par le Journal de Montréal même de la parution d’un article mentionnant que tel montant a été versé à Daniel Bédard en correctif d’un article paru le 8 décembre 2005 sous la plume de Monsieur Morissette. Me montrant bon prince malgré la portée de l’atteinte et l’adversité émanant de l’ « affaire », je consentirai sur promesse écrite du dédommagement escompté par le représentant de votre cliente à retirer les informations touchant au Journal et apparaissant sur mon blog et ne pas exiger les détails de l’affaire dans la parution du correctif. Noter que je contribue de bonne foi ainsi à sauvegarder en parallèle l’immunité de certains officiers administratifs de l’Ordre des technologues professionnels du Québec. Et ce, malgré leur mauvaise foi amplement démontrée au dossier.

A défaut d’une réponse aujourd’hui même par retour de mon courriel, vous comprendrez que vous m’obligerez à ne pas contrevenir aux dispositions de l’article 19 du standard international quant à la primauté d’obligation de divulgation de telles informations relevant de gestes d’incuries graves et de diffuser donc sur une grande échelle.

Je vous rappelle également que tels gestes sont d’intérêt public parce qu’ils pourraient affecter autres personnes membres d’ordres professionnels ainsi que leurs droits garantis par la Charte.

Dans l’intervalle de votre réponse, je vous prie de recevoir, Me Pageau, mes salutations distinguées.


Daniel Bédard


c.c : Madame Nathalie Verge, secrétaire générale Conseil de Presse

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