La justice version Québécoise...

lundi 4 mai 2009

Dernière heure...

Ceux qui sont familiers avec la saga judiciaire imposée à Daniel Bédard apprendront avec intérêt que le ministère public a décidé de poursuivre son acharnement en procédant mercredi dernier à son arrestation pour avoir soi-disant préféré des menaces à l’encontre de Jacques Rouillier, le procureur de la couronne au dossier. Évidemment, cette accusation ne repose que sur la seule parole de ce dernier. Le but de la manœuvre semble être de ternir l’image de Daniel auprès du jury car la « preuve » dont dispose le poursuivant est si mince que Rouillier a dans un premier temps tenté de convaincre le tribunal, sans rire, que le plaignant, Zaki Ghavitian, président de l’ordre des ingénieurs du Québec, l’avait détruite pour ensuite se raviser et la sortir parcimonieusement au compte goute. Rien dans ce qui a été révélé à ce jour ne permet de croire à un quelconque harcèlement à son endroit.

Rappelons que cette arrestation a eu lieu après la sélection du jury qui, contrairement aux normes en vigueur en semblable matière, s’est déroulée à huis clos et sans que les candidats n’aient eu à décliner leur identité ou leur occupation. Pour la transparence, il faudra sans doute aller voir ailleurs. Reste que les nouvelles accusations n’ont d’autre objectif que d’épicer un peu le dossier du poursuivant qui est, faut bien l'avouer, fort mince. C’est le juge Richard Mongeau qui est investi du pouvoir de trancher dans cette affaire. Rappelons que ce dernier a accédé au banc en raison de ses acquointances avec les libéraux corrompus dans la foulée du scandale des commandites comme nous le rappelait Benoît Corbeil lors de son témoignage devant la commission Gomery en retour d’ascenseur pour ses bons et loyaux services à titre de conseiller juridique au bureau d’information du Canada (BIC), un organisme fédéral de propagande sous l’autorité du tristement célèbre Gagliano destiné à faire la promotion du Canada au Québec… L’organisme en question a depuis été complètement effacé de la grande toile tellement ses pratiques contrevenaient au sens commun. C’est le même juge Mongeau qui avait acquitté Daniel en décembre 2005 après que l’accusé lui avait servi une leçon de droit en lui rappelant les dispositions de l’arrêt Stinchcombe devant le jury. Serait-il en mission pour prendre sa revanche? Disons que la manière fort peu orthodoxe d’instruire cette affaire nous laisse songeur quant à la suite des procédures

3 commentaires:

Frank Audette-Siminski a dit…

Allez sur Google et tapez: la petite histoire de la caisse de dépôt et de placement du Québec: faites sortir les 2 pages: retournez sur Google et tapez: ameriquebec.net: faites sortir les 6 autres pages, vous verrez que depuis 2003 à 2012, le premier ministre du Québec a ACHETÉS les MÉDIAS aux coûts de 29,465 milliards $ sur les 140 milliards $ qu'il a fait disparaître de la CDPQ pour ses petits amis: en 2003 il a BLANCHI 85% du prêt a M. Pierre Karl Péladeau, pour l'achat de Videotron Inc., en 2000, au coût de 2,9 milliards $: puis 27 milliards $ à la famille Desmarais, dont 15 milliards $ à La Presse et Power Corporation et 12 milliards $ à leur compagnie Total, en Alerta et en France;
Merci de m'avoir lu,
Frank Audette-Siminski, québécois francophone et fiers, fils de feue Jeanne Audette, de Montréal, Québec.
Publié le 2012-10-24

Frank Audette-Siminski a dit…

2012-10-24 à M. Daniel Bédard :


Nous sommes jugés par des criminels avec preuves accablantes à l'appui: le 8 mars 1993, venant du Protecteur du citoyen, lui-même, Me Daniel Jacoby, avait recommandé: ne plus laisser les corporations professionnelles la GESTION de leurs discipline: plus ça change plus c'est pareil: les articles 120, 132 et 137 du Code criminel, ils sont passibles de 14 ans de prison, pour chaque acte criminel qu'ils nous imposent;
Entre le 12 mars 1985 et le 19 juillet 2012, nous sommes 179,442 victimes connues qui avons déposés des plaintes au bureau du Syndic du Barreau du Québec: seulement 228 ont été RADIÉS à vie de leur droit de pratique, 99,8%: à la Commission Bastarache, 95% des juges sont parmis les 179,442 plaintes et vive la MAFIA judiciaire de ces crapules, qui juges sur la forme au lieu de juger sur le fonds: la cause de SPB Canada Inc., depuis 2005, ils ont DILAPIDÉ cette compagnie typiquement québécoise FONDÉE en 1903 par la famille Moisan: le juge J.F. Buffoni, j.c.s. à jugés 199 fois sur les 372 jugements, ils lui ont imposés pas oins de 1584 entrées différentes les unes plus farfelues que les autres: vous avez la cause de Mme Thérèse Bourgeois, une dame âgée de 77 ans, de 1994 à 2009, le maire-RAT de St-Jérôme, lui a imposés 153 jugements sur une expropriation jamais confirmé au bureau de la publicité des droits admis le 20 février 2006, par M. Daniel Fouquette, a.g. de Ressources Naturelles et Faune Québec: plus de 8 demande ont été faites a cet organisme du Québec, tous REFUSÉES; (sic)

N.B: Ce sont les mêmes juges qui ont jugés, dans la cause de SPB Canada Inc. et dans la cause de Mme Bourgeois;

Le soussigné, le 16 février 1995, s'est fait ACCUSER d'avoir donné la SCLÉROSE EN PLAQUE, à son ex-épouse et/ce 14 ans après sa séparation par un juge que le Barreau du Québec a fait venir de Baie-Comeau à Montréal, c'est le juge-RAT Paul Corriveau, j.c.s.
Frank Audette-Siminski

Anonyme a dit…

Merci M.Siminski pour votre commentaire

Daniel Bédard