dimanche 18 novembre 2007
Le S/D Serge Messier de la SPVM insiste : Il a le mandat que j’ai exigé me dit-il et il faudrait que lui et moi parlions !
Ce message est celui laissé sur ma boite vocale en ce samedi 17 novembre, 3 :04P.M.
Pesant ce M. Ghavitian de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Je dirais même au-dessus des lois. Peut-être contrôle-t-il les rênes de la cour supérieure, tiens donc ? Après autant d’offenses excusées avant même d’être entendues, peut-être pas si impossible que cela finalement ?
Comment peut-il d’un coté ignorer ma mise en demeure dans laquelle j’exige la preuve des insinuations pour le moins étranges voire incompatibles avec la réalité : Un harcèlement téléphonique d’une durée de 2 heures le 25 juin 2003 et un autre du même genre et de même durée le lendemain soit le 26 juin 2003. Et dans son témoignage il affirme que c'est lui qui aurait fait l'effort dans les deux cas de m'appeler afin de tenter de régler un litige d'ordre professionnel qui s'était installé entre nous. Mais qu'il aurait enduré tout cela pendant 2 heures, 2 jours de suite. Tout de même ?
En connaissez-vous beaucoup de personne masochiste à ce point ?
L’Ordre des ingénieurs du Québec aurait-il dans ses rangs ce genre de perles rares de qui on excuse tout ou presque ?
Pas surprenant non plus que dans de telles conditions où la magnanimité prévalait, le comité de discipline de l’O.I.Q avec en tête son président, Me Jean-Guy Légaré ait choisi en mars 2006 qu’il en avait assez de m’entendre au bout de 2 ½ jours d’audience. Alors que 7 jours pleins avaient été prévus au calendrier.
Au fait, et après avoir patiemment enduré les présentations par les 5 avocats de la prestigieuse O.I.Q de requêtes à ne plus finir commencer par celles en cassation d’assignation à comparaître par les 5 avocats assignés pour chacun des 5 témoins, ensuite celles de Me René Brabant pour son client l’ingénieur Pierre Sicotte, en différentes manières de tentatives de rejet de la plainte disciplinaire, par 3 fois s’est-il repris. Les 2 premiers jours d’audience ont donc exclusivement été consacré à faire de l’anti-droit disciplinaire. Tout cela sous le regard approbateur du non moins intègre Me Jean-Guy Légaré. A vomir vous dis-je. De quoi me suis-je donc mêlé dans le temps ? Pourquoi avoir choisi d'être ce que je suis ? Un professionnel dans l'âme. Au travail comme dans la vie. Que puis-je y faire ? Je ne peux rentrer dans le moule de la malhonneteté intellectuelle et ainsi me faire beaucoup plus d'amis parmi les malhonnêtes intellectuellement.
Pas surprenant, qu’en plus attachés aux chevilles et menottes aux mains lors de mon amenée par les agents correctionnels à la salle d’audience du Palais de justice, pas très facile pour un plaignant privé dans de telles conditions effroyables imposées, d’avoir l’air crédible aux yeux des deux autres ingénieurs composant le comité de discipline. Impatient et colérique ne pouvais-je autrement devenir. Mais tout cela avait été sagement planifié. Tiens donc ! Belle pratique du droit disciplinaire ! Protocolaire mais vide finalement. On parle beaucoup pour ne rien dire du coté des avocats. Malheureusement.
Sans le savoir vraiment d’avance, restait donc ½ journée d’audience pour tenter de faire valoir mon point de vue sur le fond de ma plainte privée. Puisqu’on en était maintenant rendu là au bout de 3 ans de grands ''efforts'' intellectuels : à parler du fond me dit-il, candidement, Me Légaré. Égaré, suis-je obligé de qualifier cet avocat pour le moins étrange. Porte bien son nom. Comme le reste finalement porte le leur : Parodie.
