La justice version Québécoise...

lundi 24 septembre 2007

EXPLICATIONS SOMMAIRES DU BLOG

Six poutres longitudinales qui assuraient la stabilité statique ''oubliés'' sur un plan d'ingénierie signé et scellé d'un petit bâtiment plus haut que large. Un plan donc qui avait atteint en principe la finalité pour laquelle il était destiné. Des clous dans le béton au lieu de boulons d'ancrage de type expansif. Théorie reprise par lui-même en témoignage, imaginez, devant un jury pour le moins médusé. Afin de retenir une cornière d'acier supportant un mur extérieur en porte-à-faux. Un dessin d'ensemble et de montage préparé par ma firme que le plaignant Pierre Sicotte, un ingénieur de Longueuil a tenté de convertir en plan d'ingénierie 2 ie génération préparé par lui-même. Afin de corriger ainsi son ''oubli'' de départ. Ensuite une inhibition outrageuse de sa part afin de reporter inutilement les échéances normales de mon mandat et me faire regretter de ne pas lui céder mes droits de conception du travail qui me revenait de toute manière d'emblée, soient les documents de fabrication et de montage. J'avais un contrat global de 150 heures, je lui ai octroyé 20 heures à sous-contrat. Et Sicotte avait accepté son mandat selon les termes convenus qui impliquait le respect de la loi sur les ingénieurs comme je l'ai d'ailleurs toujours respectée. Ce qui impliquait forcément que les plans d'ingénierie de base proprement dits pour le choix des composantes soient réalisés par sa firme et non la mienne. Mais il n'a pas respecté, pour sa part, les termes convenus. J'étais le chargé de projet et le client de l'ingénieur Sicotte. Il aurait voulu changer les modalités en cours de route, renverser les rôles et prendre le contrôle de mon mandat, on aurait dit, malgré son incompétence notable du domaine de la fabrication. Aurais-je dû afin d'éviter tout ce cirque le laisser aller dans l'erreur, ne rien dire, ne rien faire et menacer la protection du Public, les intérêts de mon client mais aussi mes propres intérêts ? Agir comme une pleutre finalement. Semble-t-il que la société n'en veut plus de personnes consciencieuses et responsables. Il ne faut donc pas être à l'image contraire du parti politique au pouvoir. Lequel attend que les bâtiments et les ponts tombent pour générer des commissions et enrichir ainsi leurs amis au détriment finalement de vies humaines. Car attention aux excès de zèle de prise de responsabilité en ce sens, car c'est la prison maintenant qui vous attend ! !
''On comprend que la société n'est pas toujours correcte envers les personnes et qu'il est toujours difficile qu'elle admette ses erreurs (...) Quand on cache la vérité, c'est qu'il y a du mâlin.''
extrait du discours en date du 30 septembre 2007 du curé Maurice Comeau de la Paroisse catholique St-Sylvain de Laval
Lors d'une célébration en commémoration des victimes de l'événement tragique de l'écroulement du Pont de la Concorde. Lequel évènement, ayant eu lieu le 30 septembre 2006; soit il y a un an jour pour jour, a coûté la vie à 5 personnes et engendré un petit orphelin de 9 ans du nom de Gabriel Hamel. Gabriel a perdu pour toujours son père et sa mère. Ces derniers ont été emportés dans la mort tragiquement, écrabouillés sous des tonnes de béton. Triste et macabre.
Or, dans le cas présent en quoi le mâlin a-t-il encore frappé ? Un cas de misandrie collusoire cette fois, oserais-je avancer ?
Il n'en demeure pas moins que, 3 juges féminins, soient, par ordre d'intervention, la juge Pierrette Rayle de la Cour d'appel, la juge Suzanne Coupal de la Cour du Québec et la juge Sophie Bourque de la Cour supérieure, ont décidé, selon toute vraisemblance, d'offrir leur concours afin de me porter atteinte illicite volontaire. Infraction grave par surcroît expliquée à l'article 49 de la Charte québécoise des droits et libertés de la personne et sujette à cessation immédiate et réparation exemplaire. Un droit donc garanti selon la Constitution. Imaginez !
Je sens déjà le sceptiscisme vous atteindre et avez sans doute déjà en tête de passer au blog suivant pensant avoir affaire à un hurluberlu ayant perdu la carte du nord judiciaire. Mais détrompez-vous, il n'en est rien.
Cependant, je comprends que pour avoir de nouveau votre attention, je me dois tout de go de m'expliquer et de vous convaincre étant donné la portée incroyable de ce que j'avance et l'impact que tout cela pourrait avoir à tout jamais sur l'image même de la Magistrature.
Autres citations pour vous mettre dans l'ambiance du blog:
''La vérité est une chose absolument puissante...'' Le juge John H. Gomery peu de temps après les conclusions de la commission du même nom
''A juste titre, les autorités essaient de ne pas infliger des sévices infâmes ou de placer les prisonniers en danger. Néammoins la perte de la liberté et de la dignité, la discipline sévère, l'ennui et la solitude sont tels que la prison demeure une punition très dure. En conséquence, il faudrait la réserver pour les cas irrécupérables ou dangereux.''
Me Julius Grey, opinions-Le Journal de Montréal, le 1er octobre 2007
.
Or étais-je un cas irrécupérable ou dangereux lorsque... ? ? ?
___________________________________________________
En juillet 2003, je demande au syndic Louis Tremblay de l'O.I.Q qu'une enquête soit instituée à l'égard d'un collaborateur que j'avais mandaté 2 mois plus tôt. Le comité de révision des plaintes de l'O.I.Q me donne raison le 28 janvier 2004 en renversant la décision du syndic Tremblay. Et ce, en statuant le contraire de ce qu'en avait décidé le syndic; soit qu'il y avait effectivement lieu de porter une plainte disciplinaire auprès du comité de discipline de l'O.I.Q à l'égard de l'ingénieur Pierre Sicotte de Longueuil . Curieusement, c'est à partir de ce moment là que des problèmes sérieux ont ressurgi à l'égard du demandeur d'enquête, c'est-à-dire, à l'égard de moi-même, Daniel Bédard, un professionnel honnête et sans histoire ne possédant quelque casier ou passé criminel...

