La justice version Québécoise...

dimanche 25 janvier 2009

Par respect pour le Public et la famille Ellis, la destitution de la juge Bourque s'impose:

''Dieu est intervenu'' scandent Joyce et Raphael, les parents de Raymond Ellis, qui souhaitent maintenant une réponse favorable de la Cour d'appel depuis que ces derniers ont appris que le directeur des poursuites criminelles, Me Louis Dionne, en a appelé de la décision de la juge Bourque de libérer sur le champs, le 12 janvier dernier, 5 présumés auteurs du meurtre de leur fils.

Mais en plus de l'intervention de Dieu, il faudrait aussi l'intervention de la Ministre de la Justice, Madame Weil, pour que les voeux des Ellis puissent concrètement se réaliser: En effet, si celle-ci continue d'ignorer l'Affaire Bourque au même titre que les médias conventionnels le font, il va de soi que l'Affaire Ellis ne pourrait autrement que recevoir, tôt ou tard, le même traitement. Puisque s'agissant bien du même comportement anormal de la part d'une juge de la cour supérieure, curieusement vénérée par ses pairs.

La juge Bourque était déjà allé trop loin en juin 2006 au Palais de justice de Longueuil quand contre toute attente de ma part, celle-ci me confirme les raisons pour lesquelles, tout au long du procès, elle s'est farouchement opposée à ma défense pleine et entière. Libérant rapidement le jury et décidant en finale de renverser leur verdict en me mentant en plein visage en m'affirmant que celui-ci en était bien un de culpabilité !

Cette juge aurait du être destituée en juin 2006 soit après un peu plus d'un an de «loyaux services» aux criminels desquels elle accepte manifestement des pots-de-vin en retour de ses jugements biaisés. S'entourant de complices-procureur(e)s complaisant(e)s à leur cause commune: soit celle, contre toute espèce de morale, de s'enrichir au dépend d'honnêtes citoyens et d'entraver de façon régulière le cours normal de la justice, lorsque besoin est.

Elle s'était conduite de façon tellement idiote lors de mon procès de juin 2006, que le jury ne pouvait autrement qu'avoir eu un doute plus que raisonnable sur ma culpabilité. Alors que j'étais déjà fort d'un premier acquittement par un jury de charges similaires en décembre 2005 des 4 comparses qui avaient d'ailleurs appuyé les mensonges du 5ie plaignant. Lequel avait décidé de faire cavalier seul étant donné son titre important d'ingénieur et de ses cheveux tout blancs lui donnant une apparence de sagesse. Le jury a plutôt, à mon avis, reçu l'assurance de son absence totale d'intégrité simplement en regardant cette juge commander continuellement de me taire même si c'était à mon tour de parler. Histoire de ne pas pouvoir saisir les jurés ainsi, de la vérité ! Elle avait déjà donc, très tôt, décidé de couvrir le mensonge: beau début de carrière !

Manifestement protégée par le Conseil canadien de la Magistrature, les plaintes à son endroit sont nombreuses mais curieusement aucune enquête ne s'ouvre.

Le 5 janvier dernier, je suis entendu par le Barreau du Québec sur ma plainte privée déposée auprès du comité de discipline à l'égard de l'avocat Norman Sabourin, secrétaire et directeur général du Conseil canadien de la magistrature.

Son avocat, Me Michel Jolin de Québec, l'a défendu en prétendant que ce dernier avait un statut spécial et qu'il n'était donc pas assujetti au contrôle du comité de discipline du Barreau ? ? Pour se faire, il s'est rabattu sur de la jurisprudence impliquant certaines décisions du président du comité de discipline, Me Paquêt, lequel présidait l'audience disciplinaire ? L'art de se créer de la jurisprudence complaisante ! ? Afin que tout cela, sans doute, reste en famille ! !

Quant à la famille Ellis, plus vénérable en mon sens, je leur souhaite, de tout mon coeur, que le courage de ceux et celles qui doivent intervenir dans ces dossiers, ne leur fasse point défaut, et que le leur, au lieu, leur serve d'exemple.

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