J’avais une cinquantaine de questions sur des dérogations évidentes à au moins 10 articles du code de déontologie de l’ingénieur. Le comité ne m’a permis que 3 questions sur le premier article dérogé. Et on a fermé les livres et mis fin abruptement à l’audience le 20 mars 2006 peu de temps après m’être montré exacerbé par la désinvolture du président mais aussi par une fermeture d’esprit absolument inconcevable de l’ingénieur Gérard Trépanier siégeant sur le comité. A l’égard duquel, j’ai haussé le ton quelque peu à son endroit après que ce dernier m’ait appris sèchement que cela ne l’intéressait nullement d’être saisi d’erreurs sur un plan d’ingénierie. Que faisait-il alors sur un comité de discipline ? Venu se faire gâter avec Me Légaré de cappucinos ou d’expressos payés par l’O.I.Q et me ridiculiser ?
Vrai, je vous dis. Incroyable n’est-ce pas ? Une prise de conscience et de responsabilité professionnelle. 3 ans d’attente. Humilié et menotté injustement à cause d’un renversement de situation et de quiproquos ridiculement crus de façon complaisante. Humilié donc pour m’être montré responsable à leur place. Pour au bout du terme se faire dire que des erreurs sur un plan d’ingénierie ne les intéressaient pas.
Mais il leur fallait bien une raison afin que les vrais commettants derrière cette fourberie, soient blanchis. Ceux qui ont permis que le cirque disciplinaire perdure inutilement en étant ainsi payés par leurs membres pour se faire. L’ingénieur et syndic Louis Tremblay, l’ingénieur et syndic dit ad hoc Richard Nault (ce dernier sensé porter la plainte disciplinaire mais ne l’a jamais fait) l’ingénieur et président du comité de révision Yvan Asselin (une lettre absolument horrible datée du 2 mars 2004 m’étant adressée en réponse à la mienne du 2 février 2004), l’ingénieur et président du comité de deuxième révision Alain Caissy (avoir agi de mauvaise foi en étant nommé président d’un comité formé illégalement). Ce dernier comité dérogeant à l’article 123.3C.P. Dérogation auquel j’aurais demandé au dernier témoin soit Me Claude G. Leduc d’en répondre. Puisque c’est ce dernier qui a orchestré toute cette parodie de cirque disciplinaire. Un spécialiste du droit disciplinaire qu’on dit de lui ? Mais aucun de ces 5 témoins ne furent interrogés par moi. A cause de Me Légaré qui les a épargné de l’humiliation d’avoir à admettre leurs fautes et mériter ainsi son 2ie cappucino de la journée.
Ainsi tombent des ponts au Québec et tuent des gens bêtement.
Lorsque des erreurs graves de conception n’intéressent personne finalement. Ni même ceux et celles qui sont rémunérés afin d’y voir. 9 ingénieurs, si on inclut les deux derniers présidents de l’O.I.Q soient M. Gaëtan Lefebvre et M. Zaki Ghavitian ont donc failli à leur responsabilités en s’épaulant l’un l’autre dans l’idiotie. Idiotie collusoire supportée en plus par 6 avocats supposés faire valoir leurs connaissances du droit. Mais de quel droit s’agit-il au juste ?
Après tout cela donc, le S/D Tessier envoyé en mission par nul autre que l’O.I.Q lui-même, voudrait maintenant jaser avec moi parce que je dérange la quiétude de Monsieur Ghavitian. Regarde donc cela.
Je dérange la quiétude du pourvoyeur et distributeur officiel d’enveloppes brunes dénués d’impôt. $15,000,000 reçoit-il annuellement des 54,000 membres. Pas de problème. Le budget on l’a. Non pas pour voir à protéger le Public comme la majorité des membres le croient sans doute. Mais bien pour faire le contraire et protéger les membres fautifs lorsque la situation s'y prêtent. Pas toujours évidemment. Le Public pourrait douter. Il faut que certains écopent mais pas lea ''amis'' du Bureau. C’est cela qui est désolant de constat. Les effets bienséants et bienfaisants du corporatisme, faut-il croire ?
Pauvre Monsieur Bourassa. N’était-il pas de bonne foi quand il a initié et mis en fonction ce système en 1973 ? N’empêche que 34 ans plus tard et avec deux exemples coup sur coup que nous sert la prestigieuse O.I.Q, ce système est maintenant à proscrire. Lequel O.I.Q aurait du montrer l’exemple et non servir d’exemple pour justifier l’abolition du système professionnel. Entraînant donc la dissolution de 42 ordres professionnels, l’Office des professions et le Conseil interprofessionnel. Tous des organismes inutiles voire même au contraire dangereuses. Puisqu’ils distribuent le Mal plutôt que de voir au bien-être des citoyens tel que le souhaitait dans le temps, Monsieur Bourassa. Ainsi lorsqu’un système ne va plus, il faut le dissoudre et non s’en servir à mauvais escient simplement parce que cela rapporte beaucoup de sous à une poignée de gens indignes et véreux. Que Dieu ait votre âme M. Bourassa. Vous étiez de bonne foi tout simplement dans le temps. Mais vos successeurs eux malheureusement sont de mauvaise foi. Et constatez les cruautés voire les horreurs que peuvent engendrer la mauvaise foi de certaines personnes. Personnes ayant des postes de responsabilités par surcroît.
Important de jaser avec un S/D de SPVM n’est-ce pas lorsque le Mal est fait. Non par moi. Mais bien par d’autres. Ceux qui se qualifient sans doute de personnes responsables en plus. On se regarde dans les yeux, on admire son semblable et on distribue les enveloppes brunes sous la table. Afin de biaiser ainsi les processus disciplinaires et judiciaires et faire du tort à ceux à qui ils doivent finalement leur emploi du temps et leurs rémunérations allongées comme l’expresso de Me Légaré : soient aux demandeurs d’enquête responsables comme moi.
Vous comprendrez sûrement la raison pour laquelle j’ai quelque raison de croire maintenant à l’intégrité ou la bonne foi dirai-je plutôt pour commencer, du S/D Messier. Lequel me dit qu’il a maintenant le mandat que j’ai exigé de lui.
Mais M. Messier n’a pas spécifié dans son message de quel juge ? La juge Bourque ?
Sur sa boite vocale je laisse le mien à 6 :08P.M. Je lui propose d’aller s’instruire de mon blog. Peut-être ne sait-il rien de tout cela et qu’il a un travail qu’on lui a dicté de faire ?
Votre mandat M. Messier va devoir comporter par écrit que le juge qui l’a signé consent à ce l’article 35 de la Charte, soit le droit d’assurer ma défense pleine et entière, me soit à nouveau bafouer en plein visage mais de nouveau aussi l’article 52 de la même Charte.
Considérant qu’en vertu de quelque loi ou ordonnance de quelque juge, l’article 52 prévaut et l’article 35 ne peut sous quelque considération être dérogé.
Mon droit garanti donc d’obtenir la preuve des allégations de l'ingénieur Pierre Sicotte casse toute ordonnance qui pourrait avoir été émise par un juge de la cour supérieure. C’est soit que j’obtienne tout de go cette preuve ou soit que l’O.I.Q me dédommage en réparations exemplaires pour leur méfait collusoire. Tel que l’article 49 l’énonce.
En fonction du 3ie paragraphe de mon article, je me doute aussi chers internautes avertis, que vous ne pouvez ne penser autrement que je ne puisse croire que la deuxième option seulement soit envisageable.
Comprenez maintenant que j’ai hâte de connaître le nom du juge en question. Puisque chose certaine sa carrière vient précisément de se terminer en même temps que l’émission d’un tel mandat.
J’espère donc qu’elle provienne de la juge Sophie Bourque elle-même. Ainsi me confirmera-t-elle doublement ainsi qu’elle soit mûre pour une petite réflexion de quelques années à Tanguay, la prison pour femmes. Article 139 (2) du code criminel. Entrave à la justice. Passible d’un emprisonnement maximal de 10 ans que le code dit. Son garçon l’attendra comme les miens m’ont attendu vainement à leur 19ie et 20ie anniversaire de naissance ainsi que les Noël et jour de l’an de 2005 et 2006. Je suis pas revanchard mais l’exemple doit servir de moyen de dissuasion. Ne serait-ce que pour assainir ce système parti à la dérive. Et où est le capitaine ? A-t-il abandonné l’équipage ?
Des beaux moment gaspillés. Désolant qu’on ne puisse retourner dans le temps et vivre ce qu’on a perdu. Et dans leur têtes peu de joie finalement que de célébrer tout en reliant inconsciemment la faute à l’absence seulement de leur géniteur.
Lequel soit soudainement et mine de rien comme cela, devenu dans leur esprit pour le moins devenu confus et troublé, un criminel d’habitude…
Un père qu’ils ne connaissaient certes ainsi pourtant. Se seraient-ils trompés sur lui se questionnent-ils encore sûrement. Les relations étant devenues plutôt froides, les appels et les visites plutôt même espacés de façon inquiétante. Ne comprennent-ils pas pourquoi j’y mets tant de temps et d’efforts ?
Qu’ils sachent le plus tôt possible que nul n’était le cas. En travaillant à autre chose je prolonge au contraire le doute dans leur esprit. De là mon devoir de retrouver ma dignité et par la bande retrouver ainsi leur amour. De même que toute leur appréciation méritante malgré mon absence regrettable. Ainsi j’aimerais me reprendre en ce 3ie Noël, mais je n’en ai malheureusement pas les moyens. Moyens que j’aurais pu disposé n’eut été de la monstruosité d’âme d’un certain Jacques P. Dupuis. Lequel m’ignore toujours au lieu d’avoir à admettre son irresponsabilité et sa mauvaise foi dans l’exécution de ses fonctions de ministre. Pas facile n’est-ce pas d’admettre ou d’avouer lorsqu’on est ministre ou même premier ministre. Ainsi fêteront-ils le leur dans le joie et l’allégresse sans même se soucier de moi. Alors que je sais pour ma part que j’en aurais juste assez pour payer mon loyer avec le chèque d’assistance sociale que le gouvernement m’envoie. Pour ainsi me remercier de ne pas trop insister à leur égard. Et en contrepartie, souhaiter en retour de telles générosités que j’excuse presque leurs écarts.
Voilà comment ceux qui se prétendent professionnels traitent nos vrais professionnels du Québec. Et on voudrait faire croire à performance et être reconnu ainsi sur la scène internationale. Gang d’idiots !
Et je peux comprendre encore beaucoup plus maintenant ces pères privés de l’amour de leur progéniture. De là mon désir d’être associé à la cause de Fathers for Justice (F4J). Afin qu’eux aussi puissent un jour retrouver leur dignité d’homme et l’amour de leurs enfants en réciprocité.
A suivre absolument…en attendant allez donc prendre un cappucino à ma santé...
Pesant ce M. Ghavitian de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Je dirais même au-dessus des lois. Peut-être contrôle-t-il les rênes de la cour supérieure, tiens donc ? Après autant d’offenses excusées avant même d’être entendues, peut-être pas si impossible que cela finalement ?
Comment peut-il d’un coté ignorer ma mise en demeure dans laquelle j’exige la preuve des insinuations pour le moins étranges voire incompatibles avec la réalité : Un harcèlement téléphonique d’une durée de 2 heures le 25 juin 2003 et un autre du même genre et de même durée le lendemain soit le 26 juin 2003. Et dans son témoignage il affirme que c'est lui qui aurait fait l'effort dans les deux cas de m'appeler afin de tenter de régler un litige d'ordre professionnel qui s'était installé entre nous. Mais qu'il aurait enduré tout cela pendant 2 heures, 2 jours de suite. Tout de même ?
En connaissez-vous beaucoup de personne masochiste à ce point ?
L’Ordre des ingénieurs du Québec aurait-il dans ses rangs ce genre de perles rares de qui on excuse tout ou presque ?
Pas surprenant non plus que dans de telles conditions où la magnanimité prévalait, le comité de discipline de l’O.I.Q avec en tête son président, Me Jean-Guy Légaré ait choisi en mars 2006 qu’il en avait assez de m’entendre au bout de 2 ½ jours d’audience. Alors que 7 jours pleins avaient été prévus au calendrier.
Au fait, et après avoir patiemment enduré les présentations par les 5 avocats de la prestigieuse O.I.Q de requêtes à ne plus finir commencer par celles en cassation d’assignation à comparaître par les 5 avocats assignés pour chacun des 5 témoins, ensuite celles de Me René Brabant pour son client l’ingénieur Pierre Sicotte, en différentes manières de tentatives de rejet de la plainte disciplinaire, par 3 fois s’est-il repris. Les 2 premiers jours d’audience ont donc exclusivement été consacré à faire de l’anti-droit disciplinaire. Tout cela sous le regard approbateur du non moins intègre Me Jean-Guy Légaré. A vomir vous dis-je. De quoi me suis-je donc mêlé dans le temps ? Pourquoi avoir choisi d'être ce que je suis ? Un professionnel dans l'âme. Au travail comme dans la vie. Que puis-je y faire ? Je ne peux rentrer dans le moule de la malhonneteté intellectuelle et ainsi me faire beaucoup plus d'amis parmi les malhonnêtes intellectuellement.
Pas surprenant, qu’en plus attachés aux chevilles et menottes aux mains lors de mon amenée par les agents correctionnels à la salle d’audience du Palais de justice, pas très facile pour un plaignant privé dans de telles conditions effroyables imposées, d’avoir l’air crédible aux yeux des deux autres ingénieurs composant le comité de discipline. Impatient et colérique ne pouvais-je autrement devenir. Mais tout cela avait été sagement planifié. Tiens donc ! Belle pratique du droit disciplinaire ! Protocolaire mais vide finalement. On parle beaucoup pour ne rien dire du coté des avocats. Malheureusement.
Sans le savoir vraiment d’avance, restait donc ½ journée d’audience pour tenter de faire valoir mon point de vue sur le fond de ma plainte privée. Puisqu’on en était maintenant rendu là au bout de 3 ans de grands ''efforts'' intellectuels : à parler du fond me dit-il, candidement, Me Légaré. Égaré, suis-je obligé de qualifier cet avocat pour le moins étrange. Porte bien son nom. Comme le reste finalement porte le leur : Parodie.
J’avais une cinquantaine de questions sur des dérogations évidentes à au moins 10 articles du code de déontologie de l’ingénieur. Le comité ne m’a permis que 3 questions sur le premier article dérogé. Et on a fermé les livres et mis fin abruptement à l’audience le 20 mars 2006 peu de temps après m’être montré exacerbé par la désinvolture du président mais aussi par une fermeture d’esprit absolument inconcevable de l’ingénieur Gérard Trépanier siégeant sur le comité. A l’égard duquel, j’ai haussé le ton quelque peu à son endroit après que ce dernier m’ait appris sèchement que cela ne l’intéressait nullement d’être saisi d’erreurs sur un plan d’ingénierie. Que faisait-il alors sur un comité de discipline ? Venu se faire gâter avec Me Légaré de cappucinos ou d’expressos payés par l’O.I.Q et me ridiculiser ?
Vrai, je vous dis. Incroyable n’est-ce pas ? Une prise de conscience et de responsabilité professionnelle. 3 ans d’attente. Humilié et menotté injustement à cause d’un renversement de situation et de quiproquos ridiculement crus de façon complaisante. Humilié donc pour m’être montré responsable à leur place. Pour au bout du terme se faire dire que des erreurs sur un plan d’ingénierie ne les intéressaient pas.
Mais il leur fallait bien une raison afin que les vrais commettants derrière cette fourberie, soient blanchis. Ceux qui ont permis que le cirque disciplinaire perdure inutilement en étant ainsi payés par leurs membres pour se faire. L’ingénieur et syndic Louis Tremblay, l’ingénieur et syndic dit ad hoc Richard Nault (ce dernier sensé porter la plainte disciplinaire mais ne l’a jamais fait) l’ingénieur et président du comité de révision Yvan Asselin (une lettre absolument horrible datée du 2 mars 2004 m’étant adressée en réponse à la mienne du 2 février 2004), l’ingénieur et président du comité de deuxième révision Alain Caissy (avoir agi de mauvaise foi en étant nommé président d’un comité formé illégalement). Ce dernier comité dérogeant à l’article 123.3C.P. Dérogation auquel j’aurais demandé au dernier témoin soit Me Claude G. Leduc d’en répondre. Puisque c’est ce dernier qui a orchestré toute cette parodie de cirque disciplinaire. Un spécialiste du droit disciplinaire qu’on dit de lui ? Mais aucun de ces 5 témoins ne furent interrogés par moi. A cause de Me Légaré qui les a épargné de l’humiliation d’avoir à admettre leurs fautes et mériter ainsi son 2ie cappucino de la journée.
Ainsi tombent des ponts au Québec et tuent des gens bêtement.
Lorsque des erreurs graves de conception n’intéressent personne finalement. Ni même ceux et celles qui sont rémunérés afin d’y voir. 9 ingénieurs, si on inclut les deux derniers présidents de l’O.I.Q soient M. Gaëtan Lefebvre et M. Zaki Ghavitian ont donc failli à leur responsabilités en s’épaulant l’un l’autre dans l’idiotie. Idiotie collusoire supportée en plus par 6 avocats supposés faire valoir leurs connaissances du droit. Mais de quel droit s’agit-il au juste ?
Après tout cela donc, le S/D Tessier envoyé en mission par nul autre que l’O.I.Q lui-même, voudrait maintenant jaser avec moi parce que je dérange la quiétude de Monsieur Ghavitian. Regarde donc cela.
Je dérange la quiétude du pourvoyeur et distributeur officiel d’enveloppes brunes dénués d’impôt. $15,000,000 reçoit-il annuellement des 54,000 membres. Pas de problème. Le budget on l’a. Non pas pour voir à protéger le Public comme la majorité des membres le croient sans doute. Mais bien pour faire le contraire et protéger les membres fautifs lorsque la situation s'y prêtent. Pas toujours évidemment. Le Public pourrait douter. Il faut que certains écopent mais pas lea ''amis'' du Bureau. C’est cela qui est désolant de constat. Les effets bienséants et bienfaisants du corporatisme, faut-il croire ?
Pauvre Monsieur Bourassa. N’était-il pas de bonne foi quand il a initié et mis en fonction ce système en 1973 ? N’empêche que 34 ans plus tard et avec deux exemples coup sur coup que nous sert la prestigieuse O.I.Q, ce système est maintenant à proscrire. Lequel O.I.Q aurait du montrer l’exemple et non servir d’exemple pour justifier l’abolition du système professionnel. Entraînant donc la dissolution de 42 ordres professionnels, l’Office des professions et le Conseil interprofessionnel. Tous des organismes inutiles voire même au contraire dangereuses. Puisqu’ils distribuent le Mal plutôt que de voir au bien-être des citoyens tel que le souhaitait dans le temps, Monsieur Bourassa. Ainsi lorsqu’un système ne va plus, il faut le dissoudre et non s’en servir à mauvais escient simplement parce que cela rapporte beaucoup de sous à une poignée de gens indignes et véreux. Que Dieu ait votre âme M. Bourassa. Vous étiez de bonne foi tout simplement dans le temps. Mais vos successeurs eux malheureusement sont de mauvaise foi. Et constatez les cruautés voire les horreurs que peuvent engendrer la mauvaise foi de certaines personnes. Personnes ayant des postes de responsabilités par surcroît.
Important de jaser avec un S/D de SPVM n’est-ce pas lorsque le Mal est fait. Non par moi. Mais bien par d’autres. Ceux qui se qualifient sans doute de personnes responsables en plus. On se regarde dans les yeux, on admire son semblable et on distribue les enveloppes brunes sous la table. Afin de biaiser ainsi les processus disciplinaires et judiciaires et faire du tort à ceux à qui ils doivent finalement leur emploi du temps et leurs rémunérations allongées comme l’expresso de Me Légaré : soient aux demandeurs d’enquête responsables comme moi.
Vous comprendrez sûrement la raison pour laquelle j’ai quelque raison de croire maintenant à l’intégrité ou la bonne foi dirai-je plutôt pour commencer, du S/D Messier. Lequel me dit qu’il a maintenant le mandat que j’ai exigé de lui.
Mais M. Messier n’a pas spécifié dans son message de quel juge ? La juge Bourque ?
Sur sa boite vocale je laisse le mien à 6 :08P.M. Je lui propose d’aller s’instruire de mon blog. Peut-être ne sait-il rien de tout cela et qu’il a un travail qu’on lui a dicté de faire ?
Votre mandat M. Messier va devoir comporter par écrit que le juge qui l’a signé consent à ce l’article 35 de la Charte, soit le droit d’assurer ma défense pleine et entière, me soit à nouveau bafouer en plein visage mais de nouveau aussi l’article 52 de la même Charte.
Considérant qu’en vertu de quelque loi ou ordonnance de quelque juge, l’article 52 prévaut et l’article 35 ne peut sous quelque considération être dérogé.
Mon droit garanti donc d’obtenir la preuve des allégations de l'ingénieur Pierre Sicotte casse toute ordonnance qui pourrait avoir été émise par un juge de la cour supérieure. C’est soit que j’obtienne tout de go cette preuve ou soit que l’O.I.Q me dédommage en réparations exemplaires pour leur méfait collusoire. Tel que l’article 49 l’énonce.
En fonction du 3ie paragraphe de mon article, je me doute aussi chers internautes avertis, que vous ne pouvez ne penser autrement que je ne puisse croire que la deuxième option seulement soit envisageable.
Comprenez maintenant que j’ai hâte de connaître le nom du juge en question. Puisque chose certaine sa carrière vient précisément de se terminer en même temps que l’émission d’un tel mandat.
J’espère donc qu’elle provienne de la juge Sophie Bourque elle-même. Ainsi me confirmera-t-elle doublement ainsi qu’elle soit mûre pour une petite réflexion de quelques années à Tanguay, la prison pour femmes. Article 139 (2) du code criminel. Entrave à la justice. Passible d’un emprisonnement maximal de 10 ans que le code dit. Son garçon l’attendra comme les miens m’ont attendu vainement à leur 19ie et 20ie anniversaire de naissance ainsi que les Noël et jour de l’an de 2005 et 2006. Je suis pas revanchard mais l’exemple doit servir de moyen de dissuasion. Ne serait-ce que pour assainir ce système parti à la dérive. Et où est le capitaine ? A-t-il abandonné l’équipage ?
Des beaux moment gaspillés. Désolant qu’on ne puisse retourner dans le temps et vivre ce qu’on a perdu. Et dans leur têtes peu de joie finalement que de célébrer tout en reliant inconsciemment la faute à l’absence seulement de leur géniteur.
Lequel soit soudainement et mine de rien comme cela, devenu dans leur esprit pour le moins devenu confus et troublé, un criminel d’habitude…
Un père qu’ils ne connaissaient certes ainsi pourtant. Se seraient-ils trompés sur lui se questionnent-ils encore sûrement. Les relations étant devenues plutôt froides, les appels et les visites plutôt même espacés de façon inquiétante. Ne comprennent-ils pas pourquoi j’y mets tant de temps et d’efforts ?
Qu’ils sachent le plus tôt possible que nul n’était le cas. En travaillant à autre chose je prolonge au contraire le doute dans leur esprit. De là mon devoir de retrouver ma dignité et par la bande retrouver ainsi leur amour. De même que toute leur appréciation méritante malgré mon absence regrettable. Ainsi j’aimerais me reprendre en ce 3ie Noël, mais je n’en ai malheureusement pas les moyens. Moyens que j’aurais pu disposé n’eut été de la monstruosité d’âme d’un certain Jacques P. Dupuis. Lequel m’ignore toujours au lieu d’avoir à admettre son irresponsabilité et sa mauvaise foi dans l’exécution de ses fonctions de ministre. Pas facile n’est-ce pas d’admettre ou d’avouer lorsqu’on est ministre ou même premier ministre. Ainsi fêteront-ils le leur dans le joie et l’allégresse sans même se soucier de moi. Alors que je sais pour ma part que j’en aurais juste assez pour payer mon loyer avec le chèque d’assistance sociale que le gouvernement m’envoie. Pour ainsi me remercier de ne pas trop insister à leur égard. Et en contrepartie, souhaiter en retour de telles générosités que j’excuse presque leurs écarts.
Voilà comment ceux qui se prétendent professionnels traitent nos vrais professionnels du Québec. Et on voudrait faire croire à performance et être reconnu ainsi sur la scène internationale. Gang d’idiots !
Et je peux comprendre encore beaucoup plus maintenant ces pères privés de l’amour de leur progéniture. De là mon désir d’être associé à la cause de Fathers for Justice (F4J). Afin qu’eux aussi puissent un jour retrouver leur dignité d’homme et l’amour de leurs enfants en réciprocité.
A suivre absolument…en attendant allez donc prendre un cappucino à ma santé...
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