La justice version Québécoise...

jeudi 25 octobre 2007

Vous en aurez un haut-le-cœur tellement ces causes connexes sont absolument démentielles ! - Gilles Courchesne

Pendant que Mario parle d’autonomisme et Pauline d’identité québécoise, un honnête citoyen, du nom de Daniel Bédard, et à défaut d’avoir quelque appui d’un ou l’autre, revendique courageusement seul de son coté afin de retrouver son autonomie et son identité après s’être fait gaspillé 4 ans de sa vie et injustement passé 18 mois d’enfer derrière les barreaux. Et ce, pour avoir simplement fait ses devoirs de professionnel et demander en juillet 2003 qu’une enquête soit instituée à l’égard d’un ingénieur qu’il a lui-même mandaté de bonne foi en mai 2003. Rien de plus, rien de moins, tel qu’il vous le démontre de toute manière « hors de tout doute raisonnable » à travers ce blog.

Gênant vous dites pour la crédibilité de nos beaux systèmes professionnel et judiciaire combinés. Vous avez très certainement le droit de penser très sérieusement que cela le soit après avoir complété votre propre analyse et vérifications comme je l’ai fait.

Par conséquent n’ai-je pas le droit de penser que les discours de Pauline et Mario soient vides ? Mais davantage celui de Jean qui, en guise d’opposition pendant ce temps au projet de loi sur l’identité de Pauline, s’exprime ainsi :

« Dans l’ABC de la politique, avant de déposer un projet de loi, il faut vérifier sa constitutionnalité, il faut vérifier s’il respecte la règle de droit »
Jean Charest, Le Devoir, édition du 24 octobre 2007

Confirmant ainsi son haut niveau inquiétant de duplicité morbide. Sachant pertinemment qu’au delà de 20 juges et plus de 20 procureurs et avocats l’incluant avec son dit ministre de la justice, se sont amusés pendant 4 ans à contrevenir à la règle de droit afin de porter ainsi atteinte illicite volontaire à Daniel Bédard.

Vous comprendrez, chers internautes, par simple examen sommaire des affaires Bourque, Coupal et Rayle explicités on ne peut plus clairement et toutes preuves à l’appui, comment les articles 1, 3, 4, 23, 35, 37.1, 44, 49 et 52 de la Charte des droits et libertés de la personne ont été littéralement et consciemment bafoués. Comme si cette Charte, finalement, n’existait pas pour Daniel Bédard. Alors que nul ne peut déroger à ces droits supposés être garantis par cette Charte. L’article 52 le rappelant même au cas où certain l’oublierait, comme M. Charest, lequel en a même oublié, la constitutionnalité.

Imaginez la bassesse de Charest lequel ne peut autrement qu’avoir commandé Dupuis en ministre de l’injustice qu’il soit plutôt, de faire entériner, par la cour supérieure une injonction permanente empêchant Monsieur Bédard d’intenter quelque action en justice. En y mettant en cause par surcroît les 4 juges en chef. La cour supérieure accueillant les prétentions du mesquin fraudeur et Bâtonnier de Laval du temps, Me Jean-Claude Dubé. En qualifiant injustement Bédard de plaideur quérulent. Pourtant ce dernier ne revendiquait jusqu’alors que d’obtenir les preuves de ce dont on l’a accusé et du pourquoi on l’a jeté en prison. Des preuves, donc, que Dubé lui-même a fait défaut de transmettre en respect de l’article 35 de la Charte. Défaut se justifiant vraisemblablement du fait que ces preuves étaient en réalité des preuves fabriquées.

Pendant ce temps, le gouvernement Charest, impunément, continue en imbécile heureux, à ne vouloir s’excuser. Ni à Daniel Bédard, ni à Gabriel Hamel, ni à Pierre Hugues Boisvenu, ni à Paul Cousineau. La ministre des transports, Julie Boulet, simplement afin de conserver son job et son ministère, continue de penser comme son chef; ce qui la déshonore à son tour. Dans La Presse du 24 octobre, Monsieur Paul Cousineau, une des victimes qui a été sévèrement blessée lors de l’écroulement du Viaduc De La Concorde a donc visiblement raison de parler d’une profonde mesquinerie. Puisque le présent blog de M. Bédard lui-même démontre « hors de tout doute raisonnable » par surcroît qu’il y a anguille sous roche à la Commission Johnson, et confirmation donc de cette mesquinerie sans nom.

Une mesquinerie d’une amplitude incroyable. Un comportement mesquin qui, dérisoirement, ne semble nullement accidentel puisque la lecture et l’écoute de ce blog vous démontreront que Daniel Bédard a goûté et absorbe toujours les répercussions de cette même attitude mesquine du gouvernement Charest au pouvoir. Lequel a soutenu un comportement mesquin au départ d’un certain ingénieur de Longueuil du nom de Pierre Sicotte. Au lieu donc de sommer l’Ordre des ingénieurs de le sanctionner comme il se devait, il ne nous est impossible d’inférer autrement qu’il ait accepté viles commissions afin de se concerter pour être tous d’accord de biaiser le processus. Imaginez.

Après cette lecture et écoute, vous n’aurez autre choix, chers internautes de demander, vous également, la démission de M. Charest et de sa bande de profiteurs gravitant autour de lui. Faisant la grosse vie et se promenant en limousine aux frais des contribuables. En plus, il faudrait aussi leur demander de réapprendre d’urgence l’ABC des valeurs humaines et du savoir-vivre. Et ce, avant même de vouloir être tenté d’appuyer leur chef avocaillon désabusé et déchu, de remémorer aux autres celui de la politique.


Gilles Courchesne

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