J'ai été entraîné dans un dédale incroyable de procédures judiciaires (80 comparutions, 4 procès dont deux devant juge et jury, 18 mois de détention dite préventive) émanant à l'origine de mensonges de la part de Pierre Sicotte. Ce dernier m'a faussement accusé de l'avoir intimidé, harcelé et menacé au téléphone pendant 2 heures le 25 juin 2003 et pendant un autre 2 heures le 26 juin 2003. A ma demande d'exiger le rapport téléphonique de l'intimé qui se faisait ainsi plaignant en chassé-croisé, le syndic Lauzier de l'O.T.P.Q m'a alors sèchement répondu le 13 septembre 2003 qu'il n'était pas de son habitude d'accepter de se faire dire quoi faire dans le cadre de son enquête.

Maintenant, vous êtes, chers internautes, les seuls juges. Mais constatez seulement ce que son jugement a entrainé comme conséquences fâcheuses pour moi !

Vous ne croyerez peut-être pas ce que vous lirez ou entendrez tellement le tout est grotesque, non-conventionnel et carrément indélicat de la part de la Magistrature...

Aussi et à moins d'être adepte de sado-masochisme, qui aurait accepté de se faire traiter de la sorte pendant 2 heures et rappeler le lendemain pour une autre séance de même durée.

Une plainte de nature criminelle qui n'aurait même dû tenir la route au départ...
tellement elle était invraisemblable.

Par surcroît, le rapport d'enquête de décembre 2004 du syndic-adjoint Dumas qui a hérité du mandat après que le syndic Lauzier l'eut échoué, ne fait quelque allusion aux motifs de nature criminelle invoqués au départ par le plaignant. Rien non plus dans son rapport ne m'a été reproché dans l'exercice de ma profession. Alors pourquoi tout ce cirque ? Je me pose encore la question.

Aucun commentaire: