La justice version Québécoise...

dimanche 1 mars 2009

Est-ce cela faire valoir le droit selon Me Gaëtan Bourassa ? ?

En me rencontrant quelques minutes avant l'audience du 27 février dernier dans un cubicule attenant à la salle d'audience 4.01 du Palais de justice de Montréal, Me Gaëtan Bourassa, directeur de l'''Aide juridique'' de Montréal, pourtant évincé poliment et officiellement par moi-même le 10 février dernier devant la juge Rollande Matte de la Cour du Québec (voir ''affaire Matte'' sur l'onglet ''atteintes illicites intentionnelles'' sur le menu de droite) est revenu à la charge. Me prouvant d'ailleurs ainsi qu'il est dorénavant investi d'une mission s'il ne l'a pas été avant en sa qualité d'''amicus curiae'' (ami de la Cour) tel qu'il s'est de toute manière décrit dans l'unique lettre qu'il m'a fait parvenir un jour, à R.D.P, en 3 ans de ''loyaux'' services. En ce qui me concerne, je ne peux certes me qualifier d'ami de la Cour après que cette même Cour m'ait fait détenir illégalement pendant 32 mois à ce jour. Et ce, sans même ordonner qu'une preuve tangible et accessible et prouvant au contraire mon innocence sur toute la ligne, soit déposée par la Couronne. Une preuve donc, sur la toute première allégation d'harcèlement qui a ensuite permis toutes les autres allégations du défaut de ne l'avoir divulguée ! ?

En effet, Me Bourassa, soit celui qui se prétend toujours mon avocat afin de sans doute ne pas perdre la face tellement son orgueuil s'élève au-dessus de son absence d'intégrité, a tenté de m'influencer sans succès en tentant de me faire comprendre que l'arrêt des procédures au lieu d'un procès équitable avec juge et jury, serait maintenant la meilleure solution pour moi et qu'avec mon consentement, ce dernier allait le proposer au juge Brunton qui présidait l'audience visant à déterminer une date de procès.

Car ensuite, dira-t-il, je pourrais revenir sur le plaignant (l'O.I.Q) dans une poursuite civile en dommages et intérêts. Sauf, que même si celui-ci prétend avoir ''détruit'' sa preuve et que l'entrave ainsi démontrée justifie amplement cette poursuite civile en dommages et intérêts, j'en ai pour un 10-15 ans à me battre devant les Tribunaux tordus du Québec qui s'enrichiront ainsi à mes dépens au lieu de reconnaître un droit pourtant garanti à la Charte, plus particulièrement à l'article 49 quand il y a de façon manifeste une atteinte illicite intentionnelle.

Comment aussi pourrais-je me fier aux Tribunaux quand mon présent blogue démontre ''hors de tout doute raisonnable'' que c'est précisément ces mêmes Tribunaux du Québec qui nourrissent au bénéfice des plaignants et à mon préjudice extrême, cette atteinte. Et ce, depuis ma toute première arrestation arbitraire et sans mandat du 1er avril 2005 ?

Parlez-en à Monsieur Michel Dumont ( Michel Dumont ou l'injustice ) et à son épouse Solange, ils savent de quoi je parle, lui ai-je rétorqué !

Pour comprendre davantage voir l'article ''Mais qui donc est inapte au juste ?'' sur:
http://prevarication101.blogspot.com/2009/03/mais-qui-donc-est-inapte-au-juste.html